l’auteur situe son travail dans le cadre des interactions entre mathématiques et physique recommandées par le programme de terminale scientifique de 2002 ; il semble aujourd’hui difficilement traitable à ce niveau ; ce texte aborde de front les différences de points de vue entre physiciens et mathématiciens, en particulier autour des notions d’accroissement différentiel et de négligeabilité ; il dégage des pistes pour une ingénierie mathématique dans ce domaine.
Mise en équation différentielle et mesure des grandeurs (un point de vue mathématique, collaboration avec la physique)
mardi 8 janvier 2013
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Repères 64 (2006) http://www.univ-irem.fr/commissions...
http://publimath.irem.univ-mrs.fr/b...
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