Tour de table (dans le sens horaire) :
Stéphane Vinatier (Limoges),
Philippe Le Borgne (Besançon),
Dominique Tournès (la Réunion),
Youssef Barkatou (Poitiers)
Sylviane Schwer (Paris Nord)
Elise Janvresse (Amiens)
Patrick Frétigné (Rouen),
Jean-Yves Brua (Rouen),
Michèle Gandit (Grenoble),
Christian Mercat (Lyon),
André Stef (Lorraine),
Christian Silvy (Antilles),
Alban Da Silva (Nouvelle Calédonie),
André Sesboüé (Caen),
Malika More (Clermont-Ferrand),
Christophe Cuny (Brest),
Julien Sebag (Rennes),
Anne Virion (Rennes) ;
Chantal Menini (Bordeaux),
Anne Cortella (Montpellier),
François Recher (Lille),
Frédéric Métin (Dijon),

___
Olivier Guès (Marseille),
Julien Michel (Poitiers),

IREM de Rennes
Julien Sebag prof à l’IRMA depuis 2009 (à Bordeaux avant). Responsable de la préparation à l’agrégation. S’intéresse à la question de l’enseignement des mathématiques.
Anne Virion lui a proposé la direction.
Vote à l’unanimité

Voir lettre en pdf
Plusieurs soutiens pour la création d’un IRES en Corse. Attention à la formulation : transfert ou recherche. Si le volet « formation continue » est la seule perspective mise en avant, il va y avoir des soucis à ce que la structure reste universitaire. Idée : envoyer un message au nom de l’ADIREM en se réjouissant de cette création tout en mentionnant les missions des IREMs et en insistant sur l’aspect recherche action et sur les mathématiques. Joindre la convention tripartite qui contient les missions. Proposer l’adhésion au GIS.

• Poitiers : l’IREM a de nouveau une secrétaire à 70%. Bravo pour la brochure Enseigner les mathématiques en sixième à partir des grandeurs : les PRIX" !
• Nice : pas de nouvelles. Selon Sylviane Schwer, le directeur actuel aurait pris sa retraite et Philippe Dutarte prendrait la relève s’il est nommé à Nice (?). La semaine prochaine réunion à Grenoble avec 5 personnes de Nice.
• Nouméa : la mission du directeur est validée (non sans mal). Dix heures de décharge pour la direction et les taches administratives. Demi-journée académique : conférence et présentation des groupes (il faudra élargir). L’inspectrice voit l’IREM d’un nouvel oiel. Groupes reconduits à l’identique plus un groupe « Python au lycée ». Renaud Leplaideur est en train de s’installer.
• Toulouse : y a-t-il un nouveau directeur ? Xavier Buff assurait l’interim. Pas de nouvelles. Xavier Bressaud « rempile » pour 2-3 ans en Chine.

François Recher explique qu’il y a 6 mois de retard... dans la gestion du budget de l’ADIREM. La convention étant signée depuis peu, le comptable de l’université de Lille mettra les choses en route lundi.
Question des frais de déplacement de Blois : François Recher précise : surtout, faire établir des factures individuelles pour le séjour et non des factures avec deux noms. À envoyer au secrétariat du réseau : secr.adirem@univ-irem.fr
Il ajoute qu’il faudra fournir un OM sans frais de nuitée.

Vote à l’unanimité des présents

Proposition de doubler le poste de secrétaire. Frédéric se présente comme secrétaire adjoint.
Vote à l’unanimité

Pour la gestion des listes : les secrétaires s’en chargeraient : reprérer les nouveaux membres de l’ADIREM et du bureau (transmission à Jérôme Germoni).

La convention a une durée de trois ans, les annexes sont signées chaque année (une avec la DGESIP pour les finances, une avec la DGESCO pour les heures).
La DGESIP a signé cette semaine la convention et l’annexe qui concerne les moyens financiers. Pour mémoire, la première version du texte a été écrite il y a plus de 6 mois et a fait l’objet de plusieurs remarques.
La signature de la DGESCO devrait arrivée rapidement (Stéphane a été contacté la semaine dernière) car il y a encore les notifications à faire auprès des rectorats ainsi que les services faits.

Idée : proposer que la DGESIP donne également des heures pour les universitaires.
Il y a avait avant des HSA proposées pour les IREMs.
Anne Cortella : Les rectorats ont une part d’autonomie, mais c’est le cas aussi pour les universités depuis la loi LRU, donc ce serait difficile d’arguer de liens avec la DGSIP pour peser sur nos universités.
Sylviane Schwer pense que le Ministère a les moyens de faire pression sur les universités, mais son avis n’emporte pas l’adhésion générale.

