Lieu : https://umontpellier-fr.zoom.us/j/82152852604?pwd=cVNiRy9YZmR3bFM3a283SkY2TjBhZz09
ID de réunion : 821 5285 2604
Code secret : code : 068279
Jeudi 25 mars 2021 14h- 17h30
Tour de table |
Il commence par une discussion à bâtons rompus sur divers sujets préoccupants que nous aborderons ensuite.
Heures BOPA (IMP) de Rennes : quelle est la répartition ?
Article CFEM sur les baisses de moyens dans les IREM
Heures 140/141 : sont-elles reçues ? Oui à Strasbourg (reçu le 22 mars, parti de la DGESCO le 11 mars) mais ce n’est pas le cas dans tous les IREM.
Anne annonce la couleur : invités du jour et du lendemain ; les points à l’OdJ
Elise indique qu’une collègue souhaite faire un inventaire du matériel pédagogique et ludique présent dans les IREM pour à terme équiper des salles de Maths. Cette collègue ou Elise nous envoie un sondage par mail.
Approbation du CR de la réunion de décembre 2020 Pas d’opposition, pas d’abstention : le CR est approuvé des 21 membres de l’ADIREM présents. |
Tour de table et point rapide sur les activités et difficultés éventuelles de chaque IREM |
Le point : 1° Groupes, 2° Formations, 3° Diffusion 4° Éventuellement difficultés
Abdelkader (Limoges) : pas de diffusion (sauf FdS + prêts d’expositions, exposés en mai) ; ERR (équipes de réflexion et de recherche) = > bilan positif (3/4)
stages : 2/3 avec taux d’absence
Mohamed (Strasbourg) : Réunion des groupes : la moitié en distanciel, mais les jeunes arrivés récemment ont lâché... Mohamed a demandé à chaque groupe un CR d’activité, des brochures sont en cours de rédaction (Maths-Arts, Maths-Archi, ...).
Pas de réunion des groupes. Annulation de toutes les réunions et conférences.
Formations : toutes ont eu lieu en collaboration avec les IA/IPR.
Rallye : 1ere (fait) et terminale (la semaine prochaine)
Bénédicte (Toulouse) : Diffusion = maintien des rallyes (maths et sciences expérimentales), mais pas de réunion finale ; jeux maths annulés ; les responsables des groupes doivent rendre compte auprès de la DAFPEN des présents lors des réunions. Les réunions sont essentiellement en distanciel. Bénédicte s’en servira pour la distribution des IMP.
Frédéric (Dijon) : fermeture du secrétariat, peu de rencontre dans les groupes (sauf écoles), pas de formations sauf pour les étudiants
réouverture après les vacances de Pâques
Journée 17 juin : réunion de fin d’année et de relance
Philippe (Besançon) : l’IREM tourne très moyennement (70%) beaucoup de groupes travaillent à distance ; certains ont arrêté dès novembre, et reprendront en septembre. Les stages fonctionnent en hybride. Les deux salles contiguës permettent de fonctionner presqu’en présentiel (12 places assises en respect des consignes). La FdS a été annulée. Pas de publication. Séminaire de fin d’année en présentiel hybride.
André (Caen) : l’IREM vit au ralenti, les groupes se réunissent sans forcément le signaler : DNL, Rallye, c’est sûr. Espère une rencontre (dehors ?) en juin pour relancer l’IREM en septembre
André (Nancy) : les groupes fonctionnent à distance (plus pratique) avec planning ; diffusion : en sommeil, nuit des maths prévue en juin ? formations PAF ont lieu à distance (jusqu’à début mai au moins) + pb avec agrégation (formation hybride ou à distance). Peu d’emprunts de livres car peu d’étudiants. Formations RMC autorisées en présentiel.
Youssef (Poitiers) : pas de réunion en présentiel, tout se passe en distanciel : formations PAF, RMC, avec une jauge de 6 personnes. Le groupe collège est actif (l’enseignement des mathématiques par les grandeurs), avec présentation à la Rectrice du projet à La Roche Posay. L’espace Mendès-France continue à prêter l’expo de l’IREM aux établissements.
Thierry (Clermont) : la diffusion se limite à l’organisation du Rallye et de Maths C2+ (JPO annulées) ; les groupes fonctionnent en distanciel. Formations : peu sont maintenues.
Christophe (Brest) : un groupe fonctionne, le groupe MAREL, c’est plus compliqué pour les autres. La non-présence implique du ralenti. Les conférences sont annulées ainsi que le colloque de février. Pas de formation particulière en ce moment.
