Ordre du jour et relevé de décision

Accès direct à quelques points

Budget ADIREM 2015
Formation continue
Rapport du Comité scientifique : composition, candidature à la médaille Castelnuevo, plateforme vidéos APMEP-CANOPE, CII Probas-stats
Magistère
plan Stratégie mathématiques
Cap’maths
SMF
Forum Mathématiques vivantes
Répartition des heures DGESCO
Numérisation et édition
Adhésion au GIS
Colloque Popmath - séminaire ADIREM

Plénière : lundi

Adoption du compte rendu de l’ADIREM de septembre 2014 à l’unanimité

Recettes :
ministère, le GIS (les membres versent une cotisation annuelle de 250 €). Remarque : comment adhérer au GIS ? Le directeur fait signer la convention à l’université ; si elle est d’accord, elle envoie un message à Fabrice Vandebrouck. En plus des 5 membres fondateurs : Nantes, Strasbourg, La Réunion ont rejoint le GIS.

Dépenses : 
comité scientifique (environ 2000 €) ; financement des colloques :

• CORFEM : 1500 € demandés
• COPIRELEM : 200 € demandés (à augmenter ?)
• Épistémologie et histoire des mathématiques : 1500 € demandés
• Pop’Maths (Toulouse) : 4000 € demandés

Environ 10000€ déjà budgétés, à comparer au budget 2014 : environ 3500 € (reste à financer le pot de la CII Histoire et épistémologie) ; garder une réserve pour 2016 ?

Nouvelles dépenses : 

• missions pour des CII : Repères IREM, Publimaths, Tice (vendredi dernier, rencontre avec un représentant du ministère pour présenter la formation Magistère), Épistémologie,... ; 
• concernant les CII d’« intérêt général » Repères IREM et Publimaths, les missions des membres pourraient être prises en charge en 2015 à hauteur de 2500 € pour Repères IREM, 1500 € pour Publimaths.
• autres CII (le tout inférieur à 10 000 €) : 
  • enveloppe pour dépenses « propres » des CII : permettre d’inviter des conférenciers ou autre (demande exceptionnelle auprès du président de l’ADIREM, ex. la CII épistémologie pour un cocktail, la CII Université pour inviter quelqu’un) ; 
  • une enveloppe pour le déplacement des animateurs quand les Rectorats et/ou IREM ne peuvent pas les prendre en charge.
• soutiens à d’autres colloques : colloque Delannoy à Guéret, Journée d’études à Rennes, journées académiques,... : comment délimiter ?
• Forum Mathématique Vivante : l’ADIREM pourrait donner une subvention équivalente à celle de la SMF, mais celle-ci ne ferait qu’avancer de l’argent en attendant de recevoir (?) des subventions. Tout le financement passerait par la CFEM ; le ministère encourage beaucoup...
• Publications : les financer pour les rendre gratuites ? (Qu’en est-il alors du droit à la photocopie ? Ils sont liés au n° ISBN.)
• autres demandes « spontanées »
  • de groupes IREM qui sont sur une priorité nationale pour aller à une conférence
  • demandes individuelles
• Enveloppe de l’ADIREM associée à des projets de recherche liés à des priorités (? 1000 €)
• Contribution (inférieure à 10 000 €) aux déplacements à EMF 2015 : pour une personne par CII ou par groupe IREM sur un projet prioritaire avec référence à l’IREM
• Mooc eFAN « enseigner et former avec le numérique » (ENS Cachan - ENS Lyon - Ifé - réseau des IREM pour les maths) : budget 60 000 €, dont 50 000 € pour payer un ingénieur, reste 10 000 € pour le contenu. Ça marche bien : 3000 inscrits, 140 projets, environ 600 participants, donc beaucoup de travail. Un groupe IREM de Paris, un à Rennes, un à Lyon, sur le front pour interagir avec les participants sur la plateforme : les rétribuer à hauteur de 1500 € (au total).

Pour faire activer les prises en charge des missions par les rectorats : voir le directeur de la DIFOR, avec la petite phrase minuscule « Chaque rectorat assure, dans la mesure du possible, le financement des missions ... » convention irem-rectorat.

