Approuvé à l’unanimité

• IREM de Bordeaux :
  Marie-Line Chabanol, maître de conférences à Bordeaux, directrice adjointe de l’IREM depuis plusieurs années, investie dans la préparation de MATh.en.JEANS.
  Marie-Line dans l’équipe de théorie des nombres mais fait plutôt des probalilités.
  Responsable d’un groupe Art et Maths, elle intervient dans un groupe Culture Maths. Elle est également impliquée dans les préparation au CAPES et à l’agrégation.
  Marie-Line fait le point sur l’activité de l’IREM de Bordeaux (et c’est une belle activité !)
  Approuvé à l’unanimité

• IRES de Corse : pas encore de nouvelle, puisque le projet était envisagé à l’intérieur de l’INSPÉ (qui est en construction)

• IREM de Nice : toujours en attente... Il faudrait contacter Philippe Dutarte, nouvel IPR de Nice. Ce serait un atout précieux. Si d’autres ont des contacts à Nice, ne pas hésiter à communiquer leurs noms à Anne.
  à Nice : Serge Quilio EA 6308 I3DL Universite ? de Nice Sophia Antipolis Serge.QUILIO@univ-cotedazur.fr
  Margarida ROMERO Professeur des universités INSPÉ de l’académie de Nice margarida.romero@gmail.com
  Nouvellement recrutée à l’INSPÉ de Nice. Maryna Rafalska

• Mayotte : David Pouvreau avait exposé son projet à l’ADIREM. Depuis, le Recteur a changé, c’est Gilles Halbout qui a pris la relève. Par ailleurs, David vient d’être recruté en classe préparatoire (à la Réunion), mais aussi à l’IREM de la Réunion.

• De même à Nouméa, Erick Roser a pris en main les rènes de l’Académie de Nouvelle-Calédonie. Alban a été chargé de mission par le nouveau recteur sur l’innumérisme. Évolution positive de l’IREM.

• Orléans-Tours : les groupes existent, malgré l’absence de noms d’animateurs. Restructuration en cours. Vincent Beck redeviendrait directeur pour Orléans et Tours.

Le mandat de Pierre Arnoux arrive à son terme. Il ne souhaite pas poursuivre.
Plusieurs personnes ont réfléchi à des personnes qui pourraient lui succéder. Anne propose Christine Proust.
Christine est membre du laboratoire Sphere Paris, historienne des mathématiques babyloniennes, directrice de recherche au CNRS. Elle s’intéresse à l’enseignement, écrit sur IdM, était éditrice pour Culture Maths. Christine a des liens avec les IREM de Dijon et de Grenoble. Elle a fait partie il y a longtemps de la CII Épistémologie et Histoire. Elle est motivée.
La passation de pouvoir aurait lieu au mois de novembre. Pour information, le CS qui devait avoir lieu vendredi prochain a été annulé.

Candidature acceptée à l’unanimité.

NB : Anne et Stéphane sont systématiquement invités aux réunions du CS. Le CS comprend quelques non-mathématiciens (la liste n’est pas à jour sur le site).

Martin Andler regrette l’absence d’un-e représentant-e de l’ADIREM au CA d’Animath. Anne trouve qu’il serait intéressant d’y aller.
Nous ne connaissons pas encore le calendrier des réunions pour l’année à venir.
Le rôle d’Animath est centré sur la diffusion de contenus mathématiques, après obtention de subsides du PIA3. Essentiellement du péri-scolaire, et non des mathématiques de la classe.
Edwige remarque qu’il faut que ce soit une personne au courant de ce qu’il se passe dans le réseau. Pas forcément un directeur d’IREM, mais en tout cas membre d’un IREM.
François est tout désigné pour cette tâche ! Il pourra suggérer une personne suppléante issue de l’ex-Commission Pop’math.

Les prix seraient remis à la mi-juin, donc la réunion du jury pourrait se tenir en avril (mail de Jérôme Buzzi du 16 septembre). Femme de préférence.
Prix d Alembert
Prix Ferrand
Anne se réjouit qu’on pense à nous comme ayant une place dans ce jury.

