Le CR est approuvé à l’unanimité des présents

• IREM de Lyon : Christian passe la main. Il est accompagné aujourd hui par Patrick Berger, PRAG à l’ESPE de Lyon.
  Patrick est agrégé de Physique (ENS-Lyon), a fait sa thèse en physique mathématique ; il est formateur en mathématiques à l’ESPE de Lyon, a été Président du cercle zététique.

Christian signale qu’il travaille avec Patrick sur le rallye mathématique.
Questions / réponses sur les projets de l’IREM de Lyon.

Du point de vue administratif, l’IREM de Lyon fait partie du GIS. La dimension européenne est en standby car les modes de financements se complexifient. Il se pose des problèmes pour la rémunération des intervenants du second degré.
En ce moment les universités resserrent les modalités de rémunération et ont tendance à exiger que les paiements correspondent à des heures inscrites dans les UE des maquettes.
NB : l’IREM de Lyon ne fait pas partie de l’ESPE, mais du département de maths, il sera donc intégré dans la nouvelle structure de l’université de Lyon [« université cible »]

La candidature de Patrick est approuvée, il est élu à l’unanimité.

• IREM de Nice : Anne a écrit aux contacts universitaires suggérés par Edwige. Pas de réponse.
• IREM de Guyane : Des échanges ont eu lieu avec des collègues venus au colloque international de Strasbourg. Un dossier a été proposé au Président de l’université de Guyane, et soutenu par Anne. Pas de nouvelle depuis le CA de l’université. Proposition de donner l’an porchain des heures en passant par l’IREM des Antilles afin de dynamiser la demande de création.
• IREM de Corse : Les porteurs du projet sont venus le présenter à l’ADIREM récemment. Le projet est en attente pour le moment, pour raison de réorganisation structurelle de l’ESPE de Corse.
• IREM de Mayotte : invitation de David Pouvreau : Anne a invité David à notre présente réunion. Projet : idée qui a germé en mars 2019. Il y a eu un colloque de mathématiques appliquées en novembre 2018 avec la présence de Cédric Villani et Charles Torossian. Audit sur la licence de mathématiques
  par Gilles Halbout Montpellier) qui a proposé la création d un IREM qui pourrait résoudre un certain nombre de problèmes simultanément.
  Excellente idée, mais besoin d aide.
  Énorme déficit de titulaire dans l enseignement secondaire : 50 des 280 enseignants sont des contractuels ==> gros besoins en formation continue. Manque d
  attractivité de Mayotte notamment ces deux dernières années avec beaucoup de départ de 20 -> 50 pour cent.
  Contexte de vie très difficile. Grands mouvements de grève. Tremblements de terre à répétition. Plein de facteurs qui ne favorisent pas la sédentarisation des enseignants.
  La moitié des enseignants du primaire sont des PE. Les contractuels sont recrutés à BAC +2.
  Spécificité de langage, réformes en cours... Besoins de réflexion.
  Le Centre Universitaire et de Formation et de Recherche dépendant d’une université pour la délivrance des diplomes. Nombre croissant d’etudiants 1300, dont 270 pour le master MEEF. Parcours PE à partir de la L3.
  L an porchain pour les mathématiques : 35 en L1, 30 en L2 et 25 en L3.
  Le CUFR : 52 enseignants titulaires dont 24 MCF.
  Le master MEEF dépend de l’université de La Réunion.
  La licence de mathématiques dépend de l’université de Montpellier.
  Étudiants très motivés, avec de grand progrès pendant leurs années d’université. Il est possible de faire des choses, mais il faut de la motivation et des moyens pour y arriver.
  Objectif : former des enseignants pour fournir les besoins locaux. Mais la plupart des étudiants souhaitent ête contractuel condition salariale spécifique par rapport à un statut de titulaire). Le contexte d’enseignement pour des débutants non formés est encore plus désastreux, abandons mutliples...
  Attente d’un master MEEF second degré. Il faut assurer la formation continue des enseignants.
  Pas de réelle formaton au CAPES interne. Paradoxe : besoins considérables face à rien.
  Il faudrait pouvoir répondre aux besoins ressentis par les enseignants de tous niveaux, apporter une réflexion didactique.
  L’IREM pourrait fédérer les enseignants qui souhaitent rester à Mayotte, qui souhaitent avancer, créer des liens. Cette année 2 demi-journées au PAF.
  Avec le CUFR, il n y a pas possibilité d avoir des locaux, mais l’accueil est envisageable, les salles sont équipées.
  Possibilité d’avoir quelques heures de secrétariat.
  Création d’un site internet pour la communication même interne à Mayotte.
  Le projet n’a pas été soumis au CA. Le projet sera présenté en septembre 2019. Pas d’estimation du budget CUFR et vice rectorat) pour la création et le fonctionnement.
  Quelques soutiens au vive-rectorat : le CUFR pourra prendre en charge les intervenants universitaires. Le soutien au collègues IMP ou HSE) n’est pas acquis. Il faut créer une dynamique pour montrer que c’est possible.

