Lundi 06 décembre 2021 14h00 - 19h00

Bâtiment Germain-Sophie - salle 2 017 de 14h00 à 19h00 en hybride Lien Zoom

ID de réunion : 821 5285 2604

Code secret : 068279

Pas de nouvelles, ni de nouvelle, ni de nouveau.
IRES Toulouse : le renouvellement du CA est effectif depuis la semaine dernière et celui de la direction e sera le 15 décembre. Bénédicte est la seule candidate.
IREM Strasbourg : Le CA a été renouvelé en septembre dernier. Mohamed a été réélu pour un dernier mandat de 3 ans.

Les choses évoluent mais lentement. Serge Quiot a présenté le projet de l’IREM aux conseils centraux de l’Université de Nice.

Michèle a rencontré Marina Rafalska (INSPÉ) qui semble intéressée.
Il faudrait qu’ils se mettent en relation.

Qui gère les heures ? Probablement toujours Grenoble

• Nantes (Magali) : les groupes continuent de fonctionner, plutôt à distance. Pas d’argent disparu, puisqu’il n’y en a pas... 500 € par an de la Fédération mathématique de l’Ouest. La doyenne (directrice faculté de sciences) ne donne pas d’argent... Pas de secrétariat non plus. Le rectorat donne (heureusement) des heures donc les groupes fonctionnent ; l’IREM organise des stages de formation continue...
  Rappel : l’Adirem peut aider Magali à venir aux réunions de l’Adirem.
  On peut (il faut !) profiter de l’Adirem à Nantes pour que le bureau de l’Adirem discute avec la doyenne.

• Reims : Fabien a un budget récurrent de 4500 €, intouché jusqu’en juin 2021. Mais 2000 € rendus en juin. Fabien a alloué aux groupes environ 300 € en septembre ; aucun groupe ne les a consommés. Donc l’argent a servi à prendre en charge les frais de déplacements pour les colloques. Pas de présentiel pour le moment.
  Pas de formation continue. Tous les animateurs ont été absorbés par l’inspection.
  Bien les faire apparaître dans le rapport (rubrique Mission particulière) ? Même si ce sont des missions pérennes ?

Fabien a des collègues sociologues qui ont travaillé sur les trajectoires professionnelles.
Est-ce que cela ne « vaudrait pas le coup » de faire un appel à projet pour avoir une étude de ce type ? auprès de labo de sociologie ?

• Lille : François se bat pour faire reconnaître les heures des universitaires de l’année dernière.
  Les Lillois sont repartis pleins d’enthousiasme pour l’organisation de nouveaux colloques. Mais quand on regarde ce qu’il se passe chez les voisins belges....
  Les formations continues risquent d’être encore sabordées.

• Strasbourg : renouvellement du CA, avec réélection du directeur, Mohamed (félicitations !). Le contrat avec Open éditions pour les Annales est conclu.
  12 groupes en activité.
  Pour les labos, une réunion aura lieu avec la Rectrice le 25 janvier, car il reste le problème délicat des heures des personnels du supérieur. Reliquat financier en septembre, de l’ordre de 1200 €. Achats anticipés de cadeaux pour le Cinquantenaire du Rallye mathématique d’Alsace.
  Les groupes : deux nouveaux sont créés, qui sont 1° Maths-physique et 2° Maths et arts, et certains qui sont tentés par un groupe du type « maths et stress »
  Mohammed recommande chaudement l’IPR Michel Barthel à Magali.
  Formations : Participation à la formation du CAPES interne. 3 demi-journées – niveau collège - à l’attention des étudiants en M1 de l’UFR de Maths qui préparent l’oral du CAPES externe de mathématiques. Formation au PAF sur les sciences cognitives (2022 annulé en 2021). Au primaire, l’objectif est de réaliser la formation à l’escape game (groupe Informatique).

Une brochure : modélisation.

• Paris Nord : la plupart des formations n’auront pas lieu. Proposition de refaire une journée « INSMI » mais demande du rectorat que ce soit reporté ou en distanciel -> report.
  Plusieurs LabosMaths se sont montés sur Créteil.
  Exposition « Borel »
  Laboratoires de mathématiques : fleurissent en ce moment.
  Groupes : ET (enseignement technologique) a du mal à repartir en distanciel ; un nouveau groupe devait se créer en physique, mais n’a pas encore vu le jour. L’Académie continue à demander à l’IREM de participer au plan mathématiques.