Retour au questionnement d’Elise : que faire pour Amiens qui n’avait pas de moyens à l’époque de la répartition et qui ne semble pas pouvoir être modifiée ? Discussion. Les 36 heures pour Amiens étaient traditionnellement données à l’APMEP. Proposition de rencontrer les interlocuteurs pour de nouveau présenter les missions, les acteurs...

A Besançon, les stages assurés par l’IREM ne sont pas rémunérés car l’IREM touche déjà des moyens... Comment défendre ce qui est écrit dans la convention ?

À Lyon, l’IREM est rémunéré pour une réflexion en amont des stages, pour la fabrication de ressources pédagogiques que des formateurs IREM utilisent pour assurer les stages proposés par l’IREM, mais rémunérés en leurs noms propres par les 6h ou 12h de formation (en général partagées par les 2 formateurs qui assurent la co-animation).

En Lorraine, déconnexion entre l’IREM et ceux qui proposent des stages.

On pourrait demander que les nouveaux IREMs puissent apparaître même sans ajouter de moyens. Mais, ATTENTION, s’assurer qu’un changement dans la convention n’ait pas d’effets négatifs.

Dans certaines académies, les IPRs préfèrent piloter des groupes de formateurs qui peuvent être rémunérés ou non. Ils peuvent venir chercher des animateurs IREMs... Les IREM se revendiquent comme des viviers de formateurs, procurant en particulier des cadres eventuels pour le rectorat.
Ces groupes ont des objectifs à court terme, correspondant à des commandes institutionnelles ou des demandes de formations d’initiative locale (FIL) à l’inverse de ce qui se fait dans les IREMs.

Le budget de 30 000€ a donc été signé.

Demandes de financement :

• Panoramath 7 : dans le cadre de la CII Pop’Maths, avec le CIJM et l’APMEP, nous éditons un nouveau volume de Panoramath. Il s’agit de présenter des sujets posés dans les Rallyes IREM (et autres). Cette année, Patrick Frétigné indique qu’il est prévu d’étendre les contenus à des analyses de jeux utilisés pour l’enseignement.
  L’objectif est d’imprimer moins d’exemplaires que les années précédentes. L’APMEP donnera 300€. La CII se réunit à Lille à la fin de la semaine et devrait finaliser le budget.
  Faut-il faire une convention pour cela ? Si le logo de l’ADIREM apparaît, il n’y a pas de convention à signer. La question de la vente ultérieure est à affiner avec les autres partenaires.
  Subvention de 1 000€ votée à l’unanimité.
  Pour information : Anne-Marie Abischer part à la retraite et se pose la question de sa succession à la tête de la CII.

• Université d’été à Oslo (ESU 8) : une subvention a été votée à hauteur de 1 500€ pour couvrir les frais de déplacements de trois animatrices de l’IREM de Nantes. Cette somme étant un peu juste, il est demandé des crédits supplémentaires.
  Vote à l’unanimité d’une subvention supplémentaire de 500€
  EMF se tiendra à Gennevilliers du 22 au 25 octobre 2018. L’IREM de Paris voudrait envoyer des personnes du GREMA (Afrique sub-saharienne, mais qui s’est étendu à la francophonie) et demande de pouvoir payer les frais d’inscription à hauteur de 620€.
  subvention de 620€ votée à l’unanimité

• Clés USB : il avait déjà été évoqué de confectionner des clés USB bootable (32 Go) pour distribuer en afrique sub-saharienne. Ayant à faire face à des difficultés d’utilisation d’internet, ce serait un mode de diffusion dans des endroits où la connexion est très lente : grande sélection de publications des IREMs (Petit x, Grand N, Repères IREM) + serveur WIMS + Géogebra etc. Coût pour 50 clés 900€, 1700€ pour 1000.
  Subvention de 1 000€ votée à l’unanimité