Christophe (Paris) : Administration fermée depuis Octobre, mais la bibliothèque (incluse dans celle des maths) reste ouverte. Les règles changeant tous les mois, c’est compliqué. en ce moment, les formations sont annulées ou reportées dans l’Acad. de Paris, mais restent ouvertes à Créteil et Versailles. Certains groupes se sont arrêtés. Sur la diffusion : une conférence en présentiel avec 80 lycéens dans un amphi...
Dominique (La Réunion) : L’île est relativement privilégiée sans confinement, et un couvre-feu récent seulement. La diffusion subsiste (FdS : une après-midi de conférence, SdM la semaine prochaine, fête des 20 ans prochaine en webinaire). Le séminaire mensuel a lieu normalement (soit présentiel, soit hybride pour permettre aux collègues de Mayotte et Madagascar de participer). Le couvre feu a fait basculer les formations en distanciel.
Elise (Amiens) : les groupes tournent de manière diversifiée (bien : WIMS, jeux ; moins bien : -3+3 et les autres) ; un rallye avec l’IREM de Rouen a eu lieu mais il sera sans finale. Les exposés ne passent pas forcément par l’IREM, et il y en a moins que d’habitude. Les formations au PAF se résument à celles à distance (WIMS et Python), la formation IREM est repoussée à mi-juin. Mini-formations sur Zoom. Pas de FdS.
Célia (Antilles) : l’IREM est sur les deux Académies, donc il n’y a pas eu d’échange entre les deux sections. Les formations assurées par l’IREM sont pilotées par les Académies. Le Rallye a pu être préparé normalement, mais il n’y aura pas de finale en Guadeloupe (et sont reportées en Martinique). Souci : les heures APN 2018-2019 ne sont pas versées. La SdM a eu lieu.
François (Lille) : le secrétariat a été ouvert trois jours par semaine et plus qu’une journée maintenant. Les groupes se réunissent en petit comité ou à distance. Trois stages sont assurés sur les 13 prévus (et en distanciel). Le Rectorat ayant mis à 20 la jauge de stages qui n’ouvrent qu’à partir de 25, ça n’aide pas... Le rallye, essentiellement manipulatoire, ne peut être organisé, mais l’IREM publie en ligne un lot d’énigmes. Le côté positif est que ça marche même au-delà de l’Académie. MATH.en.Jeans se réduit à une journée en distanciel pour les Hauts de France en avril (deux séances d’ateliers + une conférence). Les conférences mathématiques itinérantes sont annulées ainsi que tout le reste. Mais deux conférences M.e.J sont prévues. MathsC++ est annulé pour cause d’incertitudes d’organisation (du côté de l’EN). Mohamed précise que les sous sont déjà là.
Anne ajoute que François ayant la chance d’avoir deux secrétaires, dont le réseau profite beaucoup, elle propose de leur porter un toast et les remercie !
Marie-Line (Aquitaine) : Secrétariat en télétravail, groupes à distance, Le groupe Rallye s’est réuni dans la clandestinité en lycée. Le distanciel pose problème notamment pour un groupe qui risque de disparaître. Au niveau des labos maths, du distanciel. Le TFJM est lancé. Une journée de type « filles et maths » sera organisée en distanciel. M-L préférerait du présentiel. Un déplacement a lieu dans une école mais sans OM.
Toutes les formations sont a priori annulées.
Michèle (Grenoble) : Un séminaire de lancement a eu lieu en octobre et ça a été une bonne idée. Le projet Pegase du PIA2 a permis une certaine dynamique. La plupart des groupes se réunissent encore, tous les 15 jours, la plupart en distanciel. Les formations ont évolué vers ce format aussi, mais des déplacements ont lieu dans les écoles, pour accompagner les enseignants en classe. L’IREM a bien œuvré pour la SdM, en présentiel et en distanciel également. Maths C2+ ; une journée présentielle est maintenue. Les revues continuent à sortir, la journée APMEP a été annulée.
Olivier (Marseille) : les groupes ont travaillé à distance (Zoom) ou en présentiel, selon les consignes. Des évolutions dans certains groupes (Jeux, Histoire), avec un peu plus de difficultés dans les groupes IRES (physique). Diffusion : deux brochures du groupe Lycée pro, dont une BD « Mathéopolis » pas mal fichue. Patrick, de l’iREM de Lyon, qui a payé l’impression, en fait la publicité (disponible à l’achat sur le site de l’IREM de Lyon). L’IREM la diffuse à tous les participants enseignants aux stages HIppocampe.