• Paris : Christophe rappelle qu’administrativement, l’IREM de Paris n’existe pas. Les statuts nouveaux circulent, qui feront de l’IREM un IRES, département de l’uP.
  Groupes : deux d’entre eux ont pâti du covid, le groupe SVT et le groupe LP qui démarrait aussi. Nouveaux groupes : élèves à besoins particuliers ; mathématiques en maternelle ; astrophysique ; SVT, financé par Erasmus.
  Les formations auront lieu normalement.
  Christophe est administrateur provisoire de l’IREM...

• Poitiers : reprise quasi normale.
  Brochure « L’atelier des grandeurs » qui vient de paraître en septembre. Le groupe info organise un concours de programmation.

• Brest (Christophe) : un groupe s’arrête pour cause de Covid, un groupe continue en distanciel ; deux groupes fonctionnent normalement.
  Pas de formation prévue.

• Montpellier (Louise) : l’IREM se transforme en IRES et cela les occupe. Le directeur de l’IRES est un géologue, L’IRES est un département de la faculté des sciences, et l’IREM est dans l’IRES. De nouveaux groupes se créent dans cette dynamique. La faculté des sciences a augmenté notre budget piru cela. Du côté du Rectorat, il faudrait plus d’heures pour faire face à cette transformation, mais ce n’est pas gagné... Le Rectorat monte une école académique de formation, elle démarrera en janvier, et tout est à l’arrêt en attendant.
  Une future rencontre avec l’IRES de Toulouse.
  Les formations n’ont pas eu lieu l’année passée. et reprennent cette année
  Demande accrue de formations à distance (ce qui dérange Louise), tandis que les groupes se réunissent en présentiel avec plaisir.
  Rq : l’IREM paye les déplacements des collègues du secondaire pour aller aux CII ; est-ce que c’est normal ?
  C’est le cas dans pas mal d’IREM, pourtant la convention dit que les rectorats devraient prendre en charge « autant que possible » les déplacements pour les CII ;

• Dijon Formation de l’an dernier reportées (pour avoir lieu en présentiel). Les groupes n’utilisent pas le matériel de visio ; Difficulté de construire de nouveaux groupes. Projets : groupe lycée et un groupe lycée professionnel.
  Budget : habituellement 8 000€ mais cette année réduit à 5 000€. Le budget sert à rembourser des déplacements. Pas de site mais le projet est en gestation.

• Mayotte : Jean-Jacques trouve que son IREMIS a de la chance de ne pas faire face à tous les problèmes qu’il découvre dans les autres IREM. L’IREMIS est un service commun, dotée d’un bon budget, mais qui comprend aussi les masses salariales. L’IREMIS fournit des prestation de préparation aux concours. Formation pour le PlanMaths pour le 1er degré.
  8 groupes : 4 par niveaux, 4 thématiques. Participation à la Fete de la Science.
  Bonne collaboration avec l’Inspection de mathématiques, avec les laboratoires, avec le 1er degré.
  Bonne dynamique, des gens qui ont envie de faire des choses ensemble.
  Encore des problèmes de locaux (donc pas de bibliothèque)
  Clap clap pour Jean-Jacques

• Clermont-Ferrand : une sorte de fin de cycle pour certains groupes. Travail à distance ou en présentiel.
  Pour les formations : trois ou quatre qui sont acceptées au PAF et devraient avoir lieu.
  Rallye et maths C2+ sont en organisation.
  Tout va bien, ou pas trop mal.

• Limoges : ça repart avec une très belle journée des animateurs +Les premières réunions des 4 groupes.
  Pour la formation, six stages ont été acceptés au PAF ; ils auront lieu en présentiel.
  Participation à la Fête de la science, et Tournoi mathématique du Limousin.
  Aspect moins positif : le nombre d’inscrits aux stages est en baisse (cause Covid ?)

• Toulouse : quinze groupes, cent-quarante animateurs, dont les retraités en distanciel. Le problème de la recherche a été soulevé : « quand on publie, on fait quoi ? » Le travail reste en présentiel jusqu’à nouvel ordre.
  Un nouveau groupe « Maths, sciences et arts »
  Formations : Bénédicte ne sait pas si elles sont acceptées ou pas, car les animateurs font leurs propositions en leurs noms et sans faire apparaître l’acronyme IRES.
  La question que se pose Bénédicte : que faire si la situation sanitaire perdure ?
  Budget important, pour une prise en charge complète de tous les déplacements.
  Les excédents budgétaires des années Covid ont servi pour acheter du matériel pour l’Université.

