CR ADIREM 07 décembre 2018

mardi 22 janvier 2019
par  Métin, Frédéric, Recher, François
popularité : 49%

Vendredi 7 - Université Paris Diderot - SG 2018 de 14h à 19h

Présents/excusés

Présents

  • Edwige Godlewski (CFEM),
  • Pierre Arnoux (Comité Scientifique),
  • Marie-Pierre Galisson, Ana Mesquita, Fabrice Vandebrouck (groupe GREMA).

Excusés

Vendredi 07 décembre de 14h à 19h : réunion plénière de l’ADIREM

Tour de table (dans le sens horaire) :
Stéphane Vinatier (Limoges),
Hussein Sabra (Reims),
Fabien Emprin (Reims),
Pierre Arnoux (Comité Scientifique),
Anne Cortella (Montpellier),
André Sesboüé (Caen)
Christophe Cuny (Brest),
Sylviane Schwer (Paris Nord),
Michèle Gandit (Grenoble),
Thierry Antoine Santoni (Corse)
Bastien Poggi (Corse)
Chantal Menini (Bordeaux),
Malika More (Clermont-Ferrand),
André Stef (Lorraine),
Edwige Godlewski (CFEM),
Youssef Barkatou (Poitiers),
Mohamed Atlagh (Strasbourg),
Christophe Hache (Paris),
François Recher (Lille),
Frédéric Métin (Dijon),

Bernadette Denys (fondatrice de GREMA)
Ana Lobo De Mesquita (IREM de Paris)
Marie-Pierre Galisson (IREM de Paris)

Louise Nyssen (SMF)

Vendredi 07 décembre 2018 - Université Paris Diderot - SG 2018 de 14h à 19h

Accueil des porteurs du projet de l’IRES de Corse

Thierry ANTOINE SANTONI (MCF 27e), Vice-Président Innovation Numérique de l’Université de Corse et Bastien POGGI (MCF 27e), Responsable pédagogique du parcours MEEF 2nd degré Mathématiques option informatique et C2i2e de l’ESPE de Corse.

Stéphane présente le nouveau projet d’IRES de Corse et rappelle son histoire. Le principe des IRES est soutenu par la DGESCO.
Bastien Poggi propose un diaporama que lui et Thierry-Antoine Santoni vont commenter.
Thierry-Antoine se présente comme représentant de la présidence de l’université.
Voir le diaporama joint.
Thiery-Antoine dresse le portrait de l’université de Corse, avec des rappels historiques. Parmi les premières filières à la réouverture en 1981 figuraient les mathématiques. Descriptif de la structure pédagogique, de la recherche (une UMR Sciences de l’ingénieur pour l’environnement, une UMR Sciences humaines), de la formation des enseignants (ESPE). Bastien décrit les locaux et le fonctionnement de l’ESPE, ainsi que la recherche dans cette École.
Rappel de l’historique de la création de l’IREM/IRES de Corse. Philosophie générale du projet (principalement le site d’Ajaccio).
Missions : contribuer au rayonnement de l’université (UCPP) dans la région et sur le continent. Spécificités : plurilinguisme, mathématiques, numérique. Favoriser les supports multimedia.
RH : il n’y a pas assez d’effectif de chercheurs pour se contenter d’un IREM, c’est la raison pour laquelle les porteurs du projet se sont dirigés vers un IRES. Les autres personnes concernées dans l’université : universitaires des autres sciences et techniques, formateurs ESPE, autres intervenants ponctuels. C’est foncièrement multidisciplinaire, « autant SHS que sciences dures ».
Ressources matérielles : 3 sites géographiques, matériel informatique à foison, potager pédagogique, 3 laboratoires de langues, traduits par plusieurs pôles : une labschool, un centre de ressources, un centre de production de capsules vidéo, un centre d’immersion pour le plurilinguisme.
Il y a donc nombre de structures.
Plateformes disponibles : énergies renouvelables + Stellamar (biologie et numérique), deux outils à disposition.
Un axe complémentaire : inclusion des personnes en situation de handicap.
Projet sur Ajaccio de partager des locaux avec Canopé.
Coopération internationale : Sardaigne, Espagne, etc.
Événements : Journée du Patrimoine, Fête de la Science, Journée de la laïcité, séminaires thématiques, Journées des arts et de la Culture dans l’Enseignement Supérieur (Arts et culture, Avril), Forum Innovation, Fête de la langue, Forum des mathématiques. Bastien prend note de l’existence de la Semaine des mathématiques en mars, l’IRES de Corse n’a pas encore de projet pour cette semaine.
Description des projets en cours et discussion.
Question de Christophe : interactions avec les chercheurs ? Thierry-Antoine répond sur le point de vue méthodologique (entre enseignants du secondaire - y compris anciens doctorants de l’UCPP et enseignat-chercheur de l’UCPP).

