Sylviane nous en raconte une bonne, pour attendre : Elle avait fait une présentation au CAC l’an dernier (en fait, début mars, juste avant le confinement), l’un des candidats à la présidence de l’université, qui était présent n’a pas su dire qu’est-ce que c’était, il s’est fait épingler. tout le monde connait l’IREM désormais dans les plus hautes instances de l’université, ensuite ils voulaient la recruter.

Au vu des problèmes techniques dus au confinement, Il est décidé que nous examinerons le compte rendu lors de la prochaine réunion.

• Besançon : renouvellement de Philippe Leborgne.
  Vote à l’unanimité

• Anne devait aller à Mayotte...
• Nice : peu d’implication de collegues du superieur (une personne de l’ESPE) un appui fort de Philippe Dutarte (IA-IPR à Toulon).
  Un problème de non-réponse de la part des universitaires. On laisse les locaux faire (beaucoup de prof du secondaire + la personne de l’ESPE pour le 1er degré.

• Stéphane Vinatier a demandé à être remplacé au poste de VP (Il quitte aussi la direction de l’IREM de Limoges). Il y aura d’autres renouvelables dans un futur proche.
• Anne est également en fin de mandat de directrice de son IREM (fin en juillet, prolongeable un an)
  L’IREM de Montpellier va être intégré dans un IRES, dont le directeur ne serait pas matheux, mais avec un co-directeur = directeur d’IREM.
  Sylviane attend les élections dans son université, l’avenir de l’IREM en dépend.
• Anne a déjà fait un appel, en particulier pour remplacer Stéphane (qui en plus quitte sa direction en fin d’année scolaire).
  Marie-Line se sent encore trop récente dans l’Adirem même si elle a un peu plus de temps en ce moment.
  Magali ne souhaite pas s’engager.
  Marie-Line accepte d’être vice-présidente.
  Vote à l’unanimité

• Du point de vue des inspecteurs, Johan Yebbou était à renouveler, il a souhaité renouveler son mandat.
• Du côté des IPR, quelques approches sans réponses. Anne fera une relance.
• La présidence du CS est OK, c’est Christine Proust qui a succédé à Pierre Arnoux
  • Sylviane propose Kadir Kebouchi, IA-IPR ex-dijon et Créteil.
  • Frédéric propose Peggy Cenac-Guesdon (université de Bourgogne) .
• L’ADIREM est d’accord. Elle sera contactée.

• Dates de l’ADIREM en 2020-2021 :
  • 14-15 septembre 2020
  • 11-12-13-14 novembre 2020
    Il y a une grosse réunion à Marseille pour la CII TICE, est-ce qu’on en profite pour y installer la journée des CII ?
    Après discussion : on se réunit en décembre (ou en novembre à Marseille), on incite les CII à participer au colloque TICE. Nous y participons aussi, mais ça veut dire qu’il y a un jour du colloque pendant lequel on se réunit en ADIREM
    Proposition que chaque CII ait un représentant au colloque pour présenter les passerelles entre leur CII et les TICE en général et la CII TICE en particulier.
    Cela permettra aussi aux directeurs des IREM de rencontrer des membres de chaque CII.
    Un ADIREM en novembre ? La tradition était décembre pour pouvoir terminer de fixer les problèmes d’heures DGESCO, mais cette année ça s’est très bien passé, donc on pourrait avancer à novembre.
    On décide donc que ce sera à Marseille pendant le colloque TICE (12/13/14 novembre 2020) et nous verrons plus tard à quelle date précise. Éventuellement le 11 novembre.
    NB : il y a un colloque de l’ARDM en novembre, mais plus tard.
  • 26 mars 2021
    On tiendrait une grosse ADIREM en mars avec une journée des CII adossée à cette ADIREM. Présentation des CII le vendredi ? Plutôt le samedi, on aura plus de monde. Et l’ADIREM toute la journée du vendredi
  • 20 mai 2021 à Clermont (cf. ci-dessous)

