Tour de table (dans le sens horaire) :
Anne Cortella (Montpellier),
Stéphane Vinatier (Limoges),
Xavier Buff (Toulouse),
Bénédicte de Bonneval (future directrice de Toulouse),
André Stef (Lorraine),
Dominique Tournès (La Réunion),
Olivier Guès (Marseille),
Malika More (Clermont-Ferrand),
Jean-Yves Brua (Rouen)
Élise Janvresse (Amiens),
Sylviane Schwer (Paris Nord),
André Sesboüé (Caen),
Pierre Arnoux (Comité Scientifique),
Christophe Hache (Paris),
Fabien Emprin (Reims),
Philippe Le Borgne (Besançon),
Chantal Menini (Bordeaux),
Youssef Barkatou (Poitiers),
Mohamed Atlagh (Strasbourg),
François Recher (Lille),
Frédéric Métin (Dijon),
Christian Mercat (Lyon) (en ligne),

Louise Nyssen (SMF et CNRS),
Emmanuel Royer (CNRS)

Excusés :
Michèle Gandit (Grenoble),

Lundi 18 mars 2019 - Université Paris Diderot - 14h à 19h

• IRES de Toulouse
  Constitué à peu près à moitié de matheux, et moitié de non matheux.
  Plusieurs candiatures : en mathématiques et ailleurs : Bénédicte de Bonneval (chimiste)
  Candidate : contacts avec les lycées, ancienne directrice du SCUIO. rallye Sciences expérimentales (avec Xavier Buff)
  Demandes de plusieurs avis à l’université (conseil de l’IRES, conseil de la FSI).
  L’IRES est un département de la FSI (Faculté des Sciences et Ingénierie) de Toulouse.
  État des lieux : groupes mis en place depuis la transformation en IRES, pluri-disciplinaire. Les nouveaux groupes ne sont pas marqués disciplinairement.
  Dans le groupe numérique, il y a des informaticiens et des matheux ; il y aura peut être des physiciens (enseignants de NSI, SNT). Site web avec la liste des groupes. Participations aux CII.
  Bénédicte aime enseigner, est très impliquée dans l’orientation des étudiants et le rallye sciences. Vrai défi de mettre les élèves en route en chimie, physique, techno.
  Fait le tour des groupes pour rencontrer les personnes, voir en quoi consiste la production des groupes des IREM.
  Transformation en IRES aidée par Faculté (2 postes donnés pour rétribuer universitaires autres sciences) au moment du renouvellement des statuts.
  Le rectorat donnait 800 heures (dont 592 ADIREM) mais cela a baissé l’an dernier. Le nombre d’heures avait augmenté au passage IREM->IRES. Christian Mercat était à Toulouse pour le vote de l’IRES de Toulouse, assez épaté par le niveau de démocratie.
  La candidature de Bénédicte Bonneval est adoptée à l’unanimité

• IREM des Antilles
  Candidate : Célia Jean-Alexis qui maître de conférences en mathématiques (optimisation, analyse variationnelle) depuis 2010. Le choix de direction de l’IREM : déjà sollicitée par les groupes existants. Volontaire pour faire de actions avec les collèges et les lycées. Rallye, Olympiades, séminaires (Martinique et Guadeloupe)... suivre le fil conducteur. Compte sur l’apui de Christian Silvy. Sera active pour la recherche de financements. Conférences pour la semaine de mathématiiques, ateliers, projection de film, présentation d’étudiants de L3 (retour d’expériences). Réussite de la manifestation. Il y a actuellement un groupe en Martinique et un groupe en Guadeloupe. Les groupes échangent et sont en lien. Présence à l’ADIREM ? N’a pas encore connaissance du budget, mais est partante pour venir. Souhaiterait pouvoir participer en visio-conférence (Christophe pourra organiser les choses en réservant la salle visio).
  Les collègues sont venus solliciter Célia, elle reviendra vers ses collègues.
  La candidature de Célia Jean-Alexis est adoptée à l’unanimité

• Info IREM de Guyane
  L’IREM essaie de se monter. Il était inclus avant dans l’IREM des Antilles (cf université). Les universités se sont séparées, les IREM sont donc appelés à le faire. Les collègues de la Guyane sont volontaires. La question est de savoir quelle structure pourrait accueillir l’IREM. Anne va faire une lettre au président, présentant l’objectif et les demandes notamment de moyens). Christian pourra se renseigner, il y va la semaine prochaine. Le procédé est assez lent. Il tentera de faire accélérer le processus. Gilles Dammame (Caen) s’y est rendu récemment et a fait envoyer des documents.

• Info IRES de Corse
  Suite aux réformes des ESPE, le devenir de l’IRES est en attente. Pas de directeur présenté. Mais ce sera le troisème IRES. Cela commence à faire. Il va peut-être falloir faire quelque chose. Stéphane a déjà précisé dans le dernier rapport ’mathématiques et/ou science’ (document officiel). Le colloque permettra peut-être de faire avancer cette idée. Christophe avait fait une demande d’augmentation de la dotation en heures à l’université : la demande est passée devant différents conseils : avis favorables. Ce qui va provoquer un changement de nom (en profitant du changement des universités).

Chantal Menini va laisser la direction de l’IREM d’Aquitaine, il faut donc lui trouver un(e) successeur(e) pour les heures DGESCO (répartition annuelle des heures nationales attribuées par la DGESCO au réseau). François Recher prépare une application de saisie des heures pour alléger la tâche. Composition actuelle du bureau sur la page.

Il faudra également une personne pour la CFEM (prochaine réunion le 13 juin 2019). C’est une réunion par an.