Marie-Line se propose comme représentante de l’ADIREM. Il pourra y avoir une personne suppléante, pas forcément directrice d’IREM.

André est membre du Comité de l’APMEP, mais pas en tant que directeur d’IREM, ni comme représentant de l’ADIREM.
Sylviane Schwer se propose (géograhiquement, c’est la plus proche !).
Anne relance les membres de toutes les CII pour obtenir un second représentant.

Alban sera en métropole du 5 décembre 2019 au 31 janvier 2020. Christophe Cuny s’occupe d’organiser sa tournée avec les organisateurs locaux : Christophe à Brest, Mohamed à Strasbourg, Bénédicte à Toulouse. Patrick est également intéressé à Lyon et Marie-Line à Bordeaux.

• • Budget ADIREM
    Dotation 2019 : 20 000€ + 11 400€ de report de 2018
    Engagé à la date de l’ADIREM : 21 000€
    Remarques par rapport aux prévisions :
    site internet : rien de commandé
    quelques petits débordements de C2i
    Sont à prévoir :
    nouvelle commission internationale des IREM : 2 déplacements
    journée des C2i : déplacements + pause café
    report des crédits si possible ou tout dépenser d’ici fin 2019 ?

• • Budget GIS ADIREM
    Il y a environ 7 500€ sur le compte, soit deux années de cotisations, pas de dépenses en vue sinon un peu de reprographie ; à prévoir avant la fin de la convention d’une durée de 4 ans.
    Anne suggère de prendre en charge les frais de déplacement des directrices dont les IREM n’en ont pas les moyens.
    En tout cas, c’est déjà un état des lieux.

• • Demande Repères IREM
    Michèle Gandit donne une vue complète sur les coûts de fabrication et les recettes
    3 500€ : impression
    4 800€ : facture Topiques
    500€ : affranchissement
    total dépenses : 8 800€
    total recettes - abonnements : 9900€
    Pour alléger les frais d’affranchissement, il faudrait que la revue passe dans le domaine public, elle est actuellement propriété de Topiques éditions. Cela permettrait aussi d’économiser sur les frais d édition - facture Topiques
    Plusieurs idées sont discutées, avec l’objectif de reprendre la main sur Repères. Par exemple, l’organisation d’un colloque autour de la remise des clés de Repères à l’ADIREM.
    Et pourquoi pas autour de la conversion vers une revue en ligne ? Y compris la mise en ligne de Petit x et Grand N.
    Vis-à-vis des instances : à Toulouse, le Rectorat reproche à l’IREM de ne pas être assez visible. Or, il faut que nous diffusions davantage les écrits de notre réseau.

• • Évolution du portail
    Stéphane fait part du travail réalisé avec François depuis l’été : échanges et construction d’un cahier des charges proposé aux prestataires. François a obtenu un devis pour 6 500€ sur la base de ce cahier des charges.
    L’université réclame que plusieurs devis soient demandés.
    On n’est pas obligé de prendre le moins cher, mais il faut argumenter.
    Discussion sur l’esthétique proposée par le prestataire approché par François à Lille, sur celle de la Grange des maths de Grenoble [https://www.la-grange-des-maths.fr/]
    Le cahier des charges sera déposé sur le Coin des directeurs.
    Stéphane avertit qu’il y aura un travail de suivi au niveau local, et qu’il faut donc demander des devis dans des lieux proches de nous, pour qu’il y ait contact en présentiel, et pas seulement de manière virtuelle.
    Personnes intéressées pour travailler sur ce dossier : Stéphane et François, bien sûr, avec Anne, Fabien, André et Jérôme Germoni.
    Conclusion : on demande au groupe de travail de faire au mieux, dans un budget maximal de 8 000€, payable sur deux années budgétaires, tout en demandant deux devis supplémentaires.

Christophe a trouvé que c’était une bonne idée de proposer les services vidéo de l’IREM de Paris à l’ensemble des autre IREM. La personne qui s’en charge à Paris pourrait rédiger une sorte de cahier des charges à soumettre à tous. Site
Exemple : le colloque du Cinquantenaire aurait pu être filmé à Besançon, puis monté à Paris.
Mohamed donne l’exemple de l’IREM de Strasbourg (UNISTRA fait payer 750€ la prise de vue + montage d’une conférence).