• Lorraine : dans la catégorie des IREM qui ont la belle vie : bonne collaboration avec les IA/IPR, les formations sont bienvenues (soit au PAF, soit au sein de la Maison pour la Science, dont le partenariat avec l’INSMI), Budget environ 20k euros... (mais travaux à prévoir)
  La plupart des groupes ont repris en présentiel.
  2 groupes en difficulté.
  Formations, mais parfois peu d’inscrits.

• Caen : André va quitter la direction de l’IREM et doit organiser les élections. Il a deux candidats potentiels.
  Les groupes : le rallye mathématique virtuel va s’arrêter sous la forme actuelle, son principal animateur étant à Tunis depuis quelques années.
  Groupes tournant bien : histoire, DNL, didactique,
  Stages : très peu d’inscriptions sur les stages du PAF. Effet réforme ? 2 stages annulés faute de candidats.
  Grand flou coté LaboMaths. L’IPR qui gère ca est plutôt sur Rouen. Jean-Yves répond que les labos sont chapeautés par des E-C du LMRS.

• Grenoble : 67 animateurs pour 14 groupes. Trois choses ont donné une bonne dynamique : un regroupement IREM de trois jours début octobre ; le projet Pégase (l’IREM est chargé de la partie mathématique de l’action 4) ; un LéA « enseigner la preuve en mathématiques »
  l’IREM est à l’intérieur de l’UFR ; Michèle a répondu à quelques appels à projets, d’où des financements.
  Quatre formations proposées au PAF, mais peu d’inscrits, donc risque d’annulation.
  Maths C2+ a rencontré un énorme succès l’année passée, donc c’est reparti pour cette année.

• Rouen Jean-Yves :
  Journée de l’IREM de Rouen en novembre. Invitation envoyée (par erreur...) aux T1 qui sont venus et ont été intéressés.
  Ca tourne à peu près correctement.

• Bordeaux : La brochure « de l’art et des maths » est disponible
  Les groupes ont recommencé en hybride, mais avec pas mal de présentiel. Le groupe Algo a du mal à redémarrer, mais l’espoir subsiste.
  Une journée de rentrée en septembre, avec 70 participants.
  La dotation du Rectorat est stable (après une baisse de 10%), le budget dans l’université est de 11000 € environ pour une centaine d’animateurs.
  Formations : Marie-Line croise les doigts pour que la formation prévue Les Maths ouvrent sur le monde puisse ouvrir en présentiel.
  La formation au CAPES interne : 3 inscrits !
  Pour les labos de maths : le Rectorat peut payer des formations mais il y a assez peu de demandes.

• Marseille : les réunions reprennent en présentiel ; stages hippocampe ont repris. Baisse de subvention du département. Journée Filles et Maths prévue en présentiel en décembre.
  Formation : agreg interne fonctionne.
  Nouveau chargé de mission Villani-Torossian.
  Création d’un groupe sur les Labo de maths, pour faire un groupe où les formations circulent. L’IREM est assez sollicité.
  La transformation en IRES est en route. Plusieurs groupes IRES se sont formés. Bonnes relations avec la fac de Sciences, moins clair avec le rectorat.
  Diffusion : un groupe a créé une bande dessinée, en collaboration avec l’IREM de Lyon.
  Question : L’Adirem peut-elle acheter des BDs pour différents IREMs pour les distribuer ?
  Rép : le budget GIS est épuisé ; la dotation DGSIP est plus faible cette année, donc on verra plus tard...

• Lyon : L’IREM de Lyon a édité 2000 exemplaires de la BD « Matheopolis » et commence à la vendre.
  Annéé à peu près normale. Une douzaine de groupes.
  Problème du secrétariat, un peu chaotique avec des personnes mouvantes.
  Une partie croissante des activités se centre autour des projets européens (en particulier MathCityMap)
  Une petite dizaine de formations en cours.
  Rumeur sur les écoles académiques de la formation continue.
  Bénédicte signale qu’on lui a affirmé que ces écoles existeraient en septembre pour toutes les académies.

• Rennes : il y a des problèmes, mais personne ne peut en parler aujourd’hui (Julien n’est pas présent).
  Anne a repris les mails reçus de Julien et en parle un peu le 7. Le problème est qu’aucun universitaire n’est intéressé pour la reprise de la direction, ni pour le travail dans les groupes. Difficultes entre l’UFR de maths et l’INSPE.
  S’agit-il d’universitaires de l’UFR de Julien ?
  L’ancienne directrice, Anne Virion, était dans une UFR d’info, mais cela paraît un peu compliqué à réitérer maintenant.
  Christophe C et Marie-Line sont dans la boucle, d’autant que Brest et Rennes sont dans la même académie.