Le GIS comporte 15 IREM. Les autres peuvent postuler. Cette année, la cotisation sera de 250€ pour 2019 avec une cotisation de 250€ pour 2018 (non perçue en 2018).

Les personnes concernées sont d’accord pour se constituer en CII et proposent de s’appeler ’Commission Internationale Inter IREM’.

Approbation à l’unanimité

La première réunion aura lieu pendant le colloque du cinquantenaire et sera dirigée par Christian Mauduit (Marseille). Christian est un ancien directeur de l’IREM d’Aix-Marseille, il a contribué au développement des stages Hippocampe, des relations avec le Brésil, la Tunisie. Il est actif dans l’IREM. La présence de Christian élargit l’horizon de ce groupe (en dehors de GREMA). Cette commission doit, pour vivre, être alimentée par les IREM (qui doivent en faire la publicité). La particularité est que chaque IREM se sente concerné pour faire passer les informations. L’idée est de faire participer les « IREM » d’autres pays (une dizaine). Christian Mercat est également partant (IREM de Lyon). Il existe déjà le seminaire international (pas très actif non plus). Fabrice est partant.

Vote samedi dernier pour l’arrêt de la CII, qui
ne savait plus trop comment se renouveler. Au départ effervescence autour d’Emmanuel Cepa (IREM d’Orléans-Tours), 60 personnes dont de nombreux extérieurs. Assez vite Emmanuel est parti. Structuration en 3 groupes. Le groupe Jeu a fondu rapidement (en nombre) et a disparu récemment, le groupe Rallye a été très actif récemment (édition de Panoramath 7), groupe Diffusion a continué ses activités. Au final : 7 retraités sur 9 participants, manque de dynamisme... Arrêt... Pour mieux repartir ?
Nouvel épisode de Panoramath possible dans + ou - 2 ans.
Difficile de trouver du monde, de façon générale, pour les CII.

Il n’existe plus de CII thématique sauf CII Informatique.

C’est dommage que cette CII disparaisse juste avant l’année des mathématiques.

Pourquoi ne pas réfléchir à la transmission vers les collègues cf après-midi des journées de formation ?

L’ADIREM ou le Comité Scientifique pourraient donner des lignes, des projets de travail aux CII. Quels sont les objectifs d’une CII ? Ne serait-ce pas la volonté des groupes IREM de base ?

Six groupes ’Culture Maths’.

Un groupe Jeux en Lorraine (suite à une proposition de stage de la Maison pour la Science), mais le groupe a des difficultés à durer. Groupe jeux à Lyon, adossé à la Maison des Mathématiques et de l’Informatique (MMI), même constat.

Souci de demander de produire des ressources pour le réinvestissement en classe. festival des maths à Toulouse.

À Paris, un stage PAF, activités du Rallye pour les profs : comment utiliser cela dans la classe ? Tentative d’écriture pour toutes les activités : rallye, en classe... https://www.math.univ-paris-diderot.fr/diffusion/fiches

Paris-Nord : mise en ligne des exercices annotés. Impact positif.

Quid des pages de la CII, lorsque la CII n’existe plus ? Incitation à publier des ressources. D’autres documents existent en ligne mais certains ne sont plus à jour (cf carte interactive). Faire des archives pas trop « stigmatisantes ».

• Brèves
  Pas du tout d’avance. Quelques pistes : lycée pro, panoramath7, Lille, collège. Attention les articles cités doivent être accessibles en ligne.
  Appel est lancé pour fournir de nouvelles brèves (au format demandé).

• Colloque
  Le programme n’est pas encore finalisé. Il y aura une réunion demain.
  Il est en très bonne voie. Appel à inscription.
  NB : on peut s’inscrire au colloque sans payer pour l’instant.
  Une réunion du CS du colloque aura lieu demain après-midi, et sera décidé qui paiera et qui ne paiera pas. Pour Philippe, les 20 membres du CS et les directeurs d’IREM ne paieront pas les frais d’inscription.
  Débat sur les laboratoires de mathématiques (présence de Charles Torossian).
  Il n’y aura aucun remboursement pour les animateurs des ateliers, qui doivent être prise en charge par leurs IREM respectifs. Philippe a suggéré à certains conférenciers la demande de prise en charge par leurs propres universités (ex : Charlotte Derouet)
  Philippe interroge François sur les aspects financiers en lien avec l’université de Lille.
  Pas beaucoup de propositions d’intervention.
  Possibilité d’offrir des Repères-IREM. Bonne chose.

[Les collègues des Antilles quittent la réunion (en ligne) à 16h]

• Poitiers
  Yousseff fait part de l’avancement des travaux préparatoires.
  L’ADIREM n’avait pas décidé de l’enveloppe accordée aux différents colloques, sauf les Rencontres inter-C2IL&U de janvier à Dijon (janvier, 500€) et le Colloque du Cinquantenaire (mai, 6000€). Il y en a trois autres, organisées par la CII Epistémo (Poitiers), la CORFEM (Strasbourg) et la COPIRELEM (Lausanne, mais pas de subvention directe demandée).
  Il faut que les rectorats appliquent les OM du Plan National de Formation délivrés par la DGESCO après les inscriptions validées. Il faut attendre le programme précis et détaillé pour commencer les inscriptions. C’est assez bloquant pour nos colloques récurrents à programmes tardifs...

