ADIREM des 14 septembre et 15 septembre 2020

Aviva ?? Plutot Louise Nyssen ? (presente)

Réunions en salle 2017 bâtiment Sophie Germain, université de Paris Diderot.
Lundi 14 de 14h à 19h30 et mardi 15 de 9h à 13h.

Lien de connexion pour ceux ne pouvant pas se déplacer :

Lundi 14 septembre

La réunion commence à 14h05, sous la direction de Marie-Line qui remplace au pédalier levé Anne, hospitalisée.

Approuvé à l’unanimité

L’accueil de Thierry Buffard s’est fait en juillet (en ligne)

Pas de changements annoncés

Anne arrive en fin de mandat. Christophe rappelle qu’une règle a été votée il y a une dizaine d’années (du temps de René Cori) pour rendre possible la continuation du mandat un an ou deux. Il faudrait demander à Anne, quand elle sera disponible, si elle souhaite rempiler pour un an.

A Grenoble heures APN toujours pas payées (car pas arrivées au Rectorat). Les heures 141 sont arrivées au rectorat mais les heures 140.
François était ce matin au MEN à ce sujet, il n’a pas eu de réponse claire au sujet des heures en général et aucune réponse sur celles de Lille.
Michèle Gandit, François Recher, et tous ceux qui veulent, vont enquêter sur les heures dans leur Rectorat et nous mutualiserons les informations la semaine prochaine. Envoyer à François les infos trouvées.

L’avis général est qu’il y a beaucoup de retard dans les Rectorats et au Ministère.

Info de François : les heures rectorales (BOPA) ne sont plus données par le MEN mais proviennent directement des Rectorats. Il a la liste des heures par Académie, établie par convention avec le MEN, mais il semble que les Rectorats ne soient pas tenus d’honorer cette convention.

Célia indique que son Rectorat (Martinique) ne semble pas connaître l’existence des heures ; comme ils n’étaient pas présents il y a quinze ans pendant les négociations, aucune heure BOPA n’apparaît pour eux.

Bénédicte signale qu’elle a pu négocier des HSE, seulement lorsqu’il s’agissait d’heures en présence d’élèves. Marie-Line y arrive même sans élèves...

Célia : le Rectorat ne sait pas payer ces heures !

Philippe conseille de surveiller les heures APN du programme 140, car les Rectorats refusent de payer les professeurs des écoles.

Patrick F témoigne également que les chefs d’établissement étant le dernier maillon, ils peuvent décider d’une attribution différente des BOPA. Michèle confirme, elle conseille de demander systématiquement aux collègues si ils ont reçu les heures.

La semaine du 9 au 14 novembre est celle de la fête de la science dans les Outremers, donc Dominique suggère que l’ADIREM n’ait pas lieu à ce moment-là

• 30 ans de Repères : devait avoir lieu fin novembre, mais Michèle confirme qu’il sera annulé. Un futur r colloque des 31 ans est en projet pour l’automne 2021.

• COPIRELEM - Grenoble : aura lieu les 15, 16 et 17 juin 2021.

• CORFEM - Strasbourg : Mohamed et Michèle indiquent les dates des 10 et 11 juin 2021 comme dates probables de tenue du colloque à Strasbourg.

• Maths et langues vivantes - Clermont-Ferrand : 17 et 18 mai 2021 avec un ADIREM les 18 et 19 mai.

• TICE - marseille : reporté en 2021, pas de date pour le moment.

• Histoire et Épistémo - Toulouse : ce devait être un colloque à Toulouse, mais reporté en 2022. Une journée de lancement à Paris le 22 mai 2021, avec colloque a Toulouse en 2022.

• Dates des ADIREM : on avait réservé les 13 et 14 novembre puis le 30 novembre/1er décembre. Nous attendons demain pour nous déterminer.

• Rappel de la version 2020 des journées de l’APMEP. Les Journées auront lieu à Bourges du 16 au 20 octobre 2021. Cette année, il y aura quand même un événement le 17 octobre dans les Régionales, puis les 18, 19 et 20 en ligne avec des ateliers à distance.