Il y aurait même possibilité d’envoyer une équipe mobile de tournage.

Des questions se posent : droit à l’image ? propriété du produit final ? partage des frais de déplacement ?

Proposition de constituer un groupe de travail qui réfléchirait au cahier des charges.

Marie-Line envoie les liens vers ses vidéos. Mohamed projette de faire filmer le colloque CORFEM 2020 par ce moyen.

Rq : à Lille, les vidéos sont stockées sur le site webtv de l’université et à Bordeaux sur Mediapod.

Anne trouve difficilement utilisable le format actuel des rapports du réseau. Il y a du volume, mais l
information est difficile à utiliser.
Pur cet aspect manipulatoire de l’information, Anne a créé un questionnaire Framaform, long et complexe, contenant pas mal de questions portant sur les aspects quantitatifs.
Donc Anne prévient : ça va être long à renseigner !

Disponible ici

La DGESCO a été contacté à plusieurs reprises pour connaître les colloques retenus au PNF... pas de réponse. Il y a un nouveau directeur : Édouard Geffray nommé en juillet 2019. Une nouvelle demande va être faite, mais Anne pense qu’il n’y aura pas de colloque au PNF.
Nous avions un contact Évelyne Touchard, mais elle s’occupe du plan Villani/Torossian à temps plein.
Il va y avoir l’année des mathématiques, des formations dans les PAFs et une rencontre nationale à Lyon avec beaucoup d’acteurs du plan. Il y a besoin d’argent pour organiser tout cela. Il faut d’un autre côté que les organisations des colloques se mettent en place.

Pour les colloques plus ponctuels, la décision est plus difficile en matière de visibilité et de public.

• Marseille - CII TICE : report à l’automne 2020, mais difficultés de calendrier : fête de la science, APMEP, possibilité d’avoir des ordres de mission...
• CORFEM à Chambéry : sans être au PNF il y avait 70 persones. Les avis sont partagés.
• COPIRELEM à Chambéry : serait plus favorable de ne pas être au PNF, mais le public présent est différent. Demande de participation : 2 000€. Le projet MathCityMap pourrait financer une partie du colloque.
• Clermont-Ferrand : colloque DNL.
• La Réunion : 20 ans de l’IREM entre le 25 mars et le 03 avril 2020 : demande d’envoyer aux frais de l’ADIREM une ou deux personnes.

Anne a mis « tout un tas de documents » en ligne.
Ce PIA3, c’est le bazar, Anne n’a même pas obtenu le dossier complet. Nous ne somme pas de vrais partenaires de ce projet
(que pourtant nous soutenons), LAMAP ne voulant pas vraiment communiquer sur le sujet.
Le projet se nomme « stimuli »...
Stéphane a cependant une vision positive de la collaboration avec LAMAP, car il considère que cela permet de mettre en valeur les ressources des IREM. 

Compte rendu par Stéphane.
Bon contact avec le nouveau DG, mais la discussion n’a pas été des plus profondes.
Sujets abordés : AdM, le portail, Twitter, un projet d’agenda partagé dont nous parlerons plus en détail demain.
Pas vers les autres sciences, à peine discuté.
Prochain rendez-vous à la DGESIP/DGESCO le 3 octobre.

• Formation des référents
• Actions Labos-maths
• Autres actions

Des groupes Sciences ont été créés depuis quelques années. Il faudrait ses structurer pour que ces groupes ne soient pas exclus du réseau. Les groupes info sont structurés (il existe une CII Info), mais pas les autres.
Pourquoi pas la création d’une CII physique-chimie ?
Bénédicte témoigne de la popularité nationale du groupe « esprit critique » (Dominique Larue)
Dominique suggère que nous commencions par solliciter les différents groupes, afin qu’ils envoient des représentants à la journée des CII de décembre, et qu’ensuite les désirs émergent.
Bénédicte s’oppose à la dénomination de CII sciences, car les mathématiques font partie des sciences, qui ne se réduisent pas aux sciences physiques.

