Lieu : Bâtiment Sophie Germain salle 2017 et en visio
https://umontpellier-fr.zoom.us/j/82152852604?pwd=cVNiRy9YZmR3bFM3a283SkY2TjBhZz09

ID de réunion : 821 5285 2604
Code secret : 068279

Jeudi 01 juillet 2021 10h- 19h

Marion Le Gonidec est présentée comme sa successeuse par Dominique (IREM de la Réunion) ; c’est en fait une courte introduction et Marion se présente elle-même en détail. Highlight : « l’IREM, je suis tombée dedans quand j’étais petite » ; chercheure en maths discrètes ; participe à MATh.en.JEANS ; implication dans le groupe liaison Lycée-Supérieur ; groupe Culture Maths avec Mayotte ; animations thématiques de la caravane de l’IREM. Nouveau statut : IREMI.
Anne rappelle la belle journée des 20 ans de l’IREM de La Réunion.
Marion viendra autant que faire se peut pour les réunions de l’ADIREM.
Vote à l’unanimité

Renouvellements : François Recher pour Lille. Philippe Le Borgne continue également à Besançon. Élise Janvresse également à Amiens.

Jean-Jacques Salone, pour l’IREMIS de Mayotte. Création actée en juin. Nomination du directeur à venir pour 2 ans a priori, aidé d’un directeur adjoint. Ils ont des heures via l’université, au niveau du rectorat c’est encore en négociation ; l’IREMIS est surtout considéré comme « prestataire de services », en particulier pour la formation initiale des enseignants : le concours est dérogatoire à Mayotte, et se passe en fin de L3 (très fort taux de contractuels dans le secondaire).

Pas de nouvelles de l’IREM de Nice. Il y a pourtant eu des réunions cette année...

Pas d’IREM non plus à Versailles. C’est compliqué également. Est-ce souhaitable de différencier les structures ?

Thématiques 2020-2021 :

• Cycles 1, 2, 3 - Possibilité de donner des heures du réseau à des CPC ou des IEN (RMC, nous savions déjà)
• Lycée et liaison avec l’enseignement supérieur - Avec lycée pro (même si on peut prendre les heures dans Autres sciences)
• Évaluation et différenciation - Peu de groupes (priorité depuis 2017)
• Interdisciplinarité avec les mathématiques - Concerne de moins en moins les lycées avec la réforme, mais toujours des actions en collège.
• Algorithmique / Informatique et sciences du numérique - Depuis plusieurs années (majoritairement Autres Sciences)
• Autres sciences - Demande de la DGESCO, à maintenir - Mais aussi philosophes, artistes...

Difficultés (notamment à Toulouse) à donner des heures au premier degré, disponibilité des collègues qui doivent quitter leurs classes alors qu’ils ne sont pas remplacés. Le rectorat n’autorise pas les collègues. À Reims, ce sont des PEMF qui ont une certaine liberté dans leur emploi du temps.
Par contre, problème des heures supplémentaires, il a fallu faire le forcing et trouver le taux horaire pour la rémunération (donc la bonne modalité de paiement).
Il peut exister un problème technique de conversion HSE-IMP (statuts) pour les heures BOPA. Pas de problème pour les heures APN.
Idée (Montpellier) : faire passer les activités du groupe comme un stage donnant lieu à remplacements (les jours peuvent éventuellement être imposés par le DASEN).
À Grenoble, négociations avec les DSDEN. Nécessité de signer des conventions avec le DASEN.
La Réunion, quelques cas de négociations directes avec les IEN. Autre possibilité : les RMC.

Dans la rédaction du vademecum pour les RMC, il avait été fait mention de groupes de RMC (comme possibles groupes IREM).

Faire un effort vers le premier degré malgré les difficultés pour réunir les PE.

Thématiques 2021-2022 :

• Cycles 1, 2, 3 - Ajout d’un paragraphe sur les RMC
• Lycée et liaison avec l’enseignement supérieur (Continuum BAC -3 BAC +3) - Il risque d’apparaître des difficultés cette année... Insister sur la continuité pédagogique.
• Interdisciplinarité avec les mathématiques - Empêchés
• Différenciation et publics à besoins spécifiques
  Certaines universités poussent à évaluer par compétences. Faut-il travailler sur ce sujet ?
  Ouverture à Paris d’un groupe pour élèves à besoins particuliers. À Marseille, Toulouse (langue des signes) également.
  Différenciation comme geste professionnel.
  L’INSPE de Marseille évalue par attendus. Pas de définition...
  Il faudrait en parler au CS.
  6 compétences mathématiques pour le lycée (déjà ancien). Au collège il y a une grille d’évaluation par compétences.
• Algorithmique / Informatique et sciences du numérique - On est dans les nouveaux CAPES et Agrégation
• Autres sciences

Rappel : les PRAG peuvent avoir des heures via l’Adirem pour des responsabilités pour le réseau (Publimaths, etc). Pour le reste, il faut voir avec les universités.