• Dates de la journée des CII :
  • samedi 27 mars 2021

• Maths et langues (Clermont-Ferrand)
  Cela semble difficile d’avoir des certitudes. Pour l’instant l’organisation avance. Le souci concerne les subventions : possibilité de reports ? L’université n’envisage pas d’ouvrir avant début mai. Pour les collègues, se déplacer après le confinement semble difficile.
  La CII internationale, samedi dernier, a réfléchi à des capsules vidéo... C’est intéressant pour participer et capitaliser les interventions de manière vivante. Pourquoi ne pas faire une télé- conférence à la date prévue ? Cela dépend aussi des moyens des intervenants. Cela pourrait être jouable. Le maintenir en présentiel pour ceux qui pourront venir et le faire à distance pour les autres.
  Il était prévu d’enregistrer les conférences, mais pour enregistrer les ateliers cela va être difficile (3 ou 4 en parallèle).
  Anne précise que cela semble difficile de continuer à organiser étant donné qu’on ne maîtrise pas la reprise des activités.
  Odile Jenvrin à Caen a commencé à réféchir à un web magazine, ce pourrait être une forme possible.
  André considère que tout le monde va être très occupé à la fin du confinement. Le web magazine et les capsules vidéo sont intéressants mais les moyens techniques pourraient ne pas suivre.
  Christian suggère des interviews (qu’il réaliserait lui-même).
  Anne tient au présentiel, et suggère qu’on repousse simplement.
  Conclusion : travail sur Maths et langue si le colloque est reporté d’un an. Cela veut dire qu’on décide d’une date. Et que l’ADIREM de cette année ne se tiendrait pas à Clermont.
  Malika n’a pas de visibilité sur les autres colloques IREM 2021. Anne répond que pour l’instant il n’est pas question d’annuler les colloques de juin 2020 (cf. ci-dessous pour les colloques de juin).
  Dates suggérées : mardi 18 et mercredi 19 mai 2021, avec une ADIREM le jeudi 20 Mai 2021 à Clermont.
  Problème des frais de déplacements avec deux ADIREM délocalisées dans l’année universitaire 2020-2021. Mais Dominique rappelle que ce sont deux années budgétaires différentes.
  Prise en charge sur le budget de l’ADIREM des hébergements pour Marseille en 2020 et Clermont en 2021.
  Trajet à la charge des IREM (sauf problème) ; possibilité avec le GIS.
  Proposition de déplacement de l’ADIREM début juillet (le 13 ?) Mohamed a proposé de nous recevoir à la CORFEM, mais il n’a ps encore de visibilité sur la reprise des activités.
• CORFEM à Strabourg
  Si sortie du confinement : maintenu, sinon possibilité de report à la Toussaint ou en 2021...
  Attention aux reports : tout est prévu à la Toussaint, mais Anne s’oppose à ce qu’on le fasse nous-même, dans la mesure où c’est le moment des journées de l’APMEP et autres.
  Mohamed signale que l’UFR sera en travaux, il espère qu’il y aura possibilité de tenir le colloque à l’INSPE.

• COPIRELEM à Chambéry
  Annulé dans sa forme actuelle. Pas de report pour l’année d’après (changements de conditions d’accueil sur Chambery)
  Possibilité de conserver une journée (ou une demi-journée) en présentiel sans frais et sans inscriptions.
  Redifusée en visio vers les autres IREM.
  L’idée est aussi de proposer aux personnes qui ont déposé un papier de faire rédiger un article et de le publier à l’ARPEME. Ce ne serait pas des actes mais cela acterait tout de même quelque chose. Problèmes pour les propositions d’ateliers (qui prennent en compte les interactions dans les participants).
  Michèle nous informe que si le colloque de Chambéry doit être reporté, il serait en fait annulé et remplacé par une journée unique sur le site, sans inscription et réservé aux locaux (jusqu’à Lyon).