• La Réunion (Marion Le Gonidec, en ligne) : en un an, l’hybride s’est généralisé pour les réunions, donc tout roule. Pour la Fête de la science, déplacements dans plusieurs établissements.
  Convention GIS : la Dir. des Affaires Juridiques a fini par répondre...
  Quelques remarques sur les différentes versions : on discute des procédures et de la finalisation du document, certains s’inquiètent même de sa faisabilité, mais Christophe annonce que le délai est d’un an, ce qui soulage tout le monde.
  Anne rappelle que la cotisation reste disponible pour toute la durée du GIS ; une citation de Christophe Hache rencontre un vif succès dans l’assemblée : « l’argent n’est pas un problème ».
  Conversion vers l’IREMI : en cours.
  Formations : le thème du bridge est retenu (ou plutôt du « petit bridge », à direction des PE) pour une formation IREM ; mais en ce qui concerne le PAF, beaucoup de formations encadrées par des collègues de l’IREM ne sont pas forcément étiquetées IREM.
  Les groupes fonctionnent et se voient en hybride.

• Antilles (Célia) : Académies de Guadeloupe et Martinique ; 3 groupes en Guadeloupe et 3 en Martinique.
  En 2020-2021, le rallye a pu avoir lieu dans certaines écoles, mais la finale n’a pas eu lieu en Guadeloupe qui était confinée.
  Cette année, ça repart : les groupes reprennent les activités, mais la situation sanitaire / sociale est compliquée
  Les difficultés viennent de cette situation.
  Tout ce qui peut être en distanciel sera peut-être réalisé.
  Les difficultés cette année ont trait aux heures qui auraient dû être attribuées aux universitaires, mais qui ne le sont toujours pas, alors que les universitaires animent les groupes.
  Question sur la Guyane : il y a des gens partants, mais c’est la fac qui a refusé.

Anne et Marie-Line proposent de rédiger une lettre, ce que Célia accepte volontiers.

NB : une lettre envoyée au Président de l’université de Guyane est restée sans réponse.

• Amiens (Élise) : des groupes ont du mal à reprendre, ce qui n’est pas le cas du groupe WIMS qui fonctionne habituellement en distanciel.
  Nouveau groupe Esprit critique (avec des profs de lycée) : recul face aux données chiffrées.
  Rallye en collaboration avec Rouen.

Personne ne s’y oppose, une abstention : le CR est adopté.

Anne ne va pas continuer, car elle n’est plus directrice d’IREM (et donc n’a plus de décharge) ; Anne reste au Comité Scientifique cependant.
Appel à candidature pour la présidence de l’ADIREM : Marie-Line est candidate.
On procède au vote, Personne n’exige un vote à bulletins secrets.
Il y a unanimité dans la salle et également en ligne.

Pour la vice-présidence : Anne sollicite des bonnes volontés pour ce mandat de deux ans, renouvelable sans limite. Sylviane est toujours présente pour suppléer.

Bénédicte accepte d’épauler Frédéric pour le secrétariat.

Vladimir se propose pour épauler François.

Alice Ernoult (alice.ernoult@gmail.com) représente l’APMEP (après en avoir été présidente).
Elle fait une thèse en sciences de l’éducation sur les IREM de 1960 à 1980, elle cherche en particulier des archives.
Consigne : ne pas jeter des compte-rendus de « vieilles » réunions... (ou en parler à Alice avant).
Elle est en particulier à la recherche des bulletins InterIrem des années 1970.
Il faudrait demander à Christophe Hache.
Elle va interviewer les acteurs de l’époque ainsi que les premiers IREM (Strasbourg Lyon et ??Paris ??)
Beaucoup de papiers ont été passés au pilon à Strasbourg.

Rappel : on avait demandé de ne pas se restreindre pour faire apparaitre notre vraie implication dans les priorités. Ca n’a pas été fait dans tous les IREMs...
C’est compliqué de rentrer des nouveaux collègues maintenant dans l’outil.
Anne suggère qu’on lui envoie le total des heures des thèmes qui ne seraient pas déjà demandées dans l’outil (sans remplir le fichier)
Christophe : ça serait bien de faire apparaître dans l’outil une case (ou 2 ?) « prioritaire ou pas ».
Pour cette année, Jean-Yves préfère qu’on ne remodifie plus les demandes via l’outil maintenant.
Suggestion pour l’année prochaine : ne pas gonfler les demandes APN, mais faire apparaître dans le rapport d’activités les rattachements des groupes à des priorités et les heures concernées (APN et rectorat).
Pour conclure, J.Y. va nous demander quelques petites réductions...