Anne fait remarquer que certaines actions n’apparaissent pas dans le rapport d’activité. Les formations continuent en hybride en général. La discussion sur le PAF est en cours avec les IPR.
Patrick (Lyon) : 80% des groupes ont fonctionné normalement. Le Rallye c’est comme ailleurs : la finale n’aura pas lieu. L’agrég interne, ça a été compliqué. Pour les formations du PAF, Patrick saura en dire plus prochainement. Math-City-Map est l’objet d’un MOOC qui fonctionne bien (plus de 50 enseignants français).
Patrick (Rouen) : C’est vraiment au ralenti. Les stages ont été interdits par le Rectorat. Les groupes fonctionnent plutôt bien, en distanciel. Les Rallyes (contribution à celui d’Amiens) sont un peu moins ambitieux que prévu. Les stages n’auront pas lieu. La conférencière Anne Boyé, prévue acceptait le distanciel, mais les autres formateurs ont préféré renoncer, donc les stages sont annulés. 50% du budget 2020 (université) sera reconduit, mais Patrick craint pour le reste....
L’international fonctionne bien, car le séminaire est habituellement en distanciel (organisé par Christian Mercat)
Vincent (Centre / VdL) : L’activité n’étant « pas démentielle », elle a été peu impactée. Les groupes se réunissent à distance. La Journée académique, co-organisée avec l’APMEP et le Rectorat, aura bien lieu cette année. Une brochure est prévue, en association avec le labo de maths. C’est une première brochure modeste, mais elle permet de relancer les groupes.
Anne (Montpellier) : Pas le droit de recevoir du public (dont les professeurs du secondaire). La DAFPEN a décidé que tout était en distanciel, et plus récemment, que le présentiel possible, mais limité à 6 personnes. Les préparations aux concours internes se passent sans accès à la bibliothèque. Le groupe de Physique-Chimie s’est arrêté cette année. Un groupe astro est espéré. En diffusion : rien puisque d’habitude c’est avec du matériel.
(Nouvelle Calédonie) : c’est Anne qui intervient puisqu’il n’y a plus de direction, Alban ayant été nommé en prépa. On craint pour l’IREM de NC car personne n’a voulu prendre la direction.
Nice : on en parlera demain matin.
Anne conclut : on espère qu’on parviendra à remobiliser les troupes et à redémarrer les activités, tiraillés entre deux systèmes ayant des fonctionnements antagonistes.
Le point sur les deux budgets (GIS et ADIREM) : état des dépenses |
GIS : budget fin 2020 (reporté en 2021 car convention pluriannuelle) : 10 835 €
Rappel 1 : le budget est composé de cotisations annuelles de 250 € par IREM adhérent (15 en tout).
Rappel 2 : le budget ne sera pas reporté de 2021 à 2022 (fin de la convention, début d’une autre convention).
- > Problème : comment dépenser cette somme de presque 11 000 € d’ici à décembre 2021 ?
- > Proposition : ne pas lancer les cotisations 2021 (3 750 € en tout).
- > Autres idées : Repère IREM (point suivant) ? Autres idées d’ici demain ? Appel à projet dans les IREM ?
On reprend la discussion le vendredi matin.
GIS : la présente convention se termine en décembre 2021, ce qui implique qu’on ait tout dépensé avant la fin décembre (cf. ci-dessus).
Christophe réitère sa proposition de ne pas cotiser en 2021.
François annonce du positif : il a réussi à trouver des vrais interlocuteurs dans le service compta de l’ULille. L’argent reçu l’est pour charge du service public, donc l’université n’a pas le droit de la récupérer.
Plan VT : arrivé avec la même marque SCSP (Subvention pour Charge du Service Public).
François présente les comptes du réseau, avec un solde positif de de plus de 30000€. Et tout est reportable !
Anne : il y a un budget à dépenser d’urgence, mais pas les deux (puisque François a bien séparé les deux).
1° Racheter le titre Repères-IREM, et/ou aider l’IREM de Grenoble pour la publication de Repères.
2° Dépenses évoquées à la dernière ADIREM pour Publimath : état des lieux, investissements... Comment se font les paiements ? En 2020, nous avons fini de régler la facture 2019 du prestataire de Publimath (BBS)
Repères-IREM |
Yves (responsable de la CII Repères) est présent, ainsi que Michèle qui prend la main pour expliquer la situation.