NB : il faut relancer les conventions avec la CDUS et avec le réseau des INSPE. En particulier, ça peut aider à ce que les non-matheux puissent aussi avoir des heures via la fac.

Le rectorat d’Amiens n’aurait pas reçu la dotation. Fournir l’annexe de la convention. Anne demande confirmation au ministère de l’envoi. Idem pour Antilles.
Pour Toulouse, il semble qu’il y ait un problème dans l’outil en ligne.
Pour les établissements privés sous contrat, il y a un problème de paiement. Ce n’est pas le rectorat qui paie, cela nécessite d’anticiper ces paiements. Visiblement cela dépend des académies.

Présentation du site (très convivial et pratique d’utilisation) par François.
Anne aimerait qu’on arrive à avoir le suivi du développement professionnel des animateurs.
Bénédicte dit que c’est difficile d’avoir les statistiques détaillées pour les formations.
Normalement le rectorat devrait pouvoir envoyer les listings de toutes les formations d’un IREM ?
Bénédicte : on ne voit pas les formations vers une autre académie, ou les liens entre IREMs.
Francois et Anne réfléchissent à faire apparaître les participations dans les CII.
Elise demande un listing des groupes de tous les IREMs. Une version en ligne cliquable du rapport est aussi envisagée.

Consignes à respecter : résumé court ! (moins de environ 6 lignes)

Remarque : il n’y a pas (encore ?) d’outil équivalent pour les CII.

Entretien à la demande de la DGSIP. Réunion annuelle habituelle.
Ils voulaient savoir si on avait depensé l’argent...
On a répondu sincèrement (d’autant plus qu’ils nous ont aidé à avoir des reports).
On leur a parlé de nos projets (notamment Publimath) en indiquant qu’on ne dépenserait probablement pas tout cette année.
Ils sont d’accord sur le principe sur le fait que cet argent puisse aider des IREMs en difficulté.
Par contre il n’est pas clair que la dotation soit complètement reconduite... On a expliqué que ce serait plus simple au niveau de l’université de Lille qui gère le budget que ce budget ne change pas d’une année sur l’autre.
Ce sera d’autant plus facile si on arrive à dépenser notre argent.
Propositions d’achats collectifs

• Exposition de l’IREM de Marseille
• Valise de la Grange des Maths destinée aux primaires (activité conçue à l’IREM de Grenoble) - Reprise d’existant à l’IRES de Toulouse.
• Comment valoriser nos conceptions de matériel ?
  Sans être « pillé » ?
  Mutualiser un savoir-faire.

Il faudrait identifier, recenser les ressources (expositions, jeux, matériel, ) disponibles dans les IREM.

Attention, plus de 800 euros = investissement ; on ne peut pas forcément dépenser l’argent comme ça...

Pour fin septembre, les IREM intéressés par l’acquisition de matériel doivent se signaler et les IREM ayant du matériel apportent des devis pour d’éventuelles reproductions.
Exposition de Marseille : https://www.irem.univ-mrs.fr/expo2013/
La Grange des Maths : https://www.la-grange-des-maths.fr/valise-pedagogique-primaire/

jeux maths Toulouse : https://ires.univ-tlse3.fr/jeux-mathematiques/ressources/

Le GIS s’arrête à la fin de l’année civile.
Il reste 9000€ dans le GIS qu’il faut dépenser avant la fin de l’année 2021.
Propositions :

• Rachat (nom de la revue et droits de copie) de Repères-IREM qui appartient pour le moment à Topiques édition. Comité d’édition : CII Repères. Repères est actuellement fabriqué à l’université de Grenoble.
  Réunion avec les acteurs. La revue pourrait être cédée modulo compensation financière. La réserve est qu’ils voudraient conserver la mise en page (même si celle-ci est un peu dépassée).
  Dans quel IREM rapatrier la revue ?
  Début d’écriture d’un contrat de cession de 4800€ (TTC) (prix de la mise en page de 4 numéros) cosigné par les éditions Topiques, le responsable du GIS, la présidence de l’université de Paris et la présidence de Grenoble. Le contrat prévoit que Topiques continue à s’occuper de la mise en pages (et à être payé pour ça). Le GIS ne peut pas être propriétaire de quoi que ce soit. C’est pourquoi il doit être dans une université. Les juristes guideront pour déterminer la structure propriétaire.