Voir courrier de l’IREM de Clermont à son rectorat 

Position des IREM vis-à-vis du cahier des charges de la formation continue des enseignants, dévolue maintenant aux ESPE (rectorat de Lille), i.e. comment nous situons-nous par rapport aux ESPE pour les formations ? En Lorraine, le rectorat n’est pas prêt à lâcher la formation ; académie de Clermont-Ferrand, idem. La mise en place des ESPE n’étant pas encore tout à fait aboutie, les rectorats gardent majoritairement la main (les ESPE sont partenaires pour la formation continue, à terme ils pourraient même la définir, avec approbation du recteur).

Mini tour de table au sujet de la participation des IREM au PAF :

• Marseille : les animateurs IREM proposent des stages (mais le calendrier n’est pas fixe, ils loupent parfois la date) ;
• Créteil : des offres sont faites par l’IREM de Paris, prévoir de proposer les stages aussi à Paris et à Versailles en partenariat avec Paris 7 ; « stage de bassin » dans un collège ;
• Brest et Rennes : proposition de stages avec Gaia ; la Maison des Sciences sollicite des animateurs IREM (et paye les frais de déplacement) ; le PAF est très resserré, certains animateurs sont démarchés directement par les IA-IPR ;
• Strasbourg : l’IREM n’a pas la main, les IA-IPR font leur marché, souvent parmi les animateurs IREM ; organisation d’un stage logique animé par René Cori, participants ciblés par les inspecteurs (parmi les formateurs) ; comment faire venir les enseignants (pas le temps, trop de tâches dans les établissements...) ?
• Rouen : contribue au PAF, 10 stages (sur 12 proposés), bonnes relations avec les IPR ; toutes les propositions transiteront par l’ESPE l’an prochain, sauf en maths, qui doivent passer par l’IREM
• Rennes : plus problématique...
• Grenoble : réunion au rectorat pour construire le PAF, Christine Kazantsev invitée à proposer en fonction des finances disponibles (5 stages cette année), stages tous remplis

Formation des PE aux nouveaux programmes à enseigner en 2016 : il convient de mobiliser les groupes primaires-collèges, pour des actions de formation à harmoniser avec les ESPE. À Marseille, les groupes de PE sont sollicités pour du « partage de pratiques » sur leurs activités (plutôt que de véritables formations).

Conventions locales IREM - ESPE (promues par la « stratégie mathématiques » du MEN) : modèle national souhaitable, prévoyant par exemple :

• que les activités à l’IREM des personnes de l’ESPE soient rétribuées par des heures de service ;
• des interventions de l’IREM dans la formation initiale des enseignants.

Changements de composition au 1er janvier 2015 : plusieurs personnes en fin de mandat, dont Gérard Kuntz, le représentant de Publimaths et Repères-IREM ; Marc Moyon (ESPE Limoges) est proposé pour le remplacer. De même avec Yann Lefeuvre, représentant de la SMF, Cécile Ouvrier-Buffet (ESPE Reims) est proposée pour le remplacer ; changements votés à l’unanimité ; la représentante SVT Maryline Coquide ayant de nombreuses autres responsabilités, pourrait être remplacée par Jean-Marc Lange (ESPE Rouen), à préciser.

Le CS a rédigé un communiqué concernant la déclaration de la ministre (« stratégie mathématiques ») .

Compte rendus des entretiens au ministère avec la CFEM

Candidature du réseau à la médaille Castelnuevo : gros travail de l’équipe ayant préparé le dossier, en particulier Jean-Pierre Raoult. Le dossier sera mis en ligne sur le site des IREM, il témoigne d’un très large soutien aux IREM (de la part de collègues étrangers, de la CFEM,...)