Question d’Anne : temporalité des groupes ? Discussion.

Question de Michèle : liens avec l’ESPE ? Car l’IRES est dans l’ESPE en Corse.

Question de Christophe : côté inter-individuel des recherches (un chercheur, un enseignant, une classe). Discussion.

Question de Mohamed : pourquoi l’intitulé Intitut de Recherche en ES ? Thierry-Antoine répond que cela sera changé.

Mohamed propose d’offrir (sauf le port) des ouvrages pour la bibliothèque de l’IRES de Corse. Les autres directeurs/trices approuvent et proposent la même chose.

Question presque finale : la nomination du directeur, après approbation par l’ADIREM. Nous verrons cela en mars 2019.

Qustion de Christophe : à propos des autres sciences et des IRES : y a-t-il des groupes IREM sans matheux ? Pourquoi l’ADIREM s’appelle-t-elle encore comme ça ?
Autre actualité de l’université de Paris : fusion entre Paris 5 et Paris 7, (Paris 7 disparaîtra dans un an). La future université de Paris sera composée de facultés. Que sera l’IREM dans cette nouvelle université ?

La question du nom avait été posée par Stéphane, mais nous n’avions pas voulu nous en emparer. Stéphane la laisse en suspens.

Après avoir écouté la présentation du projet très avancé d’IRES de Corse, l’ADIREM apporte son plein soutien à la création de l’institut et attend les propositions de candidatures à la fonction de direction de cet institut.
Approbation à l’unanimité

Accueil des nouveaux directeurs, renouvellements

IREM de Reims

Intervention de Fabien Emprin : présentation par Hussein Sabra.
Hussein avait été nommé administrateur provisoire jusqu’en décembre 2018.
Le CA a émis un avis favorable à la candidature de Fabien Emprin à la direction de l’IREM. Le CA de l’université de Reims Champagne Ardennes se réunira le 12 décembre 2018.

Hussein présente Fabien (MCF à l’ESPE et au CEREP, membre actif de l’IREM de Reims).

Fabien se présente en détail.
Il est depuis 1996 à l’IREM de Reims. Responsable de Rallyes. Administrateur provisoire de l’IREM entre 2003 et 2006. Il a donc des connaissances des structures locale et nationale.
Projet : IREM avec une grosse activité sur la vulgarisation et les rallyes - transition lycée université et également premier degré ; aller vers la valorisation du travail, car manque de visibilité ; Fabien est chargé de mission pour le mise en oeuvre du plan Villani-Torossian dans l’académie.
Le travail en recherche de Fabien porte sur le premier degré : rapprochement récent avec l’IREM. Proximité en terme de formation avec un IFSI et une école d’ingénieur : enseignements de mathématiques par des non mathématiciens. Intérêt de ces structures pour épauler ces collègues.
En ce qui concerne la mise en route, Hussein assurera le tuilage.
Fabien a commencé comme PRCE et est maintenant MCF en didactique. Simulateur informatique de classe et analyse de pratiques. Ingénierie pédagogique pour le premier degré. Conférencier à Blois.

Stéphane rappelle que la question de la diffusion des travaux des IREM sera posée au Colloque du Cinquantenaire à Besançon.

La candidature de Fabien Emprin est approuvée à l’unanimité.

Remarque d’Anne : tous les départs de directeurs/trices d’IREM occasionnent des candidatures masculines, ce qui pose problème... Mais Chantal signale que ce n’est pas le cas à Toulouse.

Situations locales

IREM de Toulouse
Xavier Buff est sur le point de trouver une successeure.

IREM de Guyane
Le président de l’université prétend que l’IREM ne peut y être créé que par le Ministère, mais Stéphane a prévenu que ce n’était pas le cas : il « suffira » que des moyens soient alloués (et Anne précise que l’académie de Guyane devra s’impliquer).

IREM de Nice
Il ne restera plus qu’une académie sans IREM : Nice.
L’APMEP Marseille-Nice (plus particulièrement Sylvain ETIENNE, co-responsable Régionale APMEP, professeur à Antibes) aimerait beaucoup qu’un IREM soit recréé à Nice, mais la situation semble un peu bloquée sur place.