Michèle : depuis quelques années, la revue appartenait à Topiques éditions, entreprise privée appartenant à Philippe Lombard, qui est le fondateur de la revue. Cela posait un problème éthique. L’IREM de Grenoble a récupéré la diffusion de la revue (impression, distribution, etc.), mais les services de l’UGA ont tiqué, car aucun contrat ne lie l’IREM à Topiques éditions. Il y a donc un petit problème d’ordre juridique.
En outre, l’IREM de Grenoble ne tire aucun bénéfice de la revue, ce qui n’est pas anormal, mais en fait perd de l’argent depuis 2 ans. On s’en aperçoit maintenant, une fois tout remis en ordre. Par exemple, les droits de copie vont à Topiques (ce qui est normal puisque Topiques en est propriétaire).
Discussions existantes avec Yves (rédac’chef) depuis un moment.
Puisqu’on a de l’argent, ne faut-il pas en profiter pour racheter le titre à son propriétaire ?
NB : l’IREM de Grenoble verse chaque année 4800€ à Philippe Lombard pour la saisie et mise en page de la revue.
Yves : effectivement, le problème est posé depuis 2010 (les 20 ans de Repères) date à laquelle la question se posait de la pérennité de la revue, puisque Philippe et Michèle (propriétaires, créateurs et concepteurs) prenaient leurs retraites.
Questions posées alors : fabrication des numéros, droits. Yves avait proposé qu’il y ait une sorte de convention entre Topiques et l’IREM de Grenoble. Yves était étonné que l’IREM de Grenoble puisse prendre en charge la diffusion d’une revue privée.
Il faudrait a minima une convention entre Topiques et l’Adirem. Yves n’est a priori pas favorable a un changement de nom de la revue.
Question du dépôt légal : c’est Grenoble qui dépose, mais sur le site de la BnF, la publication reste attribuée à Topiques éditions.
Premier pas il y a 2 ans avec le rapatriement à Grenoble.
Anne pense qu’un groupe de travail, dirigé par Michèle, devrait préparer le rachat du titre. Yves suggère qu’on demande à Philippe ce qu’il en pense. Les candidatures sont sollicitées. Seraient membres de ce groupe : Anne C, Michèle G, Marie-Line C, Yves D, Patrick B et Frédéric M ; avec quelqu’un d’autre de Repères, qui sera désigné en comité.
On s’engage sur un morceau de budget (Anne pense qu’on pourrait garder 10 000 € pour ça), sur l’argent du GIS qui risque d’être perdu sinon.
Colloques 2021 |
- COPIRELEM de Grenoble : Michèle nous rappelle que la première annonce est parue ; le colloque est maintenu en distanciel. L’ADIREM était sollicitée pour participation au budget, mais il n’y a pas besoin d’argent pour l’instant, Grenoble en a suffisamment ! Les inscriptions sont baissées à 10€.
L’ouverture au public pourrait être plus large (avec gratuité) et que seule l’inscription aux ateliers soit payante. La participation aux frais pourrait « obliger » les participants à s’engager. Les dates : du 15 au 17 juin.
- CORFEM à Strasbourg par Mohamed : ce sera 100% distanciel. La DNUM de Strasbourg demande des précisions pour l’organisation informatique. L’inscription pourrait être gratuite. L’ADIREM pourrait être sollicitée financièrement pour équilibre a posteriori, par exemple si les conférenciers sont enregistrés.
Il manque encore le titre des conférences et le nombre d’ateliers.
Il faut lancer les inscriptions dès maintenant. C’est pour les 11 et 12 juin.
NB : il y aura des attestations de présence après, mais Bénédicte demande qu’on puisse avoir des attestations de pré-inscription des participants, pour pouvoir établir des bons de commande.
Les autres colloques du réseau ont été annulés. La question des heures attribuées avait déjà été réglée ; François signale qu’il n’y a donc aucune heure à redistribuer.
Remarque de Mohamed : et l’ADIREM prévue à Strasbourg ? On reporte la discussion à plus tard.
- 20 ans de l’IREM de la Réunion (et transformation en IREMI) : ce sera un webinaire zoom ouvert à tous, avec la rectrice, Torossian, des collègues de Mayotte et de Madagascar, la présidente de l’Adirem... Conférences prévues sur les travaux de l’IREM de la Réunion.
IREMI : Evolution en lien avec les relations privilégiées entre les maths et l’informatique. Dans les statuts, changement en cours actuellement, remplacement de maths par maths et info.
- Colloque Lesson studies de Rouen : on en parlera demain avec les personnes concernées.
Journée des CII |
Le Grand Oral pose problème : aura-t-il lieu ? S’il est annulé, la période 20 juin-30 juin sera libre.