CANOPE et l’APMEP prévoient de mettre en place une plateforme de vidéos sur l’enseignement des mathématiques, en évaluant son utilisation. Fabrice Vandebrouck a vu le président de l’APMEP, la plateforme ne porte pas sur la formation mais a vocation à servir de ressources pour les enseignants (avec multiplicité de parcours possibles) ; l’APMEP propose un partenariat avec les IREM pour la production de vidéos pour cette plateforme (nouveau groupe à Limoges, un groupe à Toulouse) ; utilisation possible pour L1 - L2 ; appel à participation à l’ARDM pour associer les didacticiens ; proposition de création d’une commission inter-IREM pour gérer la plateforme en coordination avec l’APMEP et l’ARDM. Rencontre prochaine avec le chargé du numérique au ministère, Fabrice Vandebrouck invité. Parmi les motivations : créer un pendant francophone à la Khan-Academy

CII stat et proba : Brigitte Chaput a présenté les projets de la commission : tous les IREM n’y sont pas représentés, problème de renouvellement, perte d’enseignants-chercheurs. Fonction de veille scientifique, de publications et de mise en forme des travaux des 4 dernières années. En cours : analyse des livres et des documents ressources, travaux sur les chaînes de Markov. La CII envisage d’organiser un colloque en mai 2016, peut-être commun avec CII LP, car possibilité d’interaction avec CII-LP. Un texte de Daniel Perrin concerne l’enseignement de la loi normale et son usage comme approximation de la loi binomiale dans le secondaire.
Dans un n° de Physiciens : Mesure et Incertitude, problèmes avec les stats.
Autres thèmes abordés :Statistique et citoyenneté, travail de Paris Nord (mis actuellement en sommeil), épidémiologie. Il permet de travailler autour de plein de notions : nombres, proportionalité, ... intérêt des statistiques inférentielles

Compte-rendu de Fabrice Vandebrouck sur la réunion sur le Magistère : un représentant du ministère est venu à une réunion de la CII TICE pour décrire ce dispositif et inciter la CII à y inscrire des parcours nationaux (2 parcours ESPE-COPIRELEM ont été acceptés, d’où financements spécifiques qui tombent dans l’escarcelle de certaines ESPE ; un 3e parcours proposé par la COPIRELEM n’a pas été retenu mais sera fabriqué tout de même et financé par 100 h DGESCO de l’ADIREM) ; la CII TICE, absorbée par la réalisation de fiches Geogebra, ne peut se lancer dans la création de tels parcours.

Quelques commentaires en vrac sur le Plan stratégie mathématiques :
un cas d’émergence positif de l’utilité des mathématiques - la balle est maintenant aussi dans le camp des IREM, largement cités (et reconnus) - la suppression des math en filière littéraire au lycée serait une catastrophe pour la formation des futurs PE - une option d’informatique ouvrirait au CAPES - l’intérêt de l’enseignement de la géométrie n’est pas réduit à l’initiation au raisonnement - beaucoup de math outils et pas assez de math objets - aspect ludique trop mis en avant, emploi des jeux pour les maths à revoir ? - la mise en avant des enfants qui peuvent concevoir des jeux vidéos : ce qui s’est fait dans le cadre de laboratoire de recherche mais pas dans le cadre d’une classe pilotée par une PE. 
Le cabinet de la Ministre voudrait revoir la CFEM tous les trois mois.

Le point sur Cap’Maths
Cap’Maths (consortium d’associations : Animath, Fédération des Sciences Mathématiques de Paris, ADIREM, SMF,...) créé pour répondre à un appel à projet de l’ANRU ; porté par Animath par laquelle l’argent transite... et qui est dans le rouge (et Martin Adler, président d’Animath et de Cap’Maths, au bord de la démission). Gestion très complexe ; de l’argent dans les tuyaux pour les rallyes 2013 (La Réunion notamment). Les états de coûts 2013-14 ont été remontés, l’argent arrivera-t-il en temps raisonnable ? Faut-il recommencer l’année prochaine ? 
Le CS et l’ADIREM écriront une lettre regrettant les difficultés inextricables auxquelles a conduit le système de gestion imposé à Cap’Maths par l’ANRU. Ils soutiennent les personnes confrontées à ces difficultés, en particulier ceux qui les gèrent au quotidien à Animath. Cette affaire pénalise certains IREM qui ont engagé des fonds pour les Rallyes en faisant confiance à ce montage, en particulier celui de La Réunion (l’association partenaire est en déficit de 3000 € depuis 3 ans et le groupe IREM qui organisait le rallye s’est dissout).