Compte-rendu du Comité Scientifique des IREM

Pierre Arnoux décrit le fonctionnement du Comité Scientifique, les comptes rendus étant publiés sur le site.
Il rappelle qu’il y a 20 ans, les débats portaient sur la manière d’introduire l’exponentielle. Cela a changé aujourd’hui, pour atteindre un niveau plus global.
Pierre déclare que le Comité Scientifiue est preneur de retours de la part de l’ADIREM.
Composition : 20 personnes (actuellement 19, suite au départ de Catherine Houdement, il nous reste à désigner la 20e), dont des représentants des disciplines extérieures (SVT, ...) et les divers niveaux d’enseignement.
Le Comité Scientifique a tenu 4 réunions depuis l’année dernière :

06 octobre 2017 : les publications des IREM (Repères, Publimath) qui sont en situation de crise du fait du passage de l’édition papier à l’édition électronique. Question sous-jacente de modèle économique. Suggestion pour la numérisation : signaler aux utilisateurs de demander la numérisation.

19 janvier 2018 : extension des IREM à d’autres sciences. Stéhpane rappelle la provocation d’Aurélien Alvarez évoquée lors d’une dernière réunion de l’ADIREM. Le débat au Comité Sscientifique avait montré le grand intérêt de cette extension, en particulier en ce qui concerne l’informatique.

01 juin 2018 et 19 octobre 2018 : deux séances sur les programmes de lycée. Le 1er juin, il y avait eu dans la salle plusieurs membres du CSP, ainsi que d’autres personnes hautement intéressées par la question. Le GIS (groupement interdisciplinaire Sciences) a fortement (involontairement) contribué à la réflexion sur les nouveaux programmes, ce qui a débouché sur la seconde réunion, le 19 octobre. Importance d’un retour en mathématiques avec des interlocuteurs structurés.

Deux autres rencontres prévues :

  • 15 février 2019 : CII didactique et CII épistémologie : formation continue des enseignants du secondaire ;
  • pendant le séminaire ADIREM du cinquantenaire des IREM le 09 mai 2019 : les laboratoires de mathématiques. Proposition d’inviter Charles Torossian et Cédric Villani, également Louise Nyssen.

Pierre donne des informations sur la préparation des nouveaux programmes de mathématiques dans d’autres pays du monde (Japon, Costa-Rica). Une étude ICMI est actuellement en cours et sera publiée pour le prochain congrès (Shangaï, 2020).

Reprise du débat sur les publications. Idée : séries à l’intérieur de Repères-IREM (c.f. Académie des Sciences). Il faut y réfléchir en amont. Peut-être commencer par des numéros spéciaux avec des personnes compétentes dans le comité Repères...

Élection du nouveau membre

Profil recherché : « bonne connaissance de l’enseignement des mathématiques dans le premier degré ».
Certains candidats ont fourni peu de références.
Quatre candidats :

  • Katia Odiot (ESPE Paris)
  • Franck Junquas (Professeur en collège à Rouen)
  • Richard Cabassut (MCF Strasbourg)
  • Sophie Soury-Lavergne (ESPE Grenoble-Alpes détachée à l’IFÉ de Lyon)

Sophie Soury-Lavergne est élue à l’unanimité.

GREMA

Accueil de Bernadette Denys, Ana Mesquita et Marie-Pierre Galisson.

Présentation des actions proposées à Brazzaville. Participation à EMF.

Depuis l’an dernier, nouveaux membres de l’équipe qui résident en Afrique. Réunion à distance tous les mois. Difficulté de se réunir à 15 à chaque fois.
Participation au projet PrénumAC, emblématique du groupe GREMA (avec Jean-Baptiste Lagrange, membre du LDAR, en associant l’ENS de Yaoundé et celui de Brazzaville) : ce projet a abouti à la production de ressources numériques pour les enseignants de classes scientifiques. Réflexion sur les programmes et leurs évolutions. Diffusion de ressources numériques. À Brazzaville, le projet continue. Contributions pour différents colloques (dont EMF).
Le groupe a reconnu de gros manques sur la connaissance des programmes, ils ont découvert que dans la francophonie les programmes sont dans la veine des programmes français de 1995.
Des rencontres ont été organisées au Cameroun et à Paris (avec des étudiants), mais il en sort assez peu de choses pour l’instant.
La lettre du GREMA est maintenant envoyée à tous les membres de l’ADIREM. Ana présente brièvement cette publication (rubriques, courriers, périodicité, documents diffusés par la liste). La Lettre a beaucoup de nouveaux lecteurs.