Question de la publication uniquement en ligne ? Garder les deux.

Tirage : 250 par numéro avec 4 numéros par an.

Il faut demander aux groupes de publier dans les 3 revues d’interface car il y a un manque de production d’articles. Il existe une quatrième revue de recherche, les Annales de Didactique et de Sciences Cognitives à Strasbourg.

Avons-nous trop de revues par rapport aux productions et au nombre de lecteurs ?
Est-il envisageable d’avoir une seule revue ?

Il y a eu un sondage sur l’utilisation des revues par les étudiants (Marc Moyon). Faudrait-il le relancer ?
On ne saura pas si les étudiants sont en capacité de relier les revues avec le réseau des IREM.

Réunion le 25 juin 2021. Proposition d’écrire un cahier des charges pour être certain que Publimath continue à exister. Adaptation aux nouveaux outils de documentation : techniques, ergonomiques.
Cela rend les choses compliquées.
Il faut se faire aider pour la rédaction : bibliothécaires d’IREM et/ou universitaires, des documentalistes d’établissements scolaires. Il pourrait y avoir Jérôme Barberon de Paris. Mais il faudrait des professionnels avec un regard critique sur l’outil actuel.
Rédaction d’un appel d’offre pour septembre avec engagement de dépenses avant la fin de l’année.
Ce pourrait être le même prestataire (BBS) que pour le site portail.
Le serveur devrait pouvoir être consultable directement par le (nouveau) site portail de l’Adirem.
Les personnes actives dans Publimath sont peu nombreuses :

• Michèle Bechler
• Hombeline Languereau
• Jean-Louis Maltret
  et il faudrait pouvoir assurer la transition pour les futurs responsables. Il existe des documentations du code produit, mais le développement a un côté « maison ».

Le site est opérationnel, il reste à mettre l’ancien dans le nouveau... (yapluka)
Il y a une partie mécanique minimale que François peut faire a Lille avec le secrétariat.
Une documentation va être écrite par Lille. Après on pourra se mettre au travail.
Il faudra une manière de tagger les articles transférés, ceux qui ne le sont pas, ceux qu’il ne faut pas transférer...
Problème : comment intégrer la partie Repères IREM ? Ce n’est pas forcément la peine d’avoir les pdf à deux endroits différents (PubliMaths + site portail).
Situation transitoire : pointer vers Publimath pour tous les anciens numéros.

Problème des CII : certaines ont un site ailleurs ( :(...) d’autres ont un site très fourni et on ne pourra pas leur demander de faire la bascule eux-mêmes.

À Toulouse :

• Épistémologie : 20-21 mai 2022 - environ 60 personnes
• COPIRELEM : 14-16 juin 2022 - environ 200 personnes
• Langue des signes : 21 mai 2022
  Demandes de subventions à la Région.
  Habituellement l’ADIREM donne 2000€ par colloque, la décision sera prise lors de la prochaine ADIREM.

À Nantes :

• CORFEM les 9-10 juin 2022 - environ 80 personnes
  Avec séminaire de l’Adirem adossé à cette CII avec l’accord de Magali Hersant.

Ce serait bien que nos colloques puissent à nouveau être dans le Plan National de Formation.

Possibilité d’organiser les colloques IREM pendant les vacances (dans le cadre des stages payés maximum 120€ par jour). Mais d’un autre côté, c’est à la charge des rectorats qui n’ont pas plus d’argent pour autant...

À Reims :

• Enseignement de l’informatique (titre à confirmer). Possibilité d’accueil dans les locaux de la faculté des sciences et demandes de subvention à envoyer pour septembre. Comodal. Contacts à prendre avec la CII-Informatique, la CII-Lycée et la CII-Université. Durée : 2 jours en janvier-février 2022. Fabien se renseigne.