Faut-il maintenir la journée des CII ? Le ferait-on fin septembre ? Mais beaucoup de colloque prévus en mars ont été reportés en septembre, donc ça risque de coincer.
Vendredi 1er octobre (toute la journée), samedi 2 octobre ? Ce serait une journée de réunion des CII et si on peut, la journée des CII.
Une réunion ADIREM fin juin ou début juillet ? Cela risque de coincer pour certains.
Disons : 1er juillet toute la journée.
ICMI 14 Shanghaï avec la CFEM (et à HPM Macao) |
ICMI est en hybride avec beaucoup d’interventions à des heures acceptables (12 au 18 juillet). Mais l’inscription est très chère (250 € pour des conférences en ligne...) et il y a aussi HPM juste après.
Ce qui serait bien, c’est qu’on réussisse à inscrire un maximum de collègues d’établissements (1er et 2nd degrés) par le biais de la CFEM, et transmettre à Edwige pour qu’elle puisse nous inscrire.
Prévoir aussi les universitaires qui doivent s’inscrire. On a de l’argent cette année.
Edwige indique que l’inscription sera individuelle et les collègues remboursés ensuite ; le tarif est maintenu jusqu’au dernier moment. La DGESCO attend des données de participation, Edwige a déposé un dossier. La subvention avait été demandée pour des missions à Shangai, ce qui implique maintenant qu’on pourrait être (et il faudrait qu’on soit) nombreux.
Elle nous renvoie un tableau Excel à remplir à cet effet. Elle aimerait un maximum de participants (sans gonfler le nombre artificiellement, donc en restant réalistes et honnêtes). Edwige avait déjà une liste de 80 personnes l’année dernière, mais ce n’est pas suffisant. Il faudrait chercher à toucher davantage de personnes, car ce sera beaucoup plus facile cette année, puisque c’est en ligne.
Edwige rappelle que la présentation française aura lieu le 14 juillet à une heure « française ».
Vendredi, elle signale que le fichier Excel est envoyé par mail. On peut lui demander des précisions par mail, sachant que la liste qu’elle veut constituer permettra de relancer le DGESCO, mais ne donne pas l’assurance de la prise en charge pour tous.
Vendredi 26 mars 2021 9h-12h30
Accueil des nouveaux directeurs et renouvellements (Lorraine, Montpellier, Brest) |
- Lorraine : André présente Vladimir Latocha, son successeur à l’IREM de Lorraine.
Vladimir, ex-étudiant de Toulouse, travaille sur le calcul scientifique, a plus d’une corde à son arc (ex-nageur de haut niveau, intéressé par le bien-être)
Développement de nouveaux groupes ? Oui, en particulier une proposition immédiatement acceptée, un groupe de recherche « Mathématiques et anxiété », dont il explique les grands axes (approche Somatic experiencing de Peter Levine ). Vladimir répond aux questions des participants.
Vladimir commence la semaine prochaine, nous l’accueillons avec enthousiasme.
- Montpellier : Anne termine son deuxième mandat (sans date précise, certes, mais cette année et la main sera passée d’ici la prochaine ADIREM), et va présenter la personne qui lui succède, une petite nouvelle (roulements de tambour...) : c’est Louise Nyssen !
Anne détaille les fonctions multiples de Louise et ses nombreuses responsabilités administratives.
Anne restera Présidente de l’ADIREM jusqu’en décembre et continuera à s’occuper de valorisation à l’REM de Montpellier, entre autres participations à divers groupes.
Comme presque tout a été dit, Louise évoque son parcours (thèse en théorie des nombres à Strasbourg) et indique que son enseignement actuel, centré sur la formation des enseignants.
Louise n’a pas actuellement de projet précis pour l’IREM, mais la transformation en IRES va être un chantier important.
Bénédicte signale la création d’un groupe EDS à Toulouse et propose des échanges.
Accueil clap-clap de l’Assemblée.
- Brest : Christophe, seul candidat, a été élu à 100% des suffrages exprimés. Ce sera son deuxième et dernier mandat.
Frédéric (Dijon) et Olivier (Marseille) signalent qu’ils sont dans le même cas. La discussion porte alors sur les statuts des IREM et les élections, puis les fonctionnements locaux.
Christophe, à Paris, est devenu administrateur provisoire, et en charge de réécrire des statuts (comme Anne à Montpellier) pour une transformation en IRES.
Elise se pose des questions institutionnelles car son tout jeune IREM a un statut un peu flou en ce moment. Anne lui rappelle que sur le « coin des directeurs », une place est réservée aux textes de ce type.