Fin de la première partie lundi 16 à 19h25

Fonctionnement de cette année : Jean-Yves s’occupe de la répartition (autrement dit : il tranchera)
François a préparé un outil, i.e. un site, que chaque IREM devra renseigner.
Dans « Autres sciences », il y a l’informatique (celle des informaticiens, pas des matheux qui en font), les autres sciences, les PLP maths-sciences.
Dans les programmes 140-141 : les personnels second (141) et premier (140) degrés.
Les règles n’ont pas changé : minimum 6h par personne et maximum 60h par groupe ; maximum 3 groupes dans la tranche maths ; des heures réservées aux responsables CII.
Les priorités pour cette année : Cycles 1-2-3 ; informatique (dans les maths) ; Lycées ; Interdisciplinarité ;
Les demandes particulières (ex : colloques des CII) sont traitées par Jean-Yves. De même pour Petit x et Grand N, ce sont des actions particulières et François envoie directement aux responsables des actions.
Les directrices/teurs ne s’occupent que de leurs animateurs pour ce qu’ils font a l’intérieur de leur IREM.
François envoie directement à chacune/chacun ; il décrit le site et montre son fonctionnement
ex : pour les professeurs des écoles, la matière est « professeur des écoles » ; il y a mathématiques-sciences pour les PLP.

On évoque la question des heures, puisque Marie-Line signale une baisse de 10% des heures, et Christophe H 20%.

Stéphane suggère que cela soit signalé à Charles Torossian, et que ne nous pas enlevées ces heures a profit des labos maths. Anne ajoute qu’il ne faut pas se contenter de signaler ces faits, mais que nous devons aussi donner des arguments quantitatifs.

NB : c’est bientôt intégralement converti en IMP, mais pas encore partout.
Récap pour Patrick : les volants d’heures ministérielles sont appelées « déglobalisées » ou APN, elles sont attribuées nominativement par le MEN (même si versées par les Rectorats), après certificats de services faits.
Les heures attribuées par les Rectorats sont appelées « globalisées » et codées BOPA (budget opérationnel par académie)

Olivier explique le fonctionnement à Marseille (certaines heures peuvent être attribuées en supplément).

On évoque aussi les conditions d’élaboration du PAF, l’attribution des ordres de mission, le remboursement des frais de déplacement.

Date limite : mardi 5 novembre 2019. Il faudra avoir fini l’harmonisation avant la journée des CII.

Olivier considère que les heures DGESIP des laboratoires de mathématiques du plan VT vont à l’encontre de l’esprit des IREM, puisqu’elles sont exclusivement à destination des universitaires. Anne répond que c’est impossible puisque ce sont des heures DGESIP et pas DGESCO. Louise trouve que c’est dangereux, puisque ça pourrait être pris de manière que les heures ne soient plus attribuées à l’IREM.

Christophe H : on nous a donné des sous à l’arrache, n’importe comment. Ce sont donc des euros donnés pour compenser des heures faites par des personnels de l’université dans les labos. Donc on devrait pouvoir utiliser ces sommes comme on le veut. Techniquement, il n’y a aucun problème. Mais Anne précise que CT a dit qu’il s’agissait d’heures pour des chercheurs.
Patrick signale qu’il est possible de contourner le problème en embauchant les collègues du secondaire comme vacataires de l’université.

Marie-Line : payer les heures chercheurs et enseignants-chercheurs pour les interventions. Les heures ont été prépayées par l’université.

Michèle : volonté pour faciliter l’utilisation de ces crédits.

Strasbourg : 9000€ pour finalement 2 laboratoires sur 3. Une heure d’intervention est payée 2 heures. On peut payer les heures et les déplacements des collègues du secondaire.

A Paris Nord, il a été possible d’acheter du matériel.

à Reims 9000 euros pour 3 labo. Mis au BR (Budget rectificatif) de septembre. 6000 en personnel et 3000 en déplacement. Service fait pour les collègues intervenus mais problème pour les interventiions à venir ....

deux informations contractoires : reconduction des heures en 2020 ou non.

André explique que la fac a accepté de payer ce que l’IREM demandait. Les heures faites en labo maths seront comptées comme vacations. Anne pense que CT demandera un compte rendu.