• CORFEM
  Inscription à partir du mois d’avril. L’organisation est en route. C’est au PNF, il faut être attentif à l’arrivée de l’information dans les rectorats.
  DAFPEN (qui finance) -> IPR

• COPIRELEM
  Anne Cortella, notre présidente, est prise par la visite de sa rectrice à l’IREM et ne peut pas se déplacer au colloque de la COPIRELEM à Lausanne.
  Moi (Christian, Lyon) j’irai mais pas tout le temps. J’imagine que Michèle Gandit ira aussi.
  L’ADIREM sera représentée par Philippe ou Christian.
  On voit ça demain matin dans le budget pour les financements aux colloques.
  La Suisse ne demande pas de subvention mais des inscriptions et un logement (cher !)... :-/
  Quand c’est l’ADIREM qui paye, il nous faut un OM sans frais de notre université et un OM avec frais de l’ADIREM (GIS, Univ. de Paris)
  nous sommes habitués mais pas les enseignants du secondaire, il leur faut un OM sans frais du rectorat, ce qui demande de la préparation.

L’annexe de la DGESCO a été approuvée par mél. La signature devrait arriver bientôt. Les notifications des heures peuvent être faites. Il est donc possible d’envoyer les états de service fait dans les rectorats. Cette année, il semble qu’il n’est plus nécessaire de passer par l’ADIREM : mais il faut savoir à qui... Stéphane Vinatier nous transmet (fichier excel attaché à cet article) la liste des personnes contacts dans les rectorats. Merci de mettre Anne et Chantal en copie de l’envoi. Merci de vérifier la liste avant de l’envoyer. La DGESco accepte de modifier les noms de la liste, mais il faut rester dans les objectifs et dans l’enveloppe. DAFPEN CARDIE, ça dépend des endroits qui est en bout de chaîne dans les rectorats... DGESIP c’est la DGESco du Sup.
Direction générale de l’enseignement supérieur et de l’insertion professionnelle
DGESco direction générale de l’enseignement scolaire
Délégation Académique à la Formation des Personnels de l’Éducation Nationale
DFIE Délégation Formation Innovation Expérimentation
Conseillers Académiques Recherche-Développement, Innovation et Expérimentation
http://eduscol.education.fr/cid47240/conseillers-academiques-cardie.html

Déclarer les animateurs d’IREM voisins financés pour des travaux dans un IREM limitrophe (mais dans votre académie), l’année passée des couacs sur des animateurs inconnus...

L’an prochain, il sera possible de mettre des CPC dans la liste. Sans exagérer, car cela fait déjà partie de leur mission.

Bien séparer le tableau des heures globalisées (dans les rectorats, gelées il y a longtemps, souvent transformées en 1IMP=36HSE) et déglobalisées (nationales, variables, décidées par l’ADIREM) pour son rectorat. Bien insister que parfois, il n’y a pas redondance mais que ça s’ajoute pour des missions différentes ! Les heures nationales sont notifiées incessament.

La convention n’est pas signée. Anne relancera la demande au nouveau responsable.
La somme de 20 000€ est annoncée.

Pour le GIS. La convention a été signée par les entrants. Ligne GIS ADIREM dans le budget de l’IREM de Paris. Il y a 7 500€ en caisse, les services centraux de l’université se chargent de récolter les cotisations.
Il est prévu de la reprographie : 500€ et 7000€ en « Colrecmis » (c’est à dire : colloques, réceptions, missions... très large).

Il n’a pas été élaboré de budget prévisionnel. Il serait bon de dégager des lignes pour pouvoir réagir en cours d’année.

François rappelle qu’il a présenté en début d’année un (je cite) « budget prévisionnel rétroactif » qui essayait de ventiler les 30 000€ dans les projets.
L’année dernière, le Séminaire de Blois avait été réglé directement. Il y avait des projets de CII, le CS avec une enveloppe + les événements votés en séance.
Pour cette année, François aimerait que Stéphanie puisse à l’IREM de Lille, traiter les demandes sans avoir à solliciter les infos de la part de 3 ou 4 personnes. François pose la question. Pose... Pause ?
Il affiche l’état liquidatif / masse de ce qui a été dépensé. Ce tableau est discuté. Il est question des règles à instaurer et Anne rappelle les situations difficiles comme celle de l’IREM de Nantes.

L’ADIREM n’a pas vocation à financer les missions de CII, c’est la mission de chaque IREM sauf à titre exceptionnel.

A priori, maxi 2k€ en dehors des invités extérieurs ou exceptionnels aux CII

Pour les invités : a priori une moyenne d’un invité par an par CII. A affiner. On retravaille sur cette question à Besançon, mais dès à présent, nous pouvons accorder à l’IREM de Poitiers les 3000€ demandés.

Les listes sont nettoyées. Sas SSH mis en place sur des machines virtuelles. Le site univ-irem est nécessaire au colloque de Besançon. Sûrement après l’organisation (cet été ?)... Lionel Vaux et JL Maltret ont vraiment la main dessus et devront se coordonner avec Mathrice.

Anne ne sait pas bien ce qu’on peut faire sur ce PIA3.
Il y a plusieurs endroits où de fait nous y participons : en particulier dans le volet soumis par l’ESPE local.
Si l’on examine le texte, il faut faire de la recherche-action, mais dans la concurrence. Pas vraiment notre esprit...
Rq : 1° ce sont des pôles locaux à vocation nationale, voire internationale. 2° ce doit être très interdisciplinaire et pluridisciplinaire.

Question : est-ce que nous, réseau, nous proposons un projet commun ou que nous partons chacun en ordre dispersé ?
Les remontées :
A Nantes, l’IREM fait partie d’un ESPE qui propose un PIA3, donc y est forcément.
A Montpellier/Toulouse, pareil, par association avec l’ESPE, et en association aussi avec les Maisons pour la Science.