Colloques 2022 |
- COPIRELEM - Devrait-il être à Toulouse ? Bénédicte n’a aucune nouvelle. Et Fabien ne sait pas encore ce qu’il en est, mais dans la Commission, il était question de l’Académie d’Aix (sur place pour Pierre Esseyric). Fabien obtient des nouvelles : en l’état actuel, ce serait Toulouse en 2022.
- CORFEM - Le colloque n’est pas encore programmé. Il faut un IREM volontaire. Michèle signale en fin de réunion que l’IREM de Nantes réfléchit à l’accueil de ce colloque.
- Lycée - L’organisation n’est pas encore sur ce projet. Anne pense qu’il faut solliciter nos CII pour l’année prochaine et que la CII lycée est bien placée en raison de l’arrivée du nouveau Bac. Cette CII avait demandé la possibilité d’organiser un colloque il y a trois ans, mais cela ne s’était pas fait.
- Épistémo-histoire - Il faudra faire en sorte que ça ne se télescope pas avec le colloque de la COPIRELEM. Mais qu’en est-il de la localisation de son prochain colloque ?
Le colloque Epistémo est prévu de longue date, c’est quasi certain à Toulouse en mai 2022, avec inscription au PAF et pas au PNF.
- Prospective : - de futurs colloques ? Plusieurs thèmes sont avancés, dont l’informatique et la liaison lycée / université. Bénédicte signale d’ailleurs un colloque le 7 avril avec la société française de chimie, où sera traitée la question de Parcoursup.
Pour Christophe H, ce sera plus intéressant un peu plus tard, quand on aura une vraie vue
Anne proposerait bien un colloque info à Reims (avec partie en hybride) et une autre journée spéciale lycée / université. On discute. Fabien serait d’accord pour un colloque en distanciel en janvier 2022. Anne prévient qu’elle est plutôt contre le fait d’organiser cinq colloques en mai/juin.
Christophe H suggère de solliciter les CII (lycée, liaison lycée U...) pour le leur demander.
Dates des adirem de 2021-2022 |
- Jeudi 01 juillet 2021 (toute la journée)
- Vendredi 01 octobre 2021 suivie de la journée des CIIs le samedi 02 octobre 2021
- Lundi 6 (après-midi) et mardi 7 décembre (matin) à Paris.
- Jeudi 24 (après-midi) et vendredi 25 (matin) mars 2022
- et en lien avec un des colloques de 2022 quand ils seront déterminés, en mai 2002.
Nouvelles des IREM de Nice et de Mayotte |
Des nouvelles de l’IREM de Nice. Anne a eu des contacts avec Serge Quilio pour reconstruire l’IREM, Michèle témoigne de la difficulté administrative à trouver des heures pour un IREM distant. Il devrait reprendre le flambeau en septembre.
Pour Mayotte, Jean-Jacques Salone est dans la dernière ligne droite pour la création de l’IREMIS ; il est demandeur de statuts type pour l’aider dans ce travail. Anne lui rappelle qu’il a accès au Coin des directeurs.. JJ explique qu’on lui demande un projet complet, avec axes et budget. Pour Anne, c’est presque dans l’esprit d’une entreprise.
A Mayotte, il y aura un axe prioritaire sur le premier degré, ainsi que sur l’ethnomathématique (en raison de la richesse du patrimoine local).
Point sur les heures et les déclarations de services faits |
Tout petit point. François va remettre en place les services faits qui ne sont pas encore opérationnels.
On peut faire des modifications à la marge. On peut remplacer un nom par un autre mais en restant dans la même priorité. Il faut prévenir François et Jean-Yves. (Elise a un traitement un peu à part).
Il peut y avoir dans les heures APN demandées par un IREM des collègues d’autres académies (c’est le cas pour l’IREM de Paris). Donc on peut voir apparaître dans les services faits des noms qu’on ne connaît pas...
Actions du réseau avec la CFEM |
- Audition de l’APMEP au Sénat :
- Audition de l’APMEP sur la Rénovation des programmes de mathématiques et de physique-chimie du brevet des métiers d’art https://www.education.gouv.fr/renovation-des-programmes-de-mathematiques-et-de-physique-chimie-du-brevet-des-metiers-d-art-308022
Anne nous informe sur ces deux points (penser à François Moussavou)
- Action avec SMF sur le devenir des AED
Louise intervient pour expliquer ce que sont les AED prépro (assistants d’éducation en préprofessionnalisation)
8h de service par semaine, aec tâches changeantes : observation + aide aux devoirs en première année + progressivement prise de responsabilité.