Nous avons du mal à traiter la question sans savoir exactement ce qu’elle recouvre. Bénédicte avertit que les stages PAF de Toulouse devront probablement être convertis vers un format distanciel.
Et par exemple les ateliers Math.en.Jeans ? Certains démarrent à Bordeaux, mais pas à Nancy où on évite le brassage.
A Toulouse, les choses sont autorisées à condition qu’il y ait un nettoyage significatif.

Conformément à ce qu’avait prévu Marie-Line, ce point se transforme en « il faudra demander à Anne ». Nosu l’aborderons demain matin.

• bilan des dépenses (François Recher et Christophe Hache)

François R : « c’est assez pauvre, vous vous en doutez ». Il y a actuellement 6000€ engagés, dont un bon de commande pour le CROUS de Strasbourg et les billets d’avion pour la Réunion. Donc en gros 4000€ véritablement engagés. Il nous reste donc plus de 14 000€ de la DGESIP. Les billets d’avion peuvent être remboursés, mais Christophe H nous met en garde : les billets remboursés après l’annulation d’ICME Shangai
ont été remboursés sur le budget 2019 ! Donc perdus...

François relate les difficultés de traçage des fonds à l’université de Lille. De toute façon, il y a très peu de dépenses engagées. Le site de l’ADIREM est payé sur le budget 2019 (il est quasi-prêt, on le verra demain). On peut avoir des projets de dépense supplémentaire, par exemple pour le transfert des données sur le futur site, qui avait été prévu initialement manuel et par nous.

Pour le site, on peut aussi imaginer un petit budget formation pour ceux qui interviendront dessus. André S suggère quelques tâches à financer, comme la reprise et/ou le nettoyage de « bouts de code » qui traînent sur l’ancienne version du site. Par ailleurs, Publimath peut aussi en bénéficier pour la remise au propre de leur site.

Christophe rappelle que le GIS a été mis en place et termine en décembre 2021. La convention s’arrête fin 2021 et il reste 10 000 euros !

Est-il possible de tansférer des fonds à des associations pour l’organisation des colloques ? Cela pose peut-être des problèmes de légalité ?

Youssef demande s’il y a possibilité d’aider Math.en.Jeans dont la situation financière est préoccupante.

Christophe revient sur le budget du GIS en précisant qu’il l’installe chaque année et ventilant les dépenses. Ce peut être une solution d’attribuer des heures pour des vacations. Il peur se renseigner afin de savoir ce qu’il est possible de faire même pour un montant relativement modeste.

Revenant sur Math.En.Jeans, on envisage de payer leurs factures. Chez Marie-Line, le règlement de la facture quand l’universite subventionne le congres se fait tout simplement globalement.

• discussion sur l’utilisation des fonds restants/ possibilités de report

Autres idees :
aider à la publication d’ouvrages (avec un éditeur sur Grenoble)
faire en sorte que des brochures IREM soient envoyées dans tous les établissements,
diffuser des brochures à grande echelle (et gratuitement) par exemple lors du PNF (+Repères IREM) + flyer ?
Magali suggère un mix entre Repères et des publications locales.
En outre, Edwige approuve la création d’un flyer par des graphistes
Il y avait deja eu des choses de faites pour le lancement de l’annee des maths ? Pour son inauguration à la Sorbonne, du moins.
Anne a peut-etre des choses sur un ordi ?
Diffuser/réimprimer le livre « Passerelles »
La brochure « Cycle 3 » de l’IREM de Nantes ?

Nous nous organiserons par la liste de diffusion.

• Rajout d’un point demandé par Patrick (Lyon) sur les projets européens Erasmus +

Patrick décrit les projets Il y a des financements existants(dont MathCityMap) portés par l’IREM de Lyon.
MLC : s’agit-il de fonds à dépenser rapidement ?
Réponse de Normand (mais de Patrick) : cela dépend des projets, certains se terminent rapidement, d’autres plus tard.
Patrick prépare un mail qui détaille les différents projets. MLC approuve l’idée.

Point qui se rajoute : LabosMaths
Pas de fonds DGSIP 2020.
Grandes disparités selon les académies, et dans les heures pour les collegues du secondaire, et dans les heures pour les interventions des collegues du supérieur.

Il y a 15 signataires (la première signature a demandé un an pour faire le tour des signataires).
Il nous reste un an avant le début de la nouvelle convention (donc c’est le bon moment).