L’impression d’Anne : il y a beaucoup de diffusion, mais pas grand chose sur la recherche.
Textes officiels : Les projets devront être portés par une université intégrant une ESPE, ou par une COMUE contenant une ESPE.
Suggestion : c’est pas contradictoire de participer à chacun des projets locaux, tout en étant dans un des grands projets.

Conclusion : il faut investir localement + investir l’ADIREM dans un projet comme celui d’Alsace-Lorraine-Champagne qui porte sur les sciences.

• auditions du CSP
• lettre de l’APMEP et autres actions ?
• Enseignement de l’informatique : point sur les DIU (lien CIII)

Pierre fait le point sur les auditions des diverses Commissions (sauf Epistémo)
Le dernier débat a porté sur la formation des enseignants, un intervenant a présenté la déclinaison suisse des lesson studies.
Pierre est preneur de toute suggestion utile sur les thèmes possible pour un débat futur.

Remarque sur le PIA3 : investissons-nous !

Remarques sur ce qui a été dit à propos de l’IRES de Toulouse : il y a très peu de mathématiciens dans le groupe « Esprit critique », alors que c’est un groupe interdisciplinaire. Dans le cas d’un tel groupe, les matheux semblent ne pas participer.
De même que pour l’enseignement de la culture scientifique, les matheux semblent quasiment exclus au profit des professeurs d’autres disciplines scientifiques.

Intervention de Louise Nyssen et Emmanuel Royer.
Anne précise que Louise travaille avec CT (la moitié de VT) et qu’il s’est tenu un premier comité de pilotage de l’année des maths.
Nous allons être partie prenante (avec label de l’AdM, année des maths), mais il reste à définir comment ?

Présentation d’Emmanuel :
Pourquoi le CNRS a-t-il un partenariat avec l’Education nationale ? La première question est pourquoi pas ? Et la seconde : pourquoi seulement maintenant ?
Le CNRS a créé l’année de la Chimie (en 2018). En particulier dans le rapport VT, Il a été question de rapprocher le monde enseignant de celui de la recherche. Comme on fête par ailleurs les 80 ans du CNRS, ça tombe bien.
L’INSMI a parmi ses missions celles de la diffusion de la science. En outre, une mission de favorisation l’accès des femmes aux professions scientifiques.
L’INSMI a proposé au MEN un partenariat, qui se déroule autour de trois grands moments (+ des journées de formation, auxquelles les IREM sont « plus qu’invités ») :
1° La Grand’messe de signature entre le MENSR et le directeur du CNRS (jeudi 14 mars). Y a été mentionné le concours de vidéo de mathématiques. Point important : engagement du MENSR à inscrire au plan académique de formation tout un ensemble de formations en un seul paquet.
2° A venir : une après-midi organisée à la Sorbonne (le 2 octobre). Public visé : les cadres de l’EN... Les Parisiens... Le point central devrait être d’insister sur la nécessité de la formation permanente des enseignants.
3° Mi-mai 2020 : un grand colloque organisé à Lyon. L’objectif est plutôt de valoriser les enseignants qui ont participé aux journées de formation, avec en point de mire le Grand oral du Bac. CT compte sur les chercheurs et enseignants-chercheurs pour fournir des sujets...
Jouer sur l’image que le CNRS a à l’extérieur pour y faire venir un public nouveau. Win-win entre les labos et les rectorats : de nouveaux chercheur·e·s vers les IREM, de nouveaux enseignant·e·s du secondaire dans les IREM par delà les (déjà trop) motivés ?
Un souci pour Emmanuel : Les labos de maths ne couvrent pas tous les enseignants des lycées.
D’ici 30 ans, à 5/ans, on couvre tout le monde (dixit Pierre, volontiers caustique).

Questions : IdM peut-il être utilisé directement ? Est-ce clair qu’il n’y a pas que l’enseignement comme débouché d’une formation de mathématiques ?

Le plan VT a comme postulat que la formation continue descendante est un modèle en crise. Il faut faire attention que ces « journées de formation » ne soient pas du même acabit !!

Il n’y a plus de candidats pour faire prof. Il n’y a plus de pipeline de formation des enseignants de math. Les M1 n’ont pas forcément fait une licence, 1/3 des M2 ont fait un M1 CAPES, résultat ils n’ont pas forcément le bon bagage (pas tant mathématique que pédagogique). La licence « n’est pas faite pour former des profs de maths ». On rentre rarement en L1 en se disant « je vais être prof », c’est presque un « non-choix ». Il est probable qu’un concours en M2 soit plus professionnel et moins disciplinaire... Attention de ne pas tarir une source importante de vocations par reconversion.

Louise : affiche quelques thèmes pressentis pour l’AdM. Modélisation est le thème central. Avec ou sans programmation, mais aussi SVT, théorie du contrôle, analyse d’images, réseaux de neurones, proba-stats centrales, math et musique, math et art ? assez de sujets intéressants pour le grand oral du bac.

La discussion s’engage sur l’articulation entre les labos, les chercheurs, les formateurs, les formations, etc.

« Le but c’est d’essayer de faire du neuf » dit Emmanuel (parce que « le vieux fonctionne déjà bien » :-) ) : trouver de nouveaux formateurs, notamment chez les chercheurs, trouver des nouveaux collègues pour les labomaths, créer/renforcer des liens entre universitaires et labomaths, etc.

Mon (Christian) expérience à Lyon : les collègues savent faire du pyramidal descendant, leur demander de faire du groupe, de s’adapter, c’est vraiment difficile... Gérer un groupe ça demande beaucoup d’efforts... Je (Pierre) plussoie.