• CII Epistémo : date non encore fixée.
• CORFEM : ?
• COPIRELEM : Perpignan
• Maths et langues : à programmer
• *CII lycée : ne sera pas organisée.
• TICE Marseille
• CII Épistémologie et histoire des mathématiques : Toulouse

Une rencontre en présentiel et un travail en distanciel commun cet après-midi.
Anne propose que des volontaires s’y joignent.

Pour les serveurs, André pense que le travail en amont a été fait. Les machines virtuelles ont l’air d’être opérationnelles. Il ne manque que la bascule finale.
Il pense qu’il va falloir repousser la bascule après la fin du confinement. Anne accepte cette option.

Le GFMV est reporté. Christian a été contacté et souhaite représenter les IREM à diverses occasions.
Christian en parle : contacté pour être délégué à l’EMS (European mathematical society) et l’année des mathématiques (qui est un enterrement de première classe, selon Christian, personnellement, je trouve qu’il est plutôt de seconde classe...)
Groupe de réflexion pour le collège : Christian y participerait en tant que représentant de l’ADIREM. Mais pas d’objectifs affichés.

Anne suggère que si quelqu’un a des idées pour le collège, les idées soient passées à Christian.
Christian milite en faveur des clubs de mathématiques, tout en retentant de faire rentrer les mathématiques ludiques dans la classe par le biais du péri-scolaire : c’est une porte d’entrée qui peut être à double tranchant, conduire un club participe au développement professionnel de l’enseignant référent surtout s’il est accompagné et modifie effectivement son regard sur l’activité mathématique et que ça impacte son travail de classe. Mais cet aspect ludique ne doit pas faire perdre de vue que c’est en classe qu’on doit faire des mathématiques au premier chef !

• Mission mathématiques Torossian : commission sur les collèges, Ch. Mercat
  Report du Grand Forum

Point sur les changements prévus/envisagés. Quelles questions pour le réseau. Commission CII Physique.

• La Réunion : l’IREM étant rattaché au laboratoire de mathématiques et d’informatique, l’IREM devient un IREMI, d’autant que l’informatique et les informaticiens sont de plus en plus engagés dans l’IREM, ne serait-ce que par les ponts actuels entre les deux domaines au lycée.
• Montpellier : IRES à la rentrée prochaine qui contiendra l’IREM (par sécurité et problème de statut). L’IRES sera un département de la fac de sciences ce qui fait qu’Anne ne pourra pas en assurer la direction.
• Strasbourg : projet d’IREMI en stand-by, pas d’avancée sur le dossier. S’il y a plusieurs IRES, qui s’occupera des IREM ? Comment va-t-on gérer cette diversification ? Pas de problème avec les informaticiens, mais les physiciens ne se sentent pas d’avancer sur ce projet.

• Paris : Anne signale qu’à Paris il y a des projets de transition vers l’IRES puisqu’il y a pas mal de groupes de sciences.

• Lille : projet d’écriture de nouveaux statuts et de rattachement à la faculté des sciences.

• Marseille : dans les faits, c’est un IREM étendu, comprenant plusieurs groupes de physique et maths, ainsi que d’enseignement avec TICE (outils numériques). La question se pose donc d’intégrer la faculté des sciences et d’autre part de changer de nom.

• Clermont : la Maison pour la Science est très réticente à un changement de nom (ouvrir l’IREM aux physiciens serait un piétinement de leurs plates-bandes).

• Bordeaux : Marie-Line demande ce qu’on trouve intéressant dans le fait d’ajouter un « I ». Il y a une MpS à Bordeaux, mais avec très peu de moyens. Bons rapports avec l’IREM. Marie-Line craint la dispersion des moyens.

Anne : le nom n’a peut-être pas énormément d’importance mais il reste crucial que les profs de maths puissent continuer à nous trouver, et nous devons conserver notre reconnaissance par les IPR. Les situations locales sont différentes. Pas mal de sciences dans le réseau, mais qu’est-ce que ça fera dans le réseau si on a tous pris des noms différents ? Et qu’en sera-t-il du Conseil scientifique ? Et de l’ADIREM ?