Amorce pour 2022-2023 :

• CII Collège à Bordeaux (juin 2023) avec la CII Lycée pro
• COPIRELEM envisagent à Marseille (Luminy) 13-15 juin 2023
• CORFEM à Nantes (deux ans au même endroit)
• CII Lycée et CII Université à Limoges autour d’un premier bilan des réformes actuelles du lycée avec séminaire de l’ADIREM

• Vendredi 01 octobre 2021 suivie de la journée des CIIs le samedi 02 octobre 2021 à Paris
• Lundi 6 (après-midi) et mardi 7 décembre (matin) à Paris.
• Jeudi 24 (après-midi) et vendredi 25 (matin) mars 2022 à Paris
• Mercredi 8 juin 2022 à Nantes suivi de la participation à la CORFEM des jeudi 9 et vendredi 10 juin 2022

Signature la semaine prochaine d’une convention avec le CNRS (un des prolongements de l’année des mathématiques).
Stages (conférences le matin et ateliers ou groupes de travail l’après-midi) tamponnés IREM-CNRS et engagement de faire participer les collègues des laboratoires à s’investir dans les stages et la diffusion vers le secondaire.
Incitation auprès des directeurs de laboratoire. Fera partie de l’évaluation des laboratoires. Correspondant dans les laboratoires.
Les stages seront mis au PAF par l’IREM.
Question de la rémunération : suivant les rectorats, peut être intégré dans les moyens des IREM ou encore comme mission de diffusion des enseignants-chercheurs.

Attendre d’avoir plus de présents. À mettre en début la prochaine fois.

• Enquête sur la formation initiale dans les INSPÉ, lancée il y a deux ans. Le ministère demande régulièrement des données chiffrées. Il serait bon de la relancer : revoir le questionnaire et mandater une personne (ou deux) pour gérer l’enquête. Ce pourrait être une bonne façon de faire de la publicité pour les IREM dans le formations. Il y avait 4 questionnaires (à redemander à Stéphane car ils ne sont plus en ligne). Ils peuvent sans doute être rassemblés étant donné l’évolution des formations.

• Il existe une enquête sur la formation continue mise en place par Christian Mercat il y a quelques années. Mais celle-ci n’est pas utilisée. Il faudrait trouver une manière de faire remplir ce questionnaire aux stagiaires. Cela pourrait fournir des données par IREM, par stage, par thème... Il faut aller voir ce qu’avait fait Christian.

Philippe Le Borgne, Abdelkader Necer et Olivier Guès sont volontaires.

Chacun est invité à regarder les demandes de l’APMEP : Réflexion sur l’enseignement des mathématiques au XXIe siècle.

Notamment : Formation + Métier

L’ADIREM pourrait écrire au rapporteur sur le volet formation continue, lui dire que les IREM existe, que nous avons des propositions à faire notamment sur la durée des stages.

L’éducation nationale veut former des élèves autonomes et responsables mais n’a pas les mêmes positions ou ambitions pour son personnel. Vision très descendante au lieu de faire confiance. Plus de liberté pourrait permettre d’investissement de chacun.
Ce rapport n’est pas très médiatique. Il contient des clichés, notamment dans les réactions des sénateurs à la fin du rapport. Avons-nous intérêt à investir du temps sur un commentaire qui sera sans doute enterré ? Mais, comme on parle beaucoup des mathématiques en ce moment, c’est peut-être une opportunité.
Beaucoup des arguments touchent aussi beaucoup de disciplines. Si le souhait est de prendre la spécificité des mathématiques au sérieux, c’est le moment.
Parler d’investissement et non de dépense lorsqu’on parle d’enseignement.
Comme le budget est constant, il n’est pas possible d’avoir un véritable impact.
On pourrait interpeller les intervenants ou nos sénateurs.
Noter également les incohérences entre les mesures du plan et la réforme du lycée et du BAC.
Ne sont pas mentionnées dans la baisse d’adhésion à la formation continue les années réservées aux réformes : collèges, lycées, introduction de l’informatique...
Il est nécessaire de définir les priorités.
Les enveloppes ont également été amputées d’un volume pour les formations à l’initiative des chefs d’établissement (qui n’ont pas été utilisées).

Envoyer à Anne des commentaires qui produira une synthèse pour la rentrée.

Demande à la CII-U sur les nouveaux bacheliers : choix des enseignements de spécialités, choix des filières, respect de l’affichage des universités...
ParcoursSup va faire cette enquête au niveau national et au niveau des académies.
Informations via le responsable universitaire de ParcoursSup.
La CII-U pourrait être vigilante sur les retours de l’enquête.
Quel choix à côté des mathématiques ? Notamment pour les futurs profs. Variété des profils.
Les physiciens ont peur des couplages.
Consulter les rapports de la DEPP, notamment sur les choix d’options.
Existe-t-il des données sur la répartition géographique ?
Note pour revoir les spécialités dans les lycées dans l’objectif de restreindre l’offre : sujet compliqué pour les chefs d’établissement.

À Lyon : choix pour les mathématiques en baisse par rapport à ce qui avait été envisagé (50%). La question de ce qui se passe avant est de nouveau posée : liaison collège-lycée.