Demande du soutien de l’ADIREM pour impulser une dynamique. Le CARDIE soutient ce projet, ce qui est une chose très positive.

Pour le CAPES interne, le vice-rectorat prendra en charge le paiement d’heures 36 pour le moment.

Implication de l’IREM dans la formation continue. Certains membres des groupes de recherche pourraient prendre en charge des interventions.

Groupes de recherche : petit noyau de personnes motivées. Il faudrait créer la structure IREM et espérer attirer les gens ensuite. Pas de groupe premier degré, même s’il y a des possibilités individuelles. Pourtant les besoins sont au niveau du premier degré. Idée : chaque universitaire pourrait aller chercher des enseignants de terrain et former plusieurs groupes.
Potentiellement plusieurs groupes : Mathématiques et Jeux ; Mathématiques et Interdisciplinarité ; Mathématiques, algorithmique et informatique ; Didactique de l’enseignement mathématique du second degré ; Transition lycée-université et didactique de l’enseignement supérieur. (Attention à ne pas voir trop gros !)

Besoin primordial de l’ADIREM.

Avec des intervenants en informatiques, ne serait-ce pas plutôt d un IREMI ?

Il y a deux laboratoires de mathématiques, un dans un collège, l autre dans un lycée.

Nous apportons notre appui au projet. Anne et Stéphane écriront une lettre en ce sens.

L’annexe de la DGESIP a été signée. Le nouvel interlocuteur est Pascal Gosselin. Rendez-vous pris en juin.

Nous pouvons maintenant établir nos certificats de services faits.
Il est possible de les envoyer au Rectorat, mais il faut en faire copie à Chantal et Jean-Yves [et à Anne].
Elise signale qu’elle modifie des noms, sans changer les programmes.
Attention aux thématiques prioritaires. Attention que ce soit à la marge.
Christophe demande à Anne de remettre en ligne sur le coin des directeurs le fichier des heures nationales.
Rappelons-nous que les Académies font ce qu’elles veulent avec les heures qu’elles reçoivent.

Philippe suggère que nous fassions le point sur les heures rectorales, il fait face à Besançon à une réduction de moitié des IMP attribuées, et par conséquent à l’impossibilité de rémunérer certains animateurs (qui par ailleurs ne peuvent pas non plus toujours prétendre à la prise en charge de leurs frais de déplacement...)

Discussion à propos des heures globalisées et de la disparition du fléchage depuis 2006. Anne propose d’envisager une action de l’ADIREM auprès des Rectorats.

François présente le document récapitulatif.
Discussion sur l’avancée du dossier du site. Anne demande des volontaires pour établir un cahier des charges.
On parle aussi du colloque de Besançon (6000€ donnés par l’ADIREM, mais les frais d’hôtel en sont déjà à 7000...) Les conférenciers doivent être pris en charge.
Philippe estime à 2000€ le budget des déplacements, pour une dépense finale de 13200€. Avec une recette de 10 500 €
(ADIREM 6000, Projet européen de Lyon 1000, Fédération de recherche UFC 500, ESPE FC 500, Région BFC 1000, auxquels il faut ajouter le montant des inscriptions).
Il y aura des rentrées dues aux prises en charge par les instituts locaux pour les locaux.
Philippe estime qu’il manquera 1000€.
Anne rappelle qu’il y a l’argent du GIS, alors qu’il y a beaucoup de personnes qui ne paieront pas les frais d’inscription au colloque, c’est-à-dire des personnes qu’on peut considérer comme missionnées, ce qui correspond à ce pourquoi le GIS existe.

Notre position de principe : il y aura des frais de transport réglés par l’IREM de Lille , à concurrence de 1000€ (budget ADIREM)
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- pb PNF à Poitiers ?
- rallonge pour le colloque du cinquantenaire ?
- journées délocalisées des CII : qui/ où ?
- proposition de colloque 1er degré à LAMAP pour prolonger Del Duca suite à l’annulation de l’action en avril ? instaurer une journée par an en décembre ? où ?