CII Physique Chimie : première réunion pendant la journée des CII. Le groupe est lancé. Recherche d’un sujet commun ; réunion distanciel en janvier, et si possible en présentiel en février.
Responsable : Florence Delorme ? de Marseille, prof de lycée de Physique chimie, un peu intimidée.
Coresponsabilité ? Ça viendra peut-être.
Discussion autour de l’Enseignement Scientifique ; discussion autour de la formation en maths pour les futurs scientifiques au lycée.

Suggestion d’extraire la partie Groupes Physique Chimie du rapport de l’an dernier.

Discussion sur les groupes pluri/multi disciplinaires à venir dans le prochain Conseil Scientifique.

IRES : déjà traité

• Budget du GIS :
  Anne supplée Christophe pour ce chapitre. Elle a cherché à anticiper les dépenses des premiers mois de 2022. L’IREMS de Paris a déjà acheté des billets de train et des nuits d’hôtel.
  Aux dernières nouvelles, il nous reste 400 € si l’on arrive à finaliser le rachat de Repères-IREM. Et 400 €, cela représente le coût d’un très bon micro pour les réunions. Voire l’acquisition de matériel pour l’IREM de Paris si besoin.
  La dernière chose à payer est donc le rachat de Repères.
  Michèle rend compte de l’accord survenu entre l’université de Paris (pour le GIS) l’université de Grenoble et Topiques éditions : un bon de commande de 4800 € a été envoyé par Grenoble à Topiques.
  Un contrat de prestation de mise en page a été passé avec Topiques.
  « Du coup », un contrat de prestation sur deux ans avec Topiques.
  Clapclap pour Michèle.
  Il faudra que tous les IREM continuent à s’abonner.

• Budget Adirem :
  4019 euros dépensés sur l’année, d’où un report de 30 700 €.

A prévoir : un IREM qui n’ a pas de moyen (Nantes, Amiens,...) peut se faire payer les déplacements (CII, colloques). Les autres peuvent demander au secrétariat de l’Adirem en cas de besoin.
Remboursements pour le CS
Il y a un appel d’offre pour Publimath
Il faudra certainement une rallonge pour le site : il faudrait payer quelqu’un pour ça (stagiaire de licence ?)
On peut répéter au ministère qu’il y a besoin de quelqu’un (un prof de math) avec une décharge pour s’occuper du site et de publimath...

Anne nous donne le compte rendu de la réunion récente. (Sylviane et Bénédicte présentes également)
Le RTP veut devenir un GDR.
On peut demander à y être en tant que membre d’un labo CNRS ; L’IREM sera dans un « 2ème cercle ».
L’IREM est concerné par l’axe 4.
Michèle est impliquée aussi dans l’axe 3.

Le comité (16 personnes) a demandé une interview à Anne sur l’enseignement des maths.
Rendez-vous téléphonique avec Marc Peigné
https://www.hceres.fr/fr/actualites/mathematiques-francaises-le-hceres-confie-un-comite-de-16-personnalites-la-realisation

• Reims
  Fabien a rencontré les CII concernées avant les vacances de la Toussaint. Il n’ a pas de nouvelles depuis mi novembre...
  C’est maintenant trop tard pour le budget 2021.

Question sur l’opportunité d’inviter des personnalités institutionnelles pour le colloque.
Y a t il un IG en charge ? Jean-Marie Chesneaux ? Ce serait bien qu’il soit invité, par exemple à parler pour l’inauguration.
Dans chaque académie, il y a un IA-IPR en charge de l’informatique.

Colloque envisagé en co-modal (puisque c’est la CII informatique).
De toute façon, c’est compromis pour janvier et février. Et d’un point de vue budgétaire, cela ne change rien de le prévoir à l’automne.
On part sur : reporter pour l’année prochaine ? À suivre...

Relancer les responsables de CII pour fixer un peu le calendrier clairement.