Il faudrait un format qui permette aux enseignants du secondaire de demander une intervention sur un sujet qu’ils définissent.

Anne tire la sonnette d’alarme : un rectorat pourrait, pour amener les formations dans les labos, supprimer les formations IREM actuelles, ou simplement leur enlever les moyens.

À public désigné : les collègues y vont à reculons, déjà persuadés que ce qu’ils vont y trouver ne va pas correspondre à leurs attentes. C’est différent si ce sont les gens qui participent déjà aux labos ou en partenariat avec les IPR... Le principe du labo est de faire définir le sujet par les enseignants stagiaires eux-même.

À Amiens, Isabelle Gallagher a animé un stage extrêmement ouvert qui a fait le plein... (tout le monde n’est pas IG, je veux dire Isabelle ;-) ) :
Maths sous tous les angles

Il faut que les stages soient ouverts sur la base du volontariat.

Attention (Anne) : soyons vigilants, il faut lier les contenus de ce que nous proposons au plan VT et aux labos de mathématiques pour tirer parti de la dynamique, sans en être exclu.

Proposer à des chercheurs des UMR de participer à un stage IREM existant (en précisant que c’est dans le cadre de l’année des maths).

L’Année des Mathématiques ne sera pas totalement équivalente à l’Année de la Chimie. Anne demande que tous les IREM s’impliquent (qu’il n’y ait pas que des actions à Paris ou à Lyon) et que nous communiquions à ce sujet.

Rq : l’ouverture de l’Année sera parisienne, mais elle sera vidéodiffusée en direct, ou en tout cas filmée. Pour le colloque de Lyon, il sera possible de faire des propositions (centrées autour des actions de formation des animateurs des labos de maths, ou des actions de popularisation).

CR réunion du copil Lyon février
• Organisation de la journée de formation
• Création du livret de l’année des maths
•Tour de table des actions envisagées/envisageables
•Le point sur les labos-maths

Je n’entends pas ce que dit Louise Nyssen ? Vous pouvez résumer la discussion ?

PIA3 Investissements d’Avenir

Lille Amiens Rouen Caen. Anne Cortella : pas contradictoire de participer à des projets locaux mais mettre en place un gros projet au niveau de l’ADIREM. Le président du R-ESPE (lire « respect », novlangue pour dire ce qu’on n’obtient pas ?) ne sait même pas quelles ESPE vont déposer ou participer à un projet...

Possible que ce soit « à moustache » : seuls 4 ou 5 projets en fait déjà connus. Ne pas perdre son temps à déposer quoi que ce soit ? Pierre : c’est de la novlangue facile à écrire pour ceux qui savent la pisser, un dédale de portes ouvertes à enfoncer, bien au delà de la didactique.

Tour de table (dans le sens horaire) :
Jean-Yves Brua (Rouen)
Chantal Menini (Bordeaux),
Fabien Emprin (Reims),
Michèle Gandit (Grenoble),
André Stef (Lorraine),
Philippe Le Borgne (Besançon),
Dominique Tournès (La Réunion),
Mohamed Atlagh (Strasbourg),
Bénédicte de Bonneval (directrice de l’IRES de Toulouse),
André Sesboüé (Caen),
Malika More (Clermont-Ferrand),
Olivier Guès (Marseille),
Christophe Hache (Paris),
Anne Cortella (Montpellier),
Stéphane Vinatier (Limoges),
Frédéric Métin (Dijon),

Excusés :
François Recher (Lille),
Elise Janvresse (Amiens),
Sylviane Schwer (Paris Nord),
Youssef Barkatou (Poitiers),
Christian Mercat (Lyon) (en ligne)

Le compte rendu est approuvé à l’unanimité des présents le mardi 19.

Convention 3 ans DGESco-DGESIP-ADIREM : annexes séparées heures DGESco, finances DGESIP
Appel d’offre pour reprendre les tâches dont s’est occupée Chantal jusqu’à maintenant.
Jean-Yves Brua accepte de s’occuper des heures DGESCO.
Pour être présent à la CFEM : la Présidente et le Vice-Président y participent de droit. Deux autres personnes sont sollicitées , la prochaine réunion ayant lieu le 13 juin. Philippe Le Borgne se porte volontaire.

Listes et site : pouvez-vous, s’il vous plaît me donner le courriel de Célia Jean-Alexis pour l’inscrire ? Merci. Anne te l’enverra, mais elle a fermé son ordi

16 et 17 septembre 2019 ;
13 et 14 décembre 2019 ; Mais on s’engage à communiquer bien avant à propos des heures DGESCO
23 et 24 mars 2020 (juste après la semaine des maths)
Jeudi 28 mai 2020 : matinée agrandie

La DGESCO serait a priori partante pour CORFEM et COPIRELEM.