Les aspects techniques et le « toilettage de la convention » sont traités par le service juridique de l’université de Paris (autrefois, celle de Paris 7).
Christophe enverra un mail de sollicitation à tou/te/s les directrices/teurs.
Il est question que l’adhésion au GIS soit gratuite l’an prochain, a décider concrètement en décembre.

A la suite d’une mauvaise manipulation lors de la mise en ligne du fichier, François a perdu une partie des données du questionnaire, sur lequel il devait travailler ce soir avec Anne. Il ne peut donc rien afficher aujourd’hui
Question de fond posée par François : est-ce qu’on garde tout en l’état ?
MLC suggère d’insérer le nombre de brochures vendues.
Donc ca servira a remplir « quand l’outil sera operationnel, on espere dans quelques semaines »
Mais ca devrait etre plus simple que l’annee derniere

« Il n’y avait que des femmes sauf François » = François sauveur de la parité, selon Marie-Line.

Anne avait envoyé un projet rectificatif de la convention.

Questions diverses sur notre capacité à mesurer notre impact (brochures vendues, stagiaires, visiteurs, etc.)

Edwige trouve légitime la demande de mesure d’audience ou de popularité des productions des IREM. Cependant notre impact est-il chiffrable ?

Le Ministère a bien noté qu’on avait fait un questionnaire pour les MEEF, demande si on va renouveler l’operation.
Discussion sur l’opportunité de faire des questionnaires à destination d’enseignants.

On commence à parler de formation PAF, et de l’existence ou non de formations « disciplinaires » math (ou didactique des maths) dans les PAF.

Le ministere nous demande aussi quels sont nos liens avec les CARDIE, le réseau des INSPE, et les LEA.

Prévoir une réunion de travail à distance : quel travail à mener ? quelles envies ? Cela donnerait déjà de la consistance à une première réunion de la CII et permettrait d’accueillir les ’postulants’.
Voir avec Anne si elle avait collecté des noms.

Vincent a reçu pendant le confinement une demande du Centre d’études Supérieures de la Renaissance, à propos de registres comptables des villes d’Orléans et de Tours d’avant le 15e siècle. Ils aimeraient mettre à disposition des enseignants une mallette pédagogique et sollicitent l’IREM d’Orléans.
Travaux possibles : conversions, monnaies, comptabilité, etc. Peut-être avec un public de STMG ?
Y aurait-il un groupe IREM intéressé par ce sujet ?
Vincent va envoyer le détail des ressources et du projet.

Plusieurs IREM sont volontaires pour informer leurs animateurs (Toulouse, Grenoble, Dijon, Caen) plus la CII Epistémo et Histoire (Responsables : Pierre Ageron et Nathalie Chevalarias)

Voir réunion Ministère plus haut

Christine Proust a prévenu qu’elle ne pourrait pas être présente. A son instigation, nous reportons la discussion à plus tard.

Mohamed signale que les livres électroniques promis dans la Région Alsace pour les lycéens ne sont pas arrivés, trois semaines après la rentrée...
Repenser les manuels sous forme électronique, c’est intéressant (hypertexte, etc.), selon le jugement de Mohamed. La discussion s’engage sur les quelques problèmes, et en particulier la disparition des supports pdf quand l’année est terminée
Et quand les nouveaux programmes arrivent, qu’est-ce qu’on fait ?
Et comment utiliser les potentialités et les limites de ces manuels en classe en tant qu’enseignant (comment donner un exercice, le corriger par exemple).
Discussion entre les pessimistes et les optimistes, entre les autoritaires et les libertaires (retranscription caricaturale, le rédacteur l’avoue).
Et les moyens financiers ? D’une part pour le matériel, d’autre part pour la démultiplication des horaires d’enseignement entre présentiel et distanciel.
La discussion continue, le débat portant sur les limites et méfaits du distanciel et sur ses points positifs.
Solutions intéressantes avec des logiciels version pro (ex de zoom avec travail en petits groupes), Faire un audit auprès des jeunes collègues sur les solutions trouvées ?
Discussion encore autour de Wims, Khan academy, exo7 etc.