La liberté de choix : est-ce une pente ou cela revient périodiquement ?
Horizon 20 21 pour regarder à quoi peuvent mener les choix des élèves. Le système est biaisé...
Les statistiques concernant les milieux sociaux sont aussi parlantes.
Cela risque de créer des situations difficiles...
La CFEM fait des commentaires et intervient régulièrement sur ces questions.
Il y a quelques années : tentative d’écriture d’un programme commun pour les scientifiques. Ce travail a été jeté.
Faire savoir que les IREM soutiennent l’interdisciplinarité et que les spécialités empêchent ce travail. Les liens ont été coupés à la hache. C’est un grave problème de la réforme.
S’ajoute aussi des politiques d’établissements avec des problématiques de postes.
Les profs d’histoire géographie sont plus écoutés, plus présents que les matheux.
La nécessité qu’un citoyen doit connaître des sciences est très mal perçue par les politiciens.

(Très peu de choses dans le rapport Longuet dessus)
Le système rentre dans sa 3ème année, les premiers arrivent en master,
Questions : le master est-il forcément MEEF ? (actuellement, oui)
Vont-ils être en responsabilité ?
(Par exemple ce ne sera pas le cas dans l’académie de Bordeaux)
Les situations sont très diverses selon les académies.
Appel pour savoir ce qui se passe dans les différents endroits, et pour ceux qui sont intéressés, appel à s’inscrire sur la liste debat-meef
La CFEM a rédigé un texte a destination des politiques posant ces questions. Le texte a aussi été envoyé aux services du ministère et à l’inspection. Très peu de réponse.
Réponse de l’inspection (Johann Yebbou) : « ce sujet est complètement en dehors de notre champ »
Main mise de la DGRH.
Les IREMs peuvent essayer de savoir ce qui se passe, et éventuellement discuter avec l’inspection en local, mais ils ne sont a priori pas forcement décisionnaires
À Poitiers pour les maths le rectorat arrête.
Probablement que la DGESCO a eu d’autres urgences avec la réforme du bac...
De même les contacts avec la mission mathématique sont inexistants.

Réduit à de la préparations pédagogiques internes pour les laboratoires qui vivent.
Les universités avaient eu des moyens pour 2018/2019.
Nous, universitaires, n’avons pas été à la hauteur de ce que le plan prévoyait.
Les laboratoires sont au point mort.
Il y a bien une carte interactive mais on ne sait pas bien ce qu’il y a derrière.
Les IREM étaient contactés au début, mais après ils se sont multipliés sans les IREM.
À Bordeaux, des animateurs étaient dans certains laboratoires, ce qui a facilité les choses. Pour les autres, pas d’informations. Vacations du rectorat avec frais de déplacement pris en charge par l’université.
À Paris Nord, le rectorat a reçu en décembre 2000€ pour les laboratoires de mathématiques, elle souhaite le confier à l’IREM après dépôt d’un projet d’intervention auprès des laboratoires. Mais n’a pas encore communiqué le nom des laboratoires. L’un d’entre eux a contacté l’IREM : deux interventions ont été faites.
À Marseille, première année 10000€ pour l’IREM pour les labos. Dépensés dans 8 labos dont un collège. Quelques formations l’année suivante et puis covid... Le financement pour l’université est arrêté mais des liens sont maintenus avec l’IREM. Le chargé de mission a reçu 1 IMP par labo pour programmer les activités des labos. On peut espérer (?) que ces IMP ne soient pas prises sur les heures de l’IREM. Volonté d’ouvrir dans les collèges avec élargissement au bassin.
À La Réunion, l’IREM avait soutenu par des IMP la mise en place de deux laboratoires. Trois universitaires sont intervenus dans 4 établissements. Seul un laboratoire semble continuer à fonctionner.

Les collègues que l’on connaît dans les labos ont du mal à les faire vivre. Les IREM sont disposés à les aider si des moyens sont mis à disposition.

Il faudrait que le bureau de l’Adirem demande un rendez-vous à C.T. pour faire un point... Il faut maintenir ce contact.

À Toulouse le rectorat demande des interventions d’universitaires, mais en mathématiques il n’y a pas de volontaires.

Réseau Thématique Pluridisciplinaire du CNRS.

Recueillir des retours terrains, défis d’activités rituelles à mettre en place, observables à mettre en face. Données massives pour révéler des évidences.

Attention. Qui interprète quoi ? Quels sont les paramètres ?

Demander à Christian des explications claires.

Anne va faire suivre le message.

Fabien serait intéressé car il a un thésard russe.