• Colloque DNL Clermont-Ferrand (acté en mars 2018)
  Toujours OK. Malika note cependant qu’il y a peu de groupes DNL dans les IREM (Maths-monde, Erasmus, Maths en anglais...)
  L’IREM de Clermont vise 3 demi-journées pour une soixantaine de personnes : va-t-on adosser l’ADIREM à ce colloque ?
  Christophe H cite une recherche actuelle en lien avec le FLE. SV suggère d’élargir le thème et d’inviter la commission internationale.
  A la Réunion, Dominique signale de nombreux travaux sur le sujet (y compris les mathématiques en chinois)
  Christophe : maths en breton.
  Le thème math et langage est récurrent comme intérêt dans le télé-séminaire international ronflant des IREM qui ne décolle pas... Avec l’arabisation au Maghreb, les langues nationales un peu partout en Afrique.
  À Lyon, on a un groupe DNL mais il a fait le tour de la question et est en phase de se dissoudre. On a déjà fait un tour de table en ADIREM si je ne m’abuse. C’est la volonté et la force de participer à une CII, monter à Paris, tout ça, ça fatigue. Fabrice est encore plus discret que Christophe !
  Bénédicte cite Roméo Hatchi comme conférencier possible sur les mathématiques en langue des signes.
  Titre potentiel : « Mathématiques et langues, DiLE et autres dispositifs ».
  Dates : plutôt fin mai ? Les mardi 26 et mercredi 27 mai
  A proposer au PNF ?
  D’où l’ADIREM le 28 mai 2020

• Proposition CII TICE +CIII Marseille
  Pascal Padilla a écrit à Anne à ce sujet. Anne lit son courriel.
  Malika nous informe que la C3I envisage un colloque en 2021. Ils se voient en fin de semaine et nous aurons d’autres infos.
  Nous actons donc : Marseille pour la CII TICE en 2020, et la C3I se place dans les starting blocks pour 2021, voire 2022 (reste à trouver où).

• CORFEM Strasbourg
  Mohamed est d’accord, mais rappelle que la COPIRELEM pourrait aussi avoir lieu à Strasbourg, donc il serait judicieux que le colloque de la CORFEM ait lieu ailleurs. Christophe propose de demander à Renaud Chorlay.

• COPIRELEM. 
  Strasbourg est aussi candidat. on attend la réponse de Richard Cabassut la semaine prochaine. Mais Anne et Stéphane suggèrent que Strasbourg organise plutôt exclusivement le colloque de la CORFEM. 

On a eu une discussion intéressante dans notre « espe du futur » sur les relations recherche et formation. Les IREM se revendiquent comme nourissant un terreau de formateurs, assurant un continuum entre enseignement, formation, formation de formateurs, recherche-action, recherche en pédagogie, en didactique. C’est aussi un argument fort du rapport VT, les IREM participent à « repyramider » les cadres du MEN en assurant des reprises d’études des inspecteurs, masters didactique et jusqu’à thèse.

• CII lycée ?
  Non encore acté, mais Christelle Fitamant et Christophe Cuny ont confirmé que cela pourrait se passer à Brest. Cependant, Chantal rappelle que fin janvier aura lieu à Brest la rencontre itinérante des CII Lycée et Université.
  SV suggère qu’on attende plutôt 2021 pour un colloque Lycée.
  Des avions arrivent à Brest, pas à Besançon ? L’Europe en Easyjet, c’est pour une autre planète (slogan entendu ce WE à la manif pour le climat ;-) )

Quel colloque proposer au PNF si on nous demande notre avis ? CORFEM, COPIRELEM, DNL et TICE.

• Formation initiale
  SV rend compte des réponses au formulaire. Environ 400 réponses pour les M1 PE.
  Il y a deux ans, à la DGESIP, le pourcentage avait été considéré faible, mais normal.
  La date limite est repoussée à fin mars.
  La DGESIP a proposé d’inclure une question ouverte en fin de questionnaire.
  Il y a d’intéressantes pistes données par les formateurs (161 ont participé)
  Fabien signale qu’à Reims, il ne peut pas contacter les PFA directement
  Quelques réponses analysées : les ressources citées ne sont pas forcément facilement accessibles ; il y a aussi multiplicité des ressources.
  Les M1 PE connaissent très peu les IREM.
  Dans les suggestions des formateurs : organiser une présentation de l’IREM en début d’année.

• Questionnaire à clôturer et dépouiller
• CR du rendez-vous DEPP

• Formation continue
  Sur la formation continue, il faudrait aussi faire des évaluations, mais c’est un peu moins important car ce n’est pas la degesco qui donne le budget. On avait envisagé de faire un questionnaire pour tous les stagiaires pour montrer qu’on essaye de s’évaluer.
  Anne et Stéphane sont allés voir Franck Salles(Depp, direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance, MEN), Bureau de l’évaluation des élèves. il a à sa disposition les évaluations nationales des élèves où il peut faire des extractions. Public témoin + classes qui nous intéressent cf dispositif Brigitte Grugeon. Quoi tester avec les élèves sur ces évaluations ?
  Le service de M. Salles peut fournir des questionnaires types, mais le travail d’analyse est trop important pour lui. André S. signale que ses étudiants de Master Stats cherchent des thèmes de projet (à condition que les analyses puissent être différées d’une année par rapport à la remontée des données). C’est une énorme mine d’or mais ça demande énormément de travail, par exemple des sujets de thèse ou de master.
  Anne décrit le projet RESCO de son Académie (Résolution coopérative de problèmes).
  En ce qui concerne l’évaluation, nous pourrions même nous attacher aux divers Rallyes, mais SV trouve que ce n’est pas une si bonne idée. Franck Salles propose de nous servir des évaluations nationales (tests d’entrée) pour créer un test de sortie qui mesurerait l’impact de la formation.
  On peut essayer de proposer un sujet de thèse en didactique des maths sur ce thème.
  Fabien rappelle qu’une thèse a été déjà menée sur ces questions d’impact.
  D’ailleurs, puisqu’on parle de Maths C2+, Michèle demande ce qu’il en est de l’organisation dans les Académies. Car c’est une action encadrée par les IREM, même si c’est sur sollicitation du MEN.
  Fabien : pourquoi ne pas s’orienter vers des analyses qualitatives ? Par exemple des entretiens avec les professionnels.
  Michèle : rappelle le mail d’Anne sur le développement professionnel des animateurs IREM. Anne repose la question du vécu IREM des formateurs ESPE et des IA-IPR.
  Dominique suggère de demander un budget du PIA3 pour financer un doctorat à ce sujet.
  La DGESco financerait peut-être une thèse CIFRE sur ce sujet ? Nous avions posé la question avec Charles Torossian sur le suivi du rapport VT, ça a semblé intéressant mais personne n’est vraiment monté au créneau pour défendre la chose... J’étais intéressé mais je suis trop la tête sous l’eau (Christian M de Lyon). Il faut effectivement un·e direct·eur·rice avant toute chose. Brigitte Grugeon ? Jana Trgalová ? Cécile Ouvrier-Buffet ? Viviane Durand-Guerrier ? Fabien Emprin (pas encore HDR) ? Bien-sûr Fabrice Vandebrouck et Christophe Hache mais ils sont présents. Faire un appel sur l’ARDM ?
  Sophie Genelot à l’IREDU de Dijon ?
  Annne nous propopse de sonder les personnes auxquelles nous pensons (pertinence d’un projet CIFRE + possibilité de l’encadrer)