Célia n’a pas encore réussi à trouver l’argent. L’université des Antilles demande une procédure.

Peut-on ne rémunérer que les universitaires ? En fait, non. Christophe H suggère qu’on demande à CT de s’exprimer sur la question. En partculier pour une demande de report. Et s’il stipulait qu’on peut acheter du matériel...

Mais Edwige rappelle que l’idée était d’impliquer des enseignants du supérieur.

Fabien a réussi à trouver l’argent. Mais ses informations sont en contradiction avec les notres : son référent VT rappelle qu’il n’y a que des vacations universitaires. Mais attention, on ne peut pas déclarer un service fait sans que le service soit fait !

Pour mémoire : les principes de répartition énoncés lors de l ADIREM de septembre 2018 - voir la page DGESCO 2018-19 pour les règles finalement utilisées

• pas moins de 6h par personne (APN)
• max 15h-18h par personne (APN)
• max 60h par groupe (plus de liberté pour l’instant en autres sciences)
• max 3 groupes par IREM pour les mathématiques (exceptionnellement 4 lorsqu’il y a 2 très petits groupes, plutôt qu’un regroupement de circonstance)
• 0h pour enseignant-chercheur
• 0h pour retraité sauf important service rendu au réseau
• responsabilité CII : 36h (x2 pour les grosses CII avec 2 responsables du secondaire)
• les PRAG ont des heures pour des services collectifs (resp CII, organisation colloque) mais pas pour une intervention dans un groupe relevant d’une APN
• max 72h par personne sur des responsabilités nationales en cas de cumul (à éviter !)

• APMEP 19 au 22 octobre 2019 à Dijon. Traditionnellement, les IREM ont un stand.

• École d’été de l’ARDM à Autran du 13 au19 octobre 2019. L’IREM de Poitiers, de Bordeaux et de Paris sont intéressés pour apporter ou transmettre à Michèle Gandit des brochures.

Négociations sur le mercato des brochures : on avertit Michèle de tous les transferts prévus ; Michèle prévient qu’elle fera ce qu’elle pourra.

• • Ouverture de l’année des maths : documents
  • Mise à jour fiches verte et blanche
  • Visuel et logos
  • Livret de l’année des mathématiques
  • Info sur les sites
  • Représentation à Shangai
  • Action dans les académies/région : tour de table

Le jour de l’ouverture, le 2 octobre à la Sorbonne, il y aura un stand de l’ADIREM.
Le public sera surtout parisien. Anne a demandé aux collègues des IREM parisiens
Elle souligne l’intérêt des différents flyers, y compris la fiche DGESCO qui montre le soutien institutionnel aux IREM. Un retravail de ces documents est prévu.
Question du stand. Pas la peine d’apporter des tonnes de brochures : il sera interdit de les vendre... Michèle apporte des numéros des revues, Frédéric apporte deux exemplaires de Passerelles.
Quelques brochures également (IREM de Poitiers, déjà déposées à Paris).
Stéphane suggère quelques jeux, manipulations...
L’INSMI peut fournir des grilles de présentation. André évoque le poster de la carte des IREM, dont Christophe H se demande s’il n’est pas dans le couloir.
Christophe sera chargé des pincettes.

Retour à la discussion après avoir passé du temps sur les labos VT.

Dans le comité de pilotage, il y a en particulier trois personnes présentes à l’ADIREM : Louise, Edwige et Anne.
Pour info, Etienne Ghys y est assez effacé, tandis que CT s’impose. Avec le MEN, ils mettent pas mal de bâtons dans les roues du Comité...
Anne propose : dès que quelque chose se voit un peu dans nos actions, mettons les logos de l’AdM, et inscrivons-nous dans ce cadre, en déclarant nos actions sur le site de l’INSMI : il faut mettre un nom de chercheur et ça passe. Par exemple, Marie-Line a cherché à déclarer une action MeJ.

Souci sur les logos : le MEN ajoute partout « Pour l’école de la confiance ». Attention, nous ne sommes pas obligés de le mettre
(d’ailleurs l’INSMI se bat aussi pour son indépendance). Edwige s’exprime à ce sujet : nous sommes acteurs du plan VT.