Pas mal de souci avec ce dispositif : bien qu’attractif car compatible avec les bourses, mais rendant la vie difficile pour les étudiants de licence. Il faut absolument entrer dans le dispositif en L2, ce qui n’est pas toujours possible, en particulier pour les étudiants de prépa qui entreront en L3.
Autre problème : le master suivant doit être un master MEEF, donc cela rend le statut d’AED incompatible avec la préparation standard de l’agrégation.
Point le plus grave : les tâches prévues en 3e année étaient floues et sont en train de se transformer en stage en responsabilité de 6 heures par semaine. Et le MEN en profite pour enlever 6h de la DHG, ce qui mécontente les chefs d’établissement et les collègues.
La CFEM réagit. Un texte a été proposé par Louise, qui rédigera la synthèse des débats à la CFEM. Elle le transmettra à la DGESCO, mais il n’y a aucun pilote de ce dispositif à la DGESCO ! Au bureau de la CFEM johan Yebbou était attentif, donc il devrait relayer les inquiétudes auprès du MEN.
André de Caen s’inquiète à propos de la possibilité matérielle d’assurer les stages dès le M1 pour les AED. Les universités ont choisi d’intégrer ou pas la dimension AED dans le cursus de leurs étudiants.
Mais attention à ne pas supprimer des heures de formation en mathématiques pour soulager les AED.
Louise évoque la situation de l’Académie de Montpellier. Mais l’IPR chargé de cette question (et qui traite le problème avec intelligence) souhaite arrêter, de même que les chefs d’établissements.
Q de Marie-Line : est-ce un droit de continuer en L3 ? Louise répond que oui.
Participation au réseau pluri-thématique CNRS enseignement, au CA de Animath / au comité de l’APMEP (retours de réunions) |
Marie-Line a participé à un CA de Animath (et François au précédent). Globalement, ANimath organise le salon des jeux, le concours Al-Kindi, etc., essentiellement en distanciel. Ils commencent à avoir une bonne expertise en organisation d’événements à distance. Sur Maths C2+, ils nous encouragent à leur demander de l’aide. Mais Michèle de Grenoble a eu d’un IPR l’info d’un changement de main pour ces stages. Anne confirme : c’est maintenant la SMF qui s’en occupe (en fait un partage des responsabilités et de l’organisation entre les deux associations et le MEN).
Gérard Coppin est présent ce vendredi matin. Il intervient pour l’APMEP : l’ADIREM a participé à la réflexion sur les mathématiques du XXIe siècle. Le questionnaire doit être mis en place courant juin, la communication à ce sujet devrait être élargie.
Michèle de Grenoble évoque la dernière réunion du réseau pluri-thématique du CNRS, dont elle a déjà rendu compte, mais indique qu’une réunion est à venir. Le but est d’améliorer le fluidité des recherches sur l’éducation, mais pour l’instant les groupes de travail ne sont pas très formels. Il y a des journées sur les quatre axes déterminés.
Suites de l’Année des maths (on fera un vrai bilan en juillet) : proposition de mise en place d’une convention avec l’INSMI pour des stages IREM/CNRS |
Le bilan par le Copil n’a pas été fait. Le Grand forum n’a pas été assez suivi, malheureusement, car la DGESCO a très peu communiqué sur le sujet. Des pics de suivi à 700 personnes, c’est bien en soi, mais il y avait un potentiel d’enseignants disponibles beaucoup plus grand.
Ce sera débattu au prochain Copil, s’il existe.
Ce qui a été dit au précédent : une des réussites de l’Année des maths, c’était les stages CNRS, par la remise en contact des collègues avec les mathématiques.
Anne propose de signer une convention avec l’INSMI pour mettre en place ces stages. Quand un IREM est situé à côté d’un labo CNRS, c’est une position stratégique intéressante pour organiser ces stages.
Christophe de Paris trouve qu’il serait bien d’indiquer dans une telle convention qu’il ne s’agit pas de faire un cours de mathématiques su supérieur, mais que le lien avec le secondaire puisse être fait systématiquement. Anne répond qu’elle a vu le travail de Louise justement dans cette direction (avec un oeil sur le Grand Oral).
Louise rappelle qu’il ne faudrait pas que les formations soient en concurrence (PAF / CNRS) ; l’intérêt des formations CNRS-IREM serait que les chercheurs parlent de leur recherche.