Mardi 15 septembre

Présents/excusés/en ligne

Les mêmes sauf :
Elise Janvresse, Célia Jean-Alexis, Youssef Barkatou, Vincent Beck
Plus :
Fabien Emprin, Magali Hersant (mais avec des difficultés de connexion), Olivier Guès (tous en ligne sur Zoom - université de Reims),

• Le point sur l’égibilité des universitaires et sur les tâches particulières|
• Rappel des priorités et les priorités dans les priorités|
• Calendrier des demandes|
  

Heures DGESCO : Jean-Yves est représenté par Patrick Frétigné, son co-directeur à l’IREM de Rouen. Patrick F rappelle les principes généraux pour Thierry Buffard et pour tous.
Rappel des priorités nationales : Algorithmique, sciences du numérique, interdisciplinarité ; cycles 1, 2 et 3 : évaluation et différenciation ; liaison lycée/enseignement supérieur ; mathématiques autres sciences (mais heures pour non-matheux) et Sylviane rappelle qu’on avait inclus les sciences humaines dans ces autres sciences.

Jean-Yves a été confronté à des problèmes :
1° Maximum d’heures APN, 18 h porté à 16h parce qu’il n’y en a pas assez. On en discute car il n’y a pas consensus (décision majoriatire)
2° Pas moins de 6h par personne
3° Un maximum de 48h par groupe
4° Un maximum de 3 groupes en maths par IREM, sauf lorsqu’il s’agit de très petits groupes
5° Pas d’heures pour les EC, ni pour les retraités, sauf important service rendu au réseau
6° CII : 36 heures, sauf les CII importantes (Collège, Epistémo) qui ont deux responsables, chacun à 36 heures.
7 Les CPC peuvent avoir des heures
8 Max de 72h par personne pour des actions nationales en cas de cumul (à éviter)

Sur le point 6° : Dominique témoigne du travail dans la CII épistémo ; Patrick F de la CII International ; la discussion s’engage. Christophe rappelle que c’est ce qui fait vivre le réseau (gros colloques, grosses publications)

Date limite des demandes début novembre ? François propose la date du 10 novembre 2020, ce qui permettra à Jean-Yves d’harmoniser le tout.
Les outils pour cette harmonisation sont gérés par François et seront en ligne rapidement. François invitera chacun/e nominativement à renseigner le fichier. Nous aurons accès aux données des années précédentes.

Comment est géré le volume d’heures par IREM ?

On parle ensuite des remboursements de frais de déplacement. Bénédicte trouve que la tenue des CII de décembre pose problème, puisqu’il n’y a plus de missions possibles dans les budgets.

L’ADIREM pourrait-elle prendre en charge les déplacements ? François n’y est pas favorable car la situation ne le permettra pas dans les années futures (même si cette année, nous sommes à l’aise). De plus, la situation est très différente d’un IREM à l’autre.

Christophe fait remarquer que le GIS ADIREM n’a pas fonctionné jusqu’à présent, car le MEN n’a pas baissé nos subventions. Pourquoi pas les missions ? Ou financer les journées Cii (ou plus généralement les grosses actions visibles du réseau) afin de garder le budget Adirem pour des les missions plus particulières ou évènements réclamant discussion en Adirem.
Cotisations au GIS = 15 IREM à 250 euros par an = 3750 euros / an

La proposition de faire financer par le GIS les grosses actions visibles fait consensus
Principe de faire financer par l’ADIREM des missions pour qu’une personne (d’un IREM « pauvre ») puisse aller à une CII pendant l’année (2 ou 3 missions ? + de la visio ?).

Questions finales : des heures pour les PRAG ? Un maximum à 15 ou à 18 ?
On valide 16h maximum ; pour les PRAG, les heures sont attribuées pour des tâches collectives, de type CII, et pas pour participation à des groupes.

Lionel, en ligne sur Zoom-Reims, déclare que la machine virtuelle est fonctionnelle. La situation pour le portail actuel (qui tourne sur une machine à Marseille) doit évoluer pour cause de machine marseillaise délabrée. Le transfert doit être réalisé vite, sachant que le nouveau site n’est pas prêt (transfert des sites*, transfert des listes, nom de domaine DNS).

* : portail des IREM, site de la CII TICE, Publimaths, etc.