Les membres du GREMA ont réfléchi à la création d’une CII. Ils se sont demandés d’abord s’ils étaient prêts à abandonner GREMA pour une CII, par conséquent il y aurait pour l’année 2019 une formule intermédiaire : rencontre avec des représentants des divers IREM intéressés par une collaboration internationale. Créer d’autres formes de relations ? Créer des structures analogues aux IREM dans les pays étrangers ? Réfléchir à des situations favorisant les rencontres entre mathématiciens et enseignants. A cet égard, la création des laboratoires de mathématiques sont une piste, ainsi que les clubs de mathématiques.
Favoriser l’émergence de projets + chercher des occasions de collaboration + faire l’état des lieux dans différents groupes IREM avant la rencontre.

Stéphane indique que l’idée d’une nouvelle CII vient des IREM, et qu’il est normal que GREMA n’ait pas envie de disparaître. Il suggère d’intégrer les collègues étrangers volontaires dans cette nouvelle CII plutôt que dans GREMA. Mais il n’y a rien de coercitif, le groupe reste maître de son avenir.

Christophe intervient en rappelant que GREMA est de l’IREM de Paris, de fait, mais qu’il a une envergure nationale. Pourquoi les autres IREM que Paris ne participeraient pas à l’organisation de la journée internationale de l’ADIREM ? La CII internationale n’a pourtant pas fait disparaître le GREMA.
Bernadette répond que quoi qu’il en soit GREMA n’est pas prêt à devenir une CII.

Anne demande si les autres IREM ont la possibilité d’entretenir un groupe travaillant à ce niveau. Pour ce type de CII qui est proposée, y a-t-il vraiment besoin d’implantation locale ?

Conclusion : chaque IREM doit mener une réflexion sur les relations internationales. Le GREMA pourra ainsi travailler sur la prochaine étape de son projet.

Discussion à ce propos. Une présentation à la Journée des CII du 8 décembre 2018 est proposée.

Compte rendu de l’ADIREM de septembre 2018


Adopté à l’unanimité.

Finalisation de la répartition des heures DGESCO


APN = Actions à pilotage national
Intervention de Chantal qui présente le fichier finalisé : après sa demande de « rabotage », les heures qui restent ont été réparties entre l’Auvergne et la Franche-Comté.
Effet collatéral du basculement de l’informatique sur autres sciences : « il a fallu dégraisser les moyens autres sciences », et Chantal a remis un peu de moyens sur deux IREM qui avaient beaucoup contribué (Paris et Toulouse).
Les CPC ont été mis à zéro (interrogations sur la possibilité de les payer).
Amiens et Nouméa restent sanctuarisés (car ces IREM sont en cours de reconstitution).
Il est possible de transférer les heures d’un animateur n’ayant pas pu participer, mais cela doit se faire avant les certificats de service fait.
Anne et Michèle remarquent que certains animateurs n’ont pas encore reçu leurs heures.
Stéphane va rédiger très prochainement les annexes de la convention 2019 et l’envoyer à la DGESCO.

Compte-rendu de la réunion avec la DGESIP


Laurent Regnier, de la DGESIP, a participé aux réunions et vérifié que notre rapport comprenait l’enquête nationale auprès des collègues et des étudiants en formation initiale.

Cette année, nous ouvrirons l’enquête au mois de février.
Discussion sur la valorisation des publications IREM auprès des étudiants de l’IREM.
Débat sur la diffusion des ouvrages IREM en librairie.

Stéphane va rédiger très prochainement les annexes de la convention 2019 et l’envoyer à la DGESIP pour retrouver un montant de la subvention annuelle de 20 000€.

Point sur le budget

Les documents ont été mis à disposition avec l’ordre du jour. Il restait des corrections à faire. Nous sommes au 08 décembre 2018 à une dépense de 19 800 € de dépenses environ, mais il reste des missions et des voyages à payer.
Le DAF de l’université de Lille accepte de reporter les reliquats de crédits 2018 sur 2019, 10 000 € environ.
Par rapport au budget initial, François a modifié certaines rubriques en conservant les masses financières. Il y a encore des postes très vides. Celui du site n’a presque pas été entamé et la COPIRELEM n’a finalement pas demandé de subvention.
Stéphane reprendra le projet de modification du site du réseau en janvier 2019.