François indique que les stages CNRS n’ont pas été mis en valeur par l’Académie de Lille l’année passée. IL faut attirer les collègues en tant que volontaires (sans soutien particulier des instititions)
Nous faut-il revenir vers les chargés de mission VT ? André de Nancy pense que ça ne marche pas bien, parce que les services du Rectorat peuvent traîner la jambe.
Évaluation des actions : organisation des évaluations en INSPE pour 2022 et évaluation par les stagiaires pour 2021-22 ; remontées éventuelles de demandes d’aide au.x ministère.s |
C’est une demande initiale du MESRI, dans lequel le bureau qui s’occupe de nous est dédié à la formation initiale. La DEP que nous avons contactée n’avait pas trop bougé...
Le Ministère va sans doute nous redemander des comptes l’année prochaine ; il faudra réactiver le questionnaire, mais également penser aux autres personnes qu’on forme (les enseignants dans nos stages).
Il faudra quelqu’un qui s’en occupe et qui revoie le questionnaire en ligne.
Anne nous engage à essayer d’y penser.
Le point sur le site |
A traiter en juillet
Publimath |
Michèle Bechler et Christine Proust sont invitées ce matin. Anne expose les problématiques et les dépenses possibles.
Christine expose la réflexion sur la question des ressources offertes aux enseignants : l’offre est monstrueuse mais dispersée et peu articulée. Les pratiques et besoins sont insuffisamment connus par ceux qui produisent les ressources. Un débat a été organisé au sein du CS (avec Hombeline Languereau, Frédéric Jaëck, Aurélien Alvarez et Luc Trouche).
Le problème est qu’on sait trop peu de choses sur les pratiques documentaires des enseignants. Des travaux ont été entrepris (Trouche, Souris-Lavergne...) et montrent que les enseignants se servent avant tout des moteurs de recherche généralistes. Pour que Publimath prenne leur place, il faut que cet outil soit mieux connu. Il faut également améliorer son accessibilité.
Une enquête en master MEEF montre une grande méconnaissance de l’outil, d’autant que la demande est forte et la satisfaction grande. (NB : cette enquête, réalisée par Stéphane pour l’ADIREM, est en ligne).
Suggestion : tagger les recherches sur Publimaths par un tampon ’IREM’.
Les bonnes volontés ne suffisent pas il faut faire appel à un spécialiste de l’ergonomie des moteurs de recherche. Un demi-poste est demandé au MEN (ou au MESRI ?)
Le CS reconnaît un énorme travail collectif du groupe chargé de Publimath. Il faut améliorer la collaboration avec les partenaires (CultureMath, IdM, etc.) et producteurs de ressources.
Amélioration possible sur le système d’indexation (doubler le niveau des mots-clé ?)
Michèle expose le travail réalisé avec Bernard Ycart (qui a pris du temps pour toutes les ressources audio)
André de Caen évoque diverses questions techniques.
Anne rappelle que les besoins en force de travail sont importants. Il y a Michèle et Hombeline + Jean-Louis Maltret qui gérait les serveurs marseillais, mais JL va devoir former des personnes pour le seconder, voire le remplacer quand il le souhaitera.
Elle propose, puisqu’on a de l’argent, de s’entourer d’experts de l’informatique et des sites web : établir un cahier des charges et faire intervenir des professionnels.
L’investissement des bénévoles a des limites. Nous devons les seconder et par ailleurs nous avons de l’argent à dépenser ! André de Caen donne l’éclairage sur ce domaine qu’il connaît.
Anne demande des volontaires pour agrandir le groupe de travail de l’ADIREM sur Publimath : Christophe de Paris et André de Caen, Fabien, Marie-Line en tant que « petite-main » (plutôt pour le nouveau site de l’Adirem). Vincent ne se sent pas compétent, mais veut bien servir de cobaye en ce qui concerne l’ergonomie du site (et Michèle le rassure : elle n’a pas particulièrement de compétences techniques). Vincent accepte finalement de faire partie du groupe de travail.
Gérard Coppin rappellera plus tard le renouvellement en 2022 de la marque « Publimath » auprès de l’INPI. C’est l’APMEP qui prend en charge ces frais.
Actions à envisager sur le 1er degré : publicité du réseau et participation aux actions cnesco |
A traiter en juillet.
http://www.cnesco.fr/wp-content/uploads/2021/03/Cnesco_CCI_formation_continue_Dossier_de_synthese_210226.pdf suite de la participation aux actions des RMC/CPC maths
Le point sur les nouveaux master MEEF (1er et second degré) ; lien avec les IREM |
A traiter en juillet.
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