• CORFEM (Nantes) 8 juin (9h) : Adirem et 9-10 juin : CORFEM
  (Magali) :Mise en place d’un Comité d’organisation local.
  Premier point : question des inscriptions ? Mohamed précise que c’est l’équipe locale qui s’occupe de recevoir les candidatures et les enregistrer. Anne dit que l’université doit avoir des outils pour prendre en compte les inscriptions.
  2e point : qui héberge l’argent des inscriptions ? Anne et Mohamed répondent que c’est la même chose : c’est local. Souci : le CA de l’université a lieu demain à Nantes. En outre, cette année l’université de Nantes change de nom... l’Université de Nantes change de nom...Nantes Université !
  Michèle précise qu’il est possible qu’il ne soit pas obligatoire de passer devant le CA pour un montant modique (inférieur à 50 €)
  Le programme peut être mis sur le site de l’Adirem.
  La publicité du colloque se fait par la Corfem.
  Il y a une subvention de 2000 euros par l’Adirem. L’IREM de Lille peut payer directement des factures, c’est plus simple (devis à l’ordre de l’IREM de Lille)
  La question se pose de l’hébergement des directeurs pour l’ADIREM qui sera sur place.
  Une fois les devis établis (au nom de l’IREM de Lille), c’est l’IREM de Lille qui règlera. L’idée est de faire établir des « gros » devis afin qu’il ne soient pas multipliés.

Une adresse pour les devis : « Secrétariat ADIREM »  ;

Pour l’hébergement des directeurs : la réservation n’est pas encore faite (il n’y avait pas d’argent pour ça)
C’est Lille qui prendra en charge.)
Ecrire à Magali pour réserver les hôtels (cf doodle)
Le doodle est fermé, demande à Magali de le rouvrir et de le renvoyer...

Emploi du temps ADIREM : tout le monde va dormir à Nantes la veille au soir.
Donc on prévoit un début à 9h.

Magali a fait avec Jean-Yves une demande d’heures pour l’équipe d’organisation du colloque, qui est pléthorique.
Elle veut demander moins de 6h par certaines personnes pour que ça puisse concerner plus de monde.
L’enveloppe est-elle de 18h ? Plus ?
Si le rectorat donne des heures, elles peuvent aussi être redistribuées pour le colloque ?
Question à Jean-Yves : combien d’heures pour les colloques précédents ?
JYB rappelle les habitudes : 2 fois 9 heures à Strasbourg ; rien en 2019-2020 pour la Copirelem.
Anne se souvient de 36h ?
Proposition de passer à 24h (4x6h) pour les 4 personnes du 2nd degré particulièrement impliquées.

Pour en terminer avec l’ADIREM à Nantes : Magali va renvoyer le sondage pour l’hébergement, afin que tou/te/s puissent le renseigner.

• COPIRELEM (Toulouse)
  Total des heures demandées de 40h : 10 personnes à 4h chacun.
  Ça fait beaucoup... En attente
  Le conseil scientifique a reçu le programme, en attente de validation.
  Conventions reçues (dont TI)
  Un petit souci sur le lieu, parce que la politique de l’INSPÉ a changé à ce propos.

Rappel : il y aura aussi à Toulouse un colloque sur les mathématiques en langue des signes.
Ne pas oublier le colloque Math et Langue des signes qui a lieu en même temps.

Epistémo-histoire (Toulouse)
Faire des devis à l’ordre de l’IREM de Lille à l’ordre du secrétariat de l’IREM. 
Le site est créé.
Rappel : toutes les sciences sont concernées. Ne pas hésiter à faire passer le message.
Les appels à candidature ont été lancés (et des appels pour ateliers)

• Point sur la réforme du lycée.

• Actions à mener par l’ADIREM avec les partenaires CFEM (avant élections ?)

Mardi 07 décembre 2021 de 09h00 à 13h00

Bâtiment Germain-Sophie - salle 8 029 de 09h00 à 13h00 en hybride Lien Zoom

ID de réunion : 821 5285 2604

Code secret : 068279

Question : faire apparaître sur Hal les publications en lien avec l’IREM ?
(remarque : on peut y faire apparaître des publications dans Image des maths

Deux prises de position récentes : 1° La réforme de la formation des enseignants et le report des épreuves du CAPES à la fin du M2 : inquiétude sur les conséquences sur l’attractivité et sur la crise de recrutement ; 2° Association à l’alerte de la SMF sur la réforme du lycée.

Compte rendu du dernier CS : fonctionnement en débat en essayant d’en tirer des problématiques fructueuses. Les thèmes :
* en janvier, sur les ressources (à terminer en janvier 2022), en parlant d’abord de l’offre, avec invitation de Publimath.
* en mai 2021 : l’enseignement professionnel, avec invitation de la CII LP
* invitation de la CII TICE

Prochains débats : interdisciplinarité ; et d’autres.
Les comptes rendus se trouvent sur le portail

Il y a des thématiques récurrentes : l’interdisciplinarité ; les ressources ; les inégalités sociales (LP, confinement) ; conditions concrètes réelles d’exercice du métier, en lien avec les réformes mises en place.