Magali rappelle que pour l’instant, l’informatique dépend des maths, n’est pas encore une discipline scolaire à part entière, mais si on va du côté de la physique ou de la biologie, ils ont leur propre fonctionnement avec leurs propres IPR : si on veut aller au fond des choses, ce sera donc plus facile en restant du côté maths/infos.

• Poitiers : le choix a été de garder le « M » et de mentionner les autres sciences.

Magali souligne que les matheux ont été souvent écartés de l’enseignement scientifique. Les collègues de l’Académie de Nantes trouveraient qu’il serait judicieux de réintégrer les maths dans cet enseignement.

Anne avait proposé une première réunion de la CII Physique. Les profs du second degré sont certes plutôt maths/infos, mais Anne pense qu’il va falloir relancer une CII Physique. Qui enverra quelqu’un ?

• Lorraine : André évoque le dispositif AILES (Accompagnement à l’Intégration des Lycéens dans l’Enseignement Supérieur) : une conséquence serait la création de formations à destination d’autres enseignants sur le modèle des groupes IREM. Mais pas de changement de nom, du moins pas pour le moment.
  Missions du projet AILES :
  • Appuyer l’accompagnement de proximité dans les lycées (plan de formation continue pour les enseignants)
  • Mieux informer les lycéens en déployant des ambassadeurs de l’enseignement supérieur
  • Donner confiance aux jeunes dans leurs choix (actions et dispositifs pour développer l’ambition et les compétences, et création d’un réseau alumnides lycéens).
  • Faire découvrir les métiers et ouvrir le champ des possibles (promotion des métiers de la recherche et développement)

Discussion générale sur la formation initiale et continue, le statut des FA, les suites de l’année des maths, le plan Villani-Torrossian (feu le plan ?), les laboratoires de mathématiques, les RMC et leur formation.

Sur les RMC, il est suggéré de créer des groupes IREM pour continuer à les mobiliser.
La dynamique des RMC est bonne, mais il faut que ça continue.
A Montpellier, l’IREM s’est investi dans la formation des RMC, donc Anne a un contact avec les IEN maths, qui cherchent à avoir un groupe RMC auprès de leur DASEN. On garderait un volant d’heures de formation pour les RMC. Mais ils ne sont pas du tout reconnus du point de vue institutionnel.
CT lors des réunions du vademecum, avait promis un statut de RMC reconnu financièrement. Ce n’est pas le cas, Anne craint que la formation soit investie par les RMC dans leur propre pratique de classe et pas dans la formation des collègues.
Anne avait envoyé un tableau en décembre.
Qu’en est-il de l’ambition de former au long cours ?
On discute aussi du financement des labos de maths par la DGESIP

Anne nous informe que la convention n’a pas encore été signée et que c’est la raison pour laquelle elle n’est pas encore disponible sur le site.

• Anne a participé à une réunion CNRS : le CNRS essaie de créer un réseau en lien avec les questions d’éducation. Les chercheurs ont en tête les IREM qui ont la cote. Anne a participé à la réunion du 3 février 2020 à Paris et nous sommes invités à la prochaine réunion nationale. Cela pourrait nous amener dans les IREM à des contacts avec le CNRS. Anne espère pouvoir ramener des non-matheux dans les groupes pour travailler avec nous. Le nom du réseau : genre RTP (avec P pour Pluridisciplinaire)

• Magali demande si les associations de recherche en didactique ont été sollicitées. A priori non, selon Anne. Discussion avec Sylviane.

• Marie-Line signale des baisses au niveau des heures.

• Mohamed nous signale la triste nouvelle de la mort de François Pluvinage.

La réunion se termine à 12h45

• Budget prévisionnel GIS+DGSIP

• Suivi de la réforme du lycée et du bac : audition du 2 janvier et actions en cours