50naire : voir plus haut.
Poitiers : réglé directement avec Youssef.
Colloque 1er degré : LAMAP nous avait demandé une action un peu différente. Stéphane signale qu’ils n’avaient pas l’air très intéressé par une nouvelle édition.
On verra plus tard, 1er semestre 2020.

- quelle production de vidéos
- quelle production de moocs ou m@gistères
- quelle effectivité des journaux internes locaux ?
- Présentation des essais de statistiques à partir du rapport —> ce qui manque pour que le rapport soit opérationnel.

Le dossier suit son cours. Notre rapport est très complet mais est difficilement exploitable en l’état. Anne sera obligée de passer par Latex l’année prochaine.
Elise proposait de tenir à jour un tableau synthétique des groupes IREM, cela pourrait être ajouté au rapport.
Attention : date limite le 31 mai.

pour mémoire en 18-19
- cycles 1-2 et 3
- info
- maths et interdisciplinarité
- évaluation et différenciation
- lycée
- autres sciences

Pour établir le fichier des personnes apparaissant au niveau national.

Quelles priorités pour l’année prochaine ?
Privilégier les actions récurrentes tout juste mises en place.
Nous conservons Cycles 1-2 et 3 [sachant que les CPC/CPD peuvent être concernés, cf ci-dessous]. Pour l’instant, nous n’affichons pas assez de professeurs des écoles.
Conseillers Pédagogiques de Circonscription (CPC 1er degré) sont éligibles à ces heures.
CP Départementaux
Les référents mathématiques de circonscription (RMC) aussi a priori, mais comme c’est nouveau, pas sûr que ça percole.
NB : le nom de notre contact à la DGESCO : Isabelle Robin, cheffe de service Département de la recherche et du développement, de l’innovation et de l’expérimentation ; Juliette.Boucheron@education.gouv.fr comme chargée du dossier.

Info : nous conservons

Autres sciences : les groupes d’autres sciences ou les enseignants d’autres sciences.

Lycées : c’est l’actualité. Nous précisons : en particulier « raisonnement, preuves, logique, démonstration ». Alors Anne propose d’abandonner l’intitulé « lycées » pour nous centrer sur les problématiques de la réforme (du type « enseignement scientifique »), mais cela est discuté. Penser à bien y inclure le lycée professionnel.

Mathématiques et interdisciplinarité : Il faut en tout cas penser aux nouvelles problématiques dans ce cadre. On peut ajouter dans le texte de l’annexe des précisions sur ce que nous avons discuté, en particulier sur l’enseignement scientifique.

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L’excellence est un moyen de gérer la pénurie. Une excellence jugée par 3 pages de blabla...
C’est reculé à juillet... Les IREM en local peuvent s’associer à l’ESPE. L’ADIREM s’associait au projet de l’ESPE de Lorraine.
Louise signale qu’il y a une ambiance de concurrence malsaine.
François sous-entend que les dés sont déjà jetés, ce que Louise confirme : il y a 5 places, dont 3 seraient déjà attribuées

proposition de l’APMEP de calendrier évolutif commun avec des partenaires

- possibilités de publication à l’APMEP : rappel
- journées APMEP : stand
- tour de table des politiques locales, des pb, des envies

Hombeline (Publimath) et Yves (Repères-IREM) sont présents et interviennent à la demande d’Anne.
Ils évoquent la migration du site : ils préfèrent attendre cette migration avant d’entamer de nouveaux travaux structurels.
André Sesbouë donne toutes indications nécessaires : l’été approchant, le projet pourra avancer davantage. Mais il préconise de ne pas modifier la base avant que la migration soit complète.
D’ici la rentrée de septembre ?
Jean-Louis Maltret souhaiterait trouver un remplaçant au poste qu’il occupe depuis 1996.
Demande aux directeurs de faire une fiche Publimath des publications de leur IREM ou désigner un correspondant diffusion des travaux.
Plusieurs appels ont été lancés, les directeurs peuvent prendre l’initiative de relancer régulièrement ces appels vers les membres des IREM.

Il faudrait deux personnes de collège pour Repères-IREM et Publimath. Grenoble aurait peut-être un candidat.

L APMEP souhaiterait également des articles provenant des IREM.