SV : projet peu avancé. Quelques réponses cependant en ce qui concerne le design. La question des images se pose (mais n’a pas de réponse pour l’instant). Des questions plus urgentes ont occupé SV jusqu’à présent (esp. le formulaire).
Mais l’audition de la CII didactique lors du dernier CS a montré que les pages des Commissions ne sont pas à jour.
Cela pose la question de ce qui est à afficher sur le site.
Est-il utile d’avoir une page par CII ?

Jean-Yves avait une demande de ses animateurs : mettre à disposition sur le site les brochures IREM.

Avec SPIP, on peut rajouter des liens virtuels pour « remonter » un article ou une rubrique profonde, peut-être momentanément pour le mettre en valeur. La question est effectivement l’appropriation par les CII de l’outil. Si c’est juste mettre des PDF en ligne, ce n’est pas vivant, c’est sûr...

Oui, le squelette SPIP devrait être mis à jour et nettoyé de ce qui n’a pas résisté aux patchs de sécurité mis en place après notre piratage... Personne ne s’est repenché sur la récupération du mot de passe et tout un tas de petits trucs comme ça...

Olivier suggère une site allégé, clairement à destination du grand public, faisant la part belle aux actualités et aux publications récentes.
Anne a la main sur le site pour corriger quelques éléments, par exemple supprimer un article. Elle nous encourage à la contacter chaque fois que nous remarquons quelque chose à modifier.

On doit faire le dossier pour le 31 mai. Ce n’est pas simple, il faut fournir pas mal de données statistiques (nombre de brochures...)
Trois problèmes subsistent :
1° l’ancien dossier pointait vers des pages du site. Il faudrait les enlever et les remplacer par des informations plus structurées.*
2° Le dossier demande des infos sur les personnes qui participent à l’action. Il faut des CV de quelques personnes (8) représentatives du réseau. Il faut donc changer maintenant, ne serait-ce que parce qu’il y a pas mal de retraités (pas 4 sur les 8). Il y avait : Michèle Artigue, Evelyne Barbin, François Moussavou, Catherine Tavaux, etc.
Il faut laisser Michèle (car elle est l’une des référentes du dossier), mais pas une deuxième émérite. Anne suggère donc d’avancer le CV de Dominique Tournès comme épistémologue. Michèle Bechler serait remplacée par Hombeline Languereau. Yves Ducel (Repères) ne semble pas sur le point de partir à la retraite. Michel Henry est trop Bisontin et nous fait dépasser le quota de Franc-Comtois. Anne pensait remplacer son nom par celui de Christian Mercat.
Christian : c’est juste pour ton CV
SV dit : On peut mettre les deux
Propositions de Fabrice. Mais il y a déjà Michèle comme Parisienne.
François Moussavou reste ; Vincent Paillet aussi.
Je suis d’acc c’est bien de mettre des femmes !
Maëlle Jouran ? <— oui !
Ajouter un neuvième nom, responsable d’un IREM étranger ? Ou alors Katalin Gosztonyi ?
A décider.

A qui demande-t-on une lettre de soutien ? Un collègue africain ? Kathleen Clarke ? Quelqu’un en vue nationalement et connu des membres d’ICME. Michela Maschietto ? michela.maschietto@unimore.it
Moustapha Sokhna ?
Demander à Christian Mauduit et ses contacts brésiliens ? Pluvinage Mexique. Je connais pas mal le directeur du Cinvestav lmorenoarmella@gmail.com mais Pluvinage peut-être mieux ? Paul Drijvers p.drijvers@uu.nl a organisé CERME à Utrecht et nous connait très bien.

Mise à jour du site indispensable par les CII

Demande de lettres

• Lisbonne février 2020
  Une étude de ICMI se déroule à Lisbonne en février 2020.
  Pour le panel, il faut des gens forcément enseignant dans le primaire ou le secondaire.
  Nous avons des candidats mais avec quelques défauts : peu de collègues parlant bien l’anglais en particulier.
  Blandine Masselin (Rouen, professeur de collège, thésarde) y va déjà pour une communication
  Géraldine Mastrot (Grenoble, PE, membre du comité de rédaction de Grand N) avec Marie-Caroline Crozet comme support.
  Olivier Garrigue (Marseille) mais peu à l’aise avec l’anglais.
  Plus Christelle Fitamant, responsable de CII.
  Anne propose d’envoyer plutôt Christelle, en tant que responsable de Commission. Nous entérinons.
  D’autres personnes seront bienvenues, l’ADIREM peut éventuellement participer aux frais de déplacement.
  (peut-on mettre à contribution les DNL si la langue est une question cruciale ?)