Comment émergent ces thématiques ? Le débat sur les LP a permis une réflexion sur la possibilité d’évolution des pratiques d’enseignement plus généralement en dehors du LP. Aller vers une diversification croissante de l’enseignement des mathématiques et surtout pour les élèves qui n’auraient pas l’ambition de faire des études mathématiques longues (Anne). Ce sont des vœux pieux, surtout si l’on considère la réforme en cours.
En effet, la réforme incite à des pratiques interdisciplinaires, mais elle a créé des conditions qui les rendent plus difficiles (ex : en LP, il y avait 7 programmes différents selon les filières, il n’y en a plus que quatre ; il ne reste plus au LEGT que des maths pour les spécialistes)
L’introduction de l’histoire des maths est une bonne chose mais sans la formation jointe, cela ne sert à rien. Généralement, tout demande un investissement énorme aux collègues.

Un problème plus profond : l’interdisciplinarité ne va pas de soi, elle n’est pas une juxtaposition, elle demande de la formation ; il y a un besoin de ressources.

Commission créée au sein du CS de janvier : comment améliorer la visibilité des ressources des IREM ? En particulier sur l’accès libre. Le CS finalise une lettre aux IREM « pour les supplier d’offrir leurs publications en accès libre », car il y a une demande absolument énorme en matière de ressources.

Le CS incite les groupes et CII à alimenter le nouveau site.

Débat sur l’opportunité d’une mise en ligne systématique des productions des IREM. 

Discussion sur la difficulté pour la publication et les ressources des « Autres sciences » qui n’ont ni Publimath ni Repères...
Suggestion d’une page sur le portail des Irem pour les nouvelles publications.
Il y aura dans la page d’accueil du nouveau site : publimath, les dernières publications du réseau (donc nationales), les colloques, les revues. Mais ça concerne le réseau et pas les groupes : ca en ferait trop.

Suggestion de demander aux bibliotheques de continuer a payer les abonnements a Repères meme sans demander la version papier...

• Retours partiels DGSIP sur nos demandes de postes

La DGESIP a tenté de comprendre notre demande et tenter d’y apporter une réponse. Il semble que ce soit plus le rôle de la DGESCO.
Nous n’avons pas beaucoup d’espoir. L’aide potentielle de la DGESIP était plutôt d’ordre administratif que budgétaire.
Cela montre un intérêt pour notre demande.

Pas de nouvelle de la DGESCO.

• Appel d’offre pour Publimath
  Première réunion en juin pour déblayer les choses sur la pérennisation du site.
  Jean-Louis Maltret et Hombeline interviennent. Une réunion a eu lieu en juin entre Publimath et des représentants de l’ADIREM.
  Des documents préparatoires détaillés avaient été établis et il avait été question d’un appel d’offre.
  Un projet d’appel d’offres a été fait.
  Est-ce raisonnable et envisageable ? Y a t il encore des moyens ? Demande Jean-Louis. Anne l’affiche.

François rappelle qu’il y a deux projets web en parallèle : le portail des IREM et Publimath.

Jean-Louis indique en réponse à André qu’il a fait des adaptations des propositions :

• • 1. la base de données, coeur du système, est l’héritière de ce qui avait été mis en place à la fin des années 90, dans des conditions techniques sans rapport avec aujourd’hui ; la restructuration permettrait de faciliter les choses pour tous les intervenants (choix des mots-clés, gestion de liens,...)

• • 2. le moteur de recherche, très puissant et très efficace il y a 20 ans, peut largement être remplacé aujourd’hui par les mécanismes standard de recherche dans les bases de données

• • 3. le design, vraiment rudimentaire et austère, gagnerait à être mis au goût du jour (y compris avec téléphones) et pour ça il faut passer à un standard type spip ou wordpress

• • 4. les textes des fiches (Résumé, Notes, Pistes d’utilisation,...) devraient bénéficier d’un éditeur html pour être plus lisibles

Quelle que soit la décision prise, il faut qu’une personne fasse ces modifications. La question porte sur le transfert des données correspondant plus à de la recherche documentaire avec des standards de recherche.

pbs : interactions entre le site des IREM et Publimath.

Pour Christophe, il est évident qu’il faut restructurer la base de données de Publimath.
2 chantiers ;

- changer les standards de recherche sur publimath (ergonomie,...)