Breve rencontre avec les brèves

Michèle et Chantal rendent compte de l’avancée des travaux (elles sont au taquet, expression typiquement bordelaise, mais elles vont à la pêche aux informations, bizarre pour des montagnardes).
Question des images : elles doivent être carrées pour le site et pour Twitter, elles doivent avoir pour format 2×1.
Yves et Hombeline à Besançon ont suggéré beaucoup de choses intéressantes (ainsi que Pierre Esseyric) mais Michèle et Chantal n’ont pas encore eu le temps de les exploiter.
Michèle Bechler a fait des remarques à prendre en compte (possibilité de mettre en référence les fiches Publimath).

Sur les labos de maths et les nouveaux programmes (Edwige Golewski, Louise Nyssen)

Edwige intervient à propos des programmes de lycée professionnel. Edwige et Alice Ernoult (APMEP) participeront à une réunion au CSP le 11 décembre 2018 en présence de 4 professeurs de lycée professionnel.
C’est une consultation préalable aux travaux de la commission.
A propos des programmes déjà publiés, il y a eu des réactions de la SMF, la SMAI. Les communiqués soulignent des points de vigilance. Edwige souligne qu’il est difficile de critiquer le travail des groupes d’experts, étant données les contraintes de construction, mais qu’il faudra rester vigilant(s) sur les documents d’accompagnement.
Il y a du travail en ce qui concerne l’histoire des sciences et l’enseignement scientifique (où sont les notions mathématiques ?).
Les programmes font essentiellement référence aux mathématiques comme outils. Selon Louise, les collègues de mathématiques du secondaire ne voient pas les mathématiques dans cet enseignement.
A Montpellier, la Rectrice aurait avancé que les mathématiques seraient toujours présentes au lycée, parce qu’il y a un enseignement scientifique.
Côté positif pour Edwige : les élèves devraient choisir massivement de conserver les mathématiques. Ce qui reste à vérifier...
Louise pense que cela va reprendre l’effet filière S.
Débat sur l’image de la spécialité de première et sur la reconstitution des filières. C’est le problème d’avoir choisi de « relever le niveau » en mathématiques.
Louise cite un sondage de « L’étudiant » montrant une proportion de 60% d’élèves choisissant les mathématiques au lycée.

Les laboratoires de mathématiques (intervention de Louise Nyssen)

Charles Torossian a obtenu des moyens de la DGESIP pour rémunérer les interventions des universitaires dans les laboratoires de mathématiques.
André : la structure d’accueil doit être indiquée.
Stépahne évoque les bonnes fées qui se penchent sur les laboratoires de mathématiques, y compris l’ISMI.
Louise Nyssen a justement été chargée de s’occuper de cette question.

L’année 2019-2020 sera l’année des mathématiques. Louise vient de rencontrer Charles torossian qui souhaite à cette occasion mettre l’accent sur la réforme des lycées et les laboratoires de mathématiquess.
Une partie de la mission se fait avec l’INSMI (le CNRS).
Le lancement sera effectué le 19 octobre 2019 (simultanément avec l’ouverture des Journées Nationales de l’APMEP à Dijon, zut !).
L’INSMI a écrit à tous les directeurs de laboratoires re recherche en mathématiques (universitaires) leur demandant d’organiser des journées de formation à destination des professeurs du secondaire (matin = exposés de chercheurs en plénière, après-midi : ateliers animés par les chercheurs sur les applications ou ateliers de recherche (celle évoqué le matin) à mener en classe).
Réaction de Louise : on ne fait rien sans les IREM. Mais il n’y a pas de consigne sur les conférencier(e)s. Un tout jeune thésard enthousiaste n’est peut-être pas le meilleur choix.
Ces journées devront être inscrites au PAF. Le choix de la date est laissé à la discrétion des directeurs de laboratoires.
Attention, un stage PAF peut être à public désigné. Quel défraiement ? Quel taille des groupes ?
Idée : mettre des chercheurs en mathématiques en lien avec des enseignants du secondaire.
Edwige : quelle sera la vraie articulation avec les laboratoires de mathématiques ?
Un enjeu à signaler : quel public ?

Donner envie aux enseignants de venir à l’université.
Donner envie aux universitaires de s’intéresser à ce qui se passe dans les établissements du secondaire.

Un événement de clôture se tiendra en mai à Lyon.

Anne évoque que les stages PAF sont actuellement bloqués à Montpellier.

Il faudra faire remonter les projets en janvier 2019 dans les rectorats. Les directeurs de laboratoire seront-ils impliqués ?
Un complément d’informations serait bienvenu.


Commentaires

Logo de Emprin, Fabien
mardi 19 mars 2019 à 11h24 - par  Emprin, Fabien

erratum :
Fabien Emprin est impliqué dans le plan VT mais pas chargé de mission

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