• Shangaï ICME 14
  Chantal, suite au bureau de la CFEM. Présentation nationale, Edwige s’occupe de l’introduction ; les évolutions curriculaires récentes (Pierre Arnoux) ; « l’aventure des IREM » : Edwige demande quelqu’un.
  Il y a aussi des stands. Les exposés ne durent pas plus de 20 minutes.
  Une première version devrait être fournie pour tout début septembre.
  Après le colloque du Cinquantenaire et le dossier de la médaille Castelnuovo, il faudrait quelqu’un pour l’ADIREM + un article pour le bulletin de la CFEM. Anne fera la présentation.
  Moi (Christian) j’irai à Shanghaï. Mais d’ici là j’espère ne plus être directeur...
  L’article pour le Bulletin de la CFEM sera préparé par Philippe.

• IREM/ Académie des Sciences/ La Main à la pâte
  Nous avons fait en décembre un colloque avec LAMAP à la fondation Del Ducca, avec surtout des Parisiens, mais pas que.
  Des gens de l’Académie des Sciences étaient présents et ont entendu que ce n’était pas si simple d’enseigner les mathématiques, qu’il fallait travailler en équipe.
  Ce qu’a demandé LAMAP : participer aux journées des animateurs de LAMAP en avril. Du 3 au 5 avril à Sèvres, cela risque d’être repoussé. Anne aurait préféré que la COPIRELEM propose les intervenants.

• Suites du colloque à la fondation Del Lucca : quelles actions communes ?
  Anne propose qu’il y ait une journée annuelle. Rien n’est décidé.
  Mais LAMAP pourrait être un endroit qui nous permettrait de diffuser les ressources. Ils pourraient les réinvestir pour les formations, à conditions qu’ils nous citent.
  Bénédicte rappelle qu’à l’origine, il n’y avait pas du tout de mathématiques dans les Maisons pour la Science.
  Ce qu’on nous propose c’est surtout pour le primaire. Faire remonter un nombre de ressources sur le premier degré. Sans oublier de faire estampiller nos ressources.
  Selon Anne, leurs plateformes sont quand même pas mal suivies, nous devrions en profiter.
  Faire suivre les propositons à Anne et Valentina Celli.
  Rq de SV : Pierre Esseyric a trouvé que c’était une excellent idée mais que c’est un énorme travail.

• Réunion Académie des Sciences du 5 mars : vers des ressources communes avec l’Académie des sciences
  SV a participé à cette réunion du 5 mars.
  L’AdS s’inquiète de l’enseignement scientifique futur, presque sans mathématiques et sans informatique. Elle veut aider les enseignants à prendre en charge ce nouveau programme. Elle souhaite donc avoir des contacts avec des enseignants, et avait par conséquent invité le GIS, auquel participe l’ADIREM. Aviva en faisant partie, elle a transmis l’invitation
  Ce qui intéresse l’AdS, c’est d’avoir un regard d’enseignants sur ce que vont produire les Académiciens, esp. des vidéos d’une dizaine de minutes.
  SV a défendu les IREM dans cette réunion, mais c’était une réunion très ponctuelle.
  Charles Torossian étant arrivé avant la fin de la réunion, il a été interrogé férocement par les membres présents.
  NB : Bénédicte nous informe que Cédric Villani refuse maintenant toute invitation.
  Denis Gardes était présent pour le GIS, et il y avait aussi des gens de la C3I.

Discussion.

Infos d’Anne : audition du CSP avec l’APMEP et la CFEM. Edwige va assister à ce qui concerne les maths et l’info, y compris dans les filières technos, elle se fait accompagner à chaque fois d’une personne. Cela commence la semaine prochaine.
Si vous avez des choses à dire sur ce que vous avez vu dans les programmes, prévenez Edwige, car il y a des auditions du CSP sur les programmes

En ce qui concerne le projet éventuel de maths complémentaires en Première : il vaudrait mieux qu’il y ait deux types de choix. Alice pensait qu’il serait mieux d’avoir quelque chose dans le fil de ce qui se faisait en L avant (maths d’ouverture)
Un combat de l’APMEP : sanctuariser les heures d’option maths dans les lycées, alors qu’on craint que les lycées fassent un peu ce qu’ils veulent dans la DHG.
NB : Car des changement sont envisageables l’année prochaine (un réajustement)

Sur le site de l’APMEP, compte-rendu de la rencontre d’Alice avec Vincent Stanek, conseiller du Ministre (https://www.apmep.fr/Compte-rendu-de-la-rencontre-avec,8355)

Enseignement de l’informatique, le point sur les DIU : des actions de formation des profs de maths (et des enseignants en général) pour l’informatique sont créées. A ne pas confondre avec les formations rectorales pour les enseignements de seconde.

A Caen, la constitution du DIU est actée, elle va commencer le 4 avril à Strasbourg ; à Clermont, ce n’est pas signé mais la formation a commencé en décembre.
Olivier note que le DIU se fait à marche forcée. Pas sûr que ce soit pérenne.

Avec l’ouverture du CAPES d’informatique, quels formateurs resteront ?

A Montpellier, des collègues de maths ne veulent pas devenir définitivement profs d’info.

A Clermont, c’est la raison pour laquelle certains profs d’ISN ont refusé de s’engager.

L’ordre du jour étant épuisé, la réunion se termine à 12h35.

Ok au revoir tout le monde alors :-)