Le livret de l’AdM : élaboré par le comité de pilotage en juillet, il n’est pas encore distribué dans les établissements. Il sera distribué à la Journée du 2 octobre, mais le MEN ne pensait pas le communiquer ailleurs que là et sur le site de la DGESCO. Anne a suggéré l’envoi d’une affiche avec notice explicative + le livret. Mais cela ne fonctionne pas encore.

Conclusion : « Faites des actions, signalez-le » sur le site de l INSMI.

Lien direct : https://parite.math.cnrs.fr/limesurvey/index.php/248346

L’AdM n’est pas destinées qu’à la diffusion des mathématiques, mais concerne aussi la formation des enseignants.

Shanghaï : tous espéraient que CT allait pouvoir soutenir financièrement la participation française à ICME. Edwige parle de la présentation nationale à Shangaï (présentation des IREM et de tout ce qui est fait pour l’enseignement en France).
Grosse déception. Il n’y aurait pour tout budget que 15000€...
Edwige suggère de solliciter des candidatures de personnes du second degré, voire du premier degré. Des congrès anglophones bien sûr. Soumission avant le 30/09 sur le site ICME14
Ça fonctionne aussi pour les chercheurs, particulièrement en didactique.
Prévenir Anne et Edwige des candidatures connues pour qu’elles négocient une enveloppe budgétaire suffisante à la DGESCO

Anne insiste sur la présence de représentants « de terrain », car c’est notre « marque de fabrique ».

Au point mort pour l’instant. Après discussion avec Alice Ernoult, Anne avait trouvé que l’actuel agenda de l’AdM était insuffisant. Elle a donc imaginé qu’on devrait réussir à créer un réseau de personnes référentes des structures actuelles qui pourraient abonder un agenda des mathématiques sur le portail des IREM.
Cela existe sur les sites des CCSTI et sur le site de la Fête de la Science. L’idée était de créer quelque chose de plus adaptable.

A la manière de Publimath, notre portail renverrait à ce site. Voir pour exemple : https://portail.math.cnrs.fr/agenda

Marie-Line signale que certains Rectorats, comme à Bordeaux, ont déjà de tels agendas localement.

Il reste à affiner le cahier des charges de cet agenda en termes de formats de dépôt.

La gouvernance de la structure CFEM est gouvernée par les ICME tous les quatre ans. La représentation des composantes aussi.
Autre information importante, pour laquelle Edwige accepte de l’aide : la tenue de l’agenda, la fourniture d’informations, etc.
Sur le bulletin : un article sur les heures DGESCO/DGESIP etc., serait bienvenu.
En bref : faire remonter des infos et proposer des articles.

Ce serait un numéro exceptionnel plus qu’un numéro spécial. Il servirait d’outil de communication et pourrait être en forme d’Actes du colloque du Cinquantenaire.
La conférence de Charlotte Derouet / Sylvie ALory / Luc Trouche « Chercher dans les IREM » va faire l’objet d’un article dans Repères en avril.
Question du financement si cela se fait avec Topiques.
Si nous avons les moyens financiers, cela en vaut la peine.
Fabien signale la moche page Wikipedia des IREM : il n’y a pas la

Décret paru le 6 septembre sur la réforme de la formation des enseignants : les enseignants vont avoir une obligation de formation tous les ans, éventuellement pendant leurs vacances.
Quand c’est demandé par l’Administration, ils seront payés, mais pas forcément autrement (par exemple sur une formation IREM).
Par exemple, Anne a une formation à Montpellier pour l’agrégation interne pendant les vacances.
Nous aurons probablement à nous battre pour que nos formations de ce type soient reconnus par l’institution.
A Marseille, de même, il existe une préparation à l’agrégation au mois d’août.
A Toulouse, c’est aussi un stage d’une semaine. Il se pose des problèmes techniques (OM) et financiers. Ce décret rendra possibles les OM pendant les vacances.

Anne témoigne d’une réflexion des CT à propos du peu de stages offerts par les IREM.

Les syndicats protestent contre cette attaque du statut des enseignants.

Discussion autour de la formation professionnelle des enseignants.

Fin de la réunion à 12h30, la prochaine réunion aura lieu le 13 décembre.