Compte rendu des dernières réunions de la SMF par Julien Michel. La SMF regroupe la communauté mathématique et tente d’influencer la politique ministérielle sur les questions la concernant, notamment l’enseignement des mathématiques. Compte-rendus de réunions sur les thèmes : Quelle place pour la géométrie, Liens avec l’informatique (recherche d’interlocuteurs), Maths discrètes (à la place de quoi ?). La Gazette des mathématiciens va être rendue plus accessible aux enseignants du secondaire (sur le modèle des articles « piste bleue » ou « verte » d’Images des maths). Dans le même élan, la SMF souhaite rapprocher les universitaires de l’enseignement secondaire, notamment pour des actions de formation continue ou de popularisation des mathématiques (peu reconnue au niveau des services, hormis à Marseille avec Hippocampe).

Rédaction du communiqué de l’ADIREM au plan « stratégie mathématiques », par Jean-Marc Patin.

Forum mathématiques vivantes : Paris (Sylviane Schwer) et Lyon (Christian Mercat) sur 2 jours, Marseille, projet le plus avancé, sur 3 jours. Réunion CA et CO parisiens vendredi 12 décembre. Budget prévisionnel de 75 000 € , y compris les dons en nature (prêt de salles, de personnels). Très bonne atmosphère dans le comité d’organisation, malgré la difficulté à rassembler les fonds nécessaires (partenariat SNCF pour transporter des élèves de Bordeaux à Partis, de Montpellier à Marseille ? mécénat de Google,... ?). Grande créativité des organisateurs... si l’argent suit.

Mardi 9 décembre 2014

Relecture et retouche légère du texte de Jean-Marc Patin, réaction de l’ADIREM au plan « stratégie mathématiques ».

Répartition des heures DGESCO.
Présentation des tableaux de répartition. L’IREM d’Antilles-Guyane laisse les heures qui lui étaient attribuées les années précédentes, dans la mesure où elles ne sont jamais arrivées jusqu’à leurs bénéficiaires. Un peu plus de 500h, sur les 3000, ont été attribuées à des enseignants du primaire, conformément à la demande de la DGESCO.

Il y a des moyens humains à Paris Diderot pour aider à la numérisation des anciennes brochures ; à Lyon, Christian Mercat a obtenu des moyens matériels pour cela. Josiane Nervi-Gasparini souligne l’intérêt de la brochure papier et des bibliothèques, lieux de rencontre et d’échanges. On peut mettre en ligne et continuer à vendre au format papier. Quel délai pour mettre en ligne ? C’est à chaque IREM de le définir pour ses brochures. L’important est de toujours créer la fiche Publimaths, quitte à ajouter ensuite un lien vers la version numérisée. Voir le message de Fabrice Vandebrouck décrivant la procédure sur le Coin des directeurs le article1011.

Vente des brochures à Paris Nord : l’Université tarde à traiter les demandes.

Difficultés pour la numérisation : Besançon, Bordeaux, Brest, Caen, Limoges, Nancy, Nantes, Paris-Nord, Reims.
Moyens pour numériser à Paris, Lyon, Marseille, Strasbourg, Nantes et Lille (1 To disponible pour stocker en miroir avec Marseille).

Faut-il numériser les (très) anciennes brochures, qui n’ont même pas de fiche Publimaths ? Peut-être pas en priorité, à voir en fonction de leur pertinence et de leur utilité. À Marseille elles servent notamment pour les mémoires de recherche des étudiants.

Jean-Marc Patin demande s’il faut continuer à publier localement, ou ne le faire qu’au niveau du réseau. Gilles Damamme évoque la charte écrite au début des années 2000 sur ce point. Plusieurs directeurs sont attachés à la possibilité de publier localement. Ils conviennent de la nécessité d’un fonctionnement souple, peut-être avec le logo du réseau ? De plus il y a déjà les revues du réseau (Repères-IREM, Petit x, Grand N), qui sont parfois en attente de contenus. Nicole Bardy-Panse évoque les documents de travail des groupes, qui n’ont pas toujours vocation à devenir des brochures avec n° ISBN.