Un toilettage des liste a été réalisé l’année passée ; pour déplacer tout chez M@thrice, il y a aussi des autorisations à demander (au Président de l’u d’Aix-Marseille)

Les accès auprès de M@thrice peuvent demander du temps.

François et André sont partants pour gérer la suite mais comment seront partagées les tâches ? André hésite car il y a beaucoup de matière à organiser. Voir aussi le point suivant : le futur portail doit intégrer les différents sous sites actuels de façon plus homogène.

Attention : Lionel soulève la question de la possibilité d’intégrer au site des sous-sites de colloques. André propose d’utiliser plutôt la plateforme Sciencesconf, qui en plus offre des possibilités de paiement.

La bascule va-t-elle pouvoir être réalisée rapidement ? « Pas cette semaine » répond Lionel... On le remercie pour le travail accompli.

François présente l’intervenant, qui présente la page d’accueil du nouveau site à l’adresse
htpps ://www-dev.univ-irem.fr.

Bruno commence par des remerciements à Lionel et quelques remarques sur des problèmes techniques récents. Il indique qu’il va travailler sur l’adaptabilité aux tablettes et aux téléphones. Quelques informations sur SPIP et certains programmes/thèmes/modèles qu’il a utilisés pour refondre le site.

Démonstration de la partie privée du nouveau site, puis de son architecture générale. Ensuite, démonstration de la procédure de déplacement des articles à l’intérieur des rubriques.

La rubrique « événements » sert de fourre-tout à tout ce qui n’est pas dans les autres rubriques. Bruno décrit les « brèves », et les autres rubriques.
La description est très claire et très complète. Nous félicitons Bruno pour son travail.

Ce sujet a été évoqué hier. Dans un premier temps, il faut le basculer, puisque Lionel a indiqué que c’était possible. Puis, on pourra envisager des améliorations / des modifications.
Hombeline et Jean-Louis Maltret semblent avoir travaillé sur une nouvelle mouture. Philippe témoigne qu’ils sont prêts.

• Le Grand Forum de Lyon

André S rappelle que le GFMV est toujours programmé. Edwige est membre du Copil, mais les décisions sont faites en dehors. La journée de janvier 2020 a eu lieu, mais C Torossian s’y est peu impliqué.
Des moyens humains DGESCO importants sont consacrés au Forum, donc les membres du Copil ne sont consultés qu’à la marge. Edwige a insisté pour que l’IREM de Lyon soit partie prenante, mais c’est un événement phagocyté par le MEN.
Elle insiste ce matin pour que nous participions à cet événement, et que nous y soyons visibles.

André S a participé hier à la réunion des chargés de mission ; des journées des labos de maths de lycées sont organisées sans moyens. ministériels. Il doit partir (il est 12h50) donc il accepte de faire un compte rendu écrit dans la suite. Néanmoins, il donne quelques anecdotes et rappelle la question centrale de la « remontada » dans les évaluations internationales, ainsi que les préoccupations de type « maths et sport » liées à la tenue des Jeux olympiques en 2024.

Côté LabosMaths, pour faire rapide, la tonalite generale de cette reunion a ete : « oui il n’y a pas de moyen c’est un ecueil, mais tant pis »

L’ADIREM devrait faire un bilan de l’Année des Maths dans chaque IREM

• Participation à ICME à Shanghai : relance des collègues de terrain
• Relance du travail avec La Main à la pâte ?

Pour Edwige, c’était le dernier événement phare de l’Année des Maths : la participation au congrès de Shanghai en 2020 (reporté en 2021). L’ADIREM joue un rôle très important dans la préparation.
Elle s’est décarcassée pour avoir confirmation d’un financement. Elle l’a eu de la part de la DGESCO, pour un montant de 40 000€, qui devront profiter également à des collègues de terrain parlant anglais, mais qui ne sont pas des chercheurs.

• Réforme de la formation des enseignants : le point.
• Réforme du bac : actions à envisager pour des ajustements non prévus actuellement.
  

Pour les prochaines ADIREM, il faudra choisir, on garde plusieurs options : Ve 13 et Sa 14 novembre ou Lu 30 novembre et Ma 1er décembre.
La deuxième est déjà fixée aux 26 et 27 mars
La troisième également pendant le colloque de Clermont les Lu 17 et Ma 18 mai et en suivant le Je 19 mai