- plus long terme, changement plus profond avec des interfaces ouverts à tout public

Vladimir, qui a l’habitude de ce type de travaux dans la sphère non publique, suggère de faire appel à des professionnels.

Yves D. intervient pour demander qu’il y ait un responsable qui gère ce dossier au nom de l’ADIREM. Anne lui répond que la CII Publimath a une responsable, qui est Hombeline. Et si l’ADIREM prend des décisions, c’est parce qu’elle tient les cordons de la bourse.

Il faudrait demander dans les BU des universités, un audit de la plateforme et apporter des propositions de modifications afin que la plateforme soit plus conforme aux demandes des utilisateurs (rapport écrit)

Evaluations du document (avec déclinaisons avec quelques questions indicatives) et propositions de professionnels
date limite de retours des rapports : mi- février 2022

Abdelkader (anec@unilim.fr) est chargé par Anne de collecter les questions à destination des collègues des services communs de documentation des universités et au sujet de Publimath.

Le premier bilan sera donné à l’ADIREM de mars.
On envisage en suivant l’Adirem de mars une reunion de travail Publimath/Adirem.

Publimath
Article sur Publimath dans Repères IREM
https://www.youtube.com/watch?v=y20E3qBmHpg

JL Maltret : la marque Publimath est déposée par l’APMEP à l’INPI depuis 2002, elle va devoir la redéposer cette année 2022 (dépôt décennal) avec son logo associé. L’ADIREM devra peut-être renouveler son autorisation. La propriété avait en effet été donnée à l’APMEP.

Anne conclut : ce qu’il manque toujours c’est que le Ministère reconnaisse l’outil en donnant un poste...

• Nouveautés Mathrice et conséquences pour nos outils

André fait son rapport (comme Pi dans les mots croisés) : la machine marseillaise est en fin de vie, mais elle conserve encore toutes les listes de diffusion, qui doivent par conséquent migrer assez vite. Mais ce n’est pas le plus compliqué.
Le gros morceau : Publimath et le Portail, qui sont installés sur des machines virtuelles, mais Mathrice veut arrêter ce système, pour passer à PLMShift. Ce ne sont plus des machines virtuelles mais des sortes de containers. C’est un gros boulot, qui ne remet pas en cause ce qui a été fait auparavant.
L’intérêt, après la mise en place et transfert, est que le nouveau système à base de containers est beaucoup plus sécure.
aucun ingénieur informatique pour mettre ça en place.
Il faudrait lancer un appel d’offres ?
Mathrice peut apporter son aide, mais pas faire le travail à notre place. Il y a des ingénieurs Mathrice à Bordeaux et à Lille (et sans doute ailleurs) : leur demander leur avis ?

Autre souci : le suivi des listes, par exemple, par Jerome Germoni, et du site ? par ?
qui vont arreter un jour... Il nous faudrait des moyens du style soutien informatique. Par l’INSMI ?

pourquoi ne pas s’appuyer sur l’INSMI
convention, rapprochement ? pas de moyens actuels pour le réseau

Conclusion d’André : il n’y a plus qu’un gros, gros travail de transfert de l’ancien site vers le nouveau.

• Nouveau site : nouvel appel d’offre ?
  Pour rappel l’adresse du site en développement: : https://www-dev.univ-irem.fr/
  Il faut tout rapatrier sur le nouveau site, mais énormément de choses (8000 articles) dedans et grandes difficultés temporelles.
  Propositions André : il faut récupérer tous les articles, et chacun prend un peu de temps pour les republier en ligne. Anne propose d’y travailler en fin d’année universitaire.

nouveau site : demander à BBS les premiers mots de passe pour tous les directeurs et responsables CII.
pb : le nouveau site n’est pas en production mais fonctionnel. Intervention pour avoir les deux sites en même temps.

Point peu évoqué : Abdelkader présente le travail en cours. Il reste à choisir le logiciel adéquat (et pas un Google forms ou un Framaform) ; le fichier des M1 et des M2 (134 réponses) mérite d’être valorisé, mais n’est pas exploitable dans sa forme actuelle.
Le questionnaire précédent avait été exploité par Stéphane Vinatier :
Repères-IREM. N° 120. p. 73-84. Rubrique ADIREM : Comment améliorer l’efficacité et la pertinence des actions des IREM pour la formation initiale des enseignants ?
Réflexion aussi sur un questionnaire pour les formations continues.

Date limite : fin décembre pour tout le monde.

Le sujet n’est pas abordé en réunion, faute de temps.