Repères-IREM : les éditeurs avaient envisagé de se désengager il y a un an. Ils ont réussi à réduire les coûts de façon assez sensible et souhaitent continuer encore au moins un an. Faut-il préparer la suite ? L’ADIREM pourrait racheter le stock et le nom, pas de réponse des éditeurs sur ce point. Ils se sont engagés à prévenir suffisamment longtemps à l’avance en cas d’arrêt. L’ADIREM espère que ce sera le cas (un délai d’un an semble raisonnable).
À Grenoble, les secrétaires sont d’accord pour s’occuper du secrétariat de la revue le cas échéant (comme elles le font pour Petit x et Grand N). Qui s’occuperait de la mise en page ? Les heures DGESCO attribuées à Repères-IREM rétribuent le travail d’édition scientifique. Une alternative serait de passer par les Presses Universitaires de Franche-Comté.
L’impression numérique (impression directe à partir d’un fichier numérique) a permis à la SMF de diviser ses coûts d’impression par 2. 

Retour sur le GIS.
Témoignage de Jean-Marc Patin sur la procédure suivie pour l’IREM de Nantes. 3 documents ont été signés :

• la convention, suivie de l’envoi d’un message type à Fabrice Vandebrouck
• avenant n° 1 avec 6 pages, 1 pour chaque fondateur du GIS et 1 pour Nantes (en 6 exemplaires)
• avenant n° 2 : un pouvoir que chaque président d’université donne au président de Paris Diderot pour pouvoir accepter les nouveaux venus.

CII.
Un groupe « enseignement technologique »de l’IREM Paris Nord, orienté BTS, qui se réunit sur Paris et perdure, demande la réouverture d’une CII sur ce thème. Une telle CII a existé il y a pas mal de temps. On craint qu’elle fasse double emploi avec les CII LP et Probas-stats. De plus, on compte peu d’autres groupes locaux sur ce thème (un à Clermont-Ferrand) : ont-ils des contacts ? La question doit être posée aux intéressés.

Colloque Pop Math et Séminaire ADIREM (samedi après-midi et dimanche matin)

• appel à contribution pour les ateliers à partir de début février
• 52 enseignants viendront par le PAF, auquel le colloque est inscrit (il n’est pas inscrit au PNF, ce qui aurait pu permettre à des animateurs d’autres académies de s’y rendre ; les directeurs d’IREM peuvent demander aux chefs d’établissements de libérer les enseignants qui souhaiteraient venir ; l’ADIREM pourrait financer certains déplacements, en particulier pour les contributeurs des ateliers)
• subvention de l’ADIREM de 4000 € pour prendre en charge notamment les frais des intervenants (conférenciers, un animateur par atelier)
• frais d’inscription ou pas ? Pour qui ? 
• Patrick Frétigné dirige le comité d’organisation du colloque ; à Toulouse Xavier Bressaud et Gérard Martin en font partie.
• Problème de fonctionnement de la CII Pop’maths suite à la démission de son responsable l’été dernier et aux engagements pris relativement au colloque de Toulouse ; la dernière séance a été presque exclusivement consacrée aux questions d’organisation de ce colloque. Normalement la prochaine séance devrait marquer le retour aux activités normales. Certains participants regrettent un manque de recul par rapport aux actions engagées et souhaiteraient plus de réflexion sur la vulgarisation. Demander à Anne-Marie Aebischer si elle accepterait de prendre la co-responsabilité de la CII et de remettre à plat ses missions.

Colloque 2016 à Strasbourg sur le thème des relations internationales
Les participants étranger pourraient être accueillis par des IREM locaux ; à rediscuter lors de l’ADIREM de mars 

ADIREM de mars :

• ADIREM le vendredi toute la journée 10h30-19h ;
• samedi : plage commune des CII le matin dans un amphi de 9h à 10h30 ; pause café ; visites CII jusqu’à midi