• Site des IREMs : proposition de faire refaire le site des IREMs. Un grand nombre de personnes trouve le style actuel peu accueillant. C’est un des outils de diffusion des ressources du réseau. Il s’agirait de revoir l’ergonomie du site pour mettre en avant les missions du réseau. Comme, à l’occasion du cinquantenaire, il est prévu des publications tout au long de l’année, c’est peut-être le moment de procéder à un toilettage. Simple rellooking ou remise en en forme plus en profondeur ? Le site d’IdM a été refait pour 30 000€. Le site de l’APMEP a été refait pour beaucoup moins cher. Les avis sur les résultats de ces deux exemples ne sont pas unanimes.
  Il faut réfléchir à l’organisation de l’information du site et ensuite il y faudra se poser a question de l’habillage.
  On ne peut pas ignorer le fait qu’il faut un site multi usages (ordinateurs, tablettes, smartphone).
  Actuellement, les différents groupes ont des accès pour ajouter des articles.
  L’idée est de garder les contenus. Il faut savoir si on souhaite garder l’outil SPIP. Ce serait plus facile que de changer d’outil mais cela nécessiterait de migrer les contenus.
  Vote à l’unanimité pour faire appel à un prestataire pour un maximum de 5 000€ pour travailler sur le site : qu’il soit fonctionnel et compatible multi-plateforme (responsive)
  Stéphane se propose de piloter ce projet.
  Utiliser Twitter pour communiquer pendant l’année du cinquantenaire.

• Invitation de directeurs : projet d’inviter Alban à l’ADIREM de décembre. Plutôt en 2019, ce qui lui permettrait de participer au colloque du cinquantenaire.

• Repères-IREM : Michèle Gandit n’a pas les comptes précis mais il n’est pas impossible qu’il y ait des problèmes de budget.

• CORFEM
  En marge de la CORFEM (Bordeaux les 11 et 12 juin 2018), il y a eu une journée consacrée à la formation en informatique (afin de profiter de la présence des personnes au colloque). Cela pourrait être reproduit l’an prochain. Cela pourrait faire l’objet d’une demande de financement. Bonne initiative.
  Compte-rendu de ce colloque par les personnes qui y étaient présentes.
  L’année prochaine, ce sera à Strasbourg, le colloque sera organisé par Josiane Nervi-Gasparini, qui demande une subvention de 2000€, ce qui est égal à la somme donnée cette année.
  Colloque bien rodé au PNF, ce sera la troisième édition.
  Anne-Marie Sanchez (DGESCO) a remboursé tous les intervenants... c’est trop. Ceux du supérieur par la DGESCO et ceux du secondaire par leur rectorat sur ’ordre’ de la DGESCO. L’an prochain, cela ne pourra pas être possible.
  Vote sur la subvention de 2000€ : accepté à l’unanimité

Il faudrait penser à proposer un colloque sur le lycée et l’université. Ce sont des sujets d’actualité. Le suggérer aux CIIs lycée et université.

En 2020, ce serait maths et DiLE.

En 2021, colloque de la C3I.

Pré-demande de la CII épistémologie et histoire des mathématiques à Poitiers sur la géométrie. Ce colloque est inscrit au PNF.

Ces priorités sont à afficher pour la DESCO-DGSIP

Rappel 2017-2018 :

1. Cycle 3
2. Relations mathématiques-informatique
3. Interdisciplinarité mathématiques sciences
4. Tansition secondaire supérieur
5. Évaluation et différenciation
6. Autres sciences

Problématique de payer des collègues du premier degré. La question des CPC se pose car pour certains, il s’agit déjà de leur mission. Cela peut se faire sur des moyens des rectorats.

Pour 2018-2019 :

1. Cycles 1, 2 et 3
2. Informatique
3. Mathématiques et interdisciplinarité
4. Évaluation et différenciation
5. Lycée
6. Autres sciences

L’assemblée a jugé l’année dernière que ce n’était pas prioritaire. Nous discutons de l’opportunité de revenir sur cela.
À Bordeaux, quelques sujets en cours d’étude : paradoxes, géométrie non euclidienne, incomplétude, esthétique et peinture (les tableaux de Kupka), cryptographie. Robert Cabane, à la retraite et bordelais, intègre le groupe.
À Rouen : cartographie ?
Débat sur les qualités et objectifs de Culture Math par comparaison avec Images des maths.

Il y a du nouveau sur le projet de brèves hebdomadaires qui mettent en avant un thème (une ressource récente + une ancienne) : deux éditrices en les personnes de Chantal et Michèle.
Chaque IREM et chaque CII réfléchit à une ressource à mettre en avant.

Faire appel à publimath pour faire des compléments sur les sujets proposés par les IREMs et les CIIs.

La Réunion : les abaques à jetons
Paris-Nord : de Géotortue à Scratch
Besançon : le carrousel des nombres a eu énormément de succès.
Lyon : la pratique du problème ouvert de Mante et Arsac 2007 https://www.reseau-canope.fr/notice/les-pratiques-du-probleme-ouvert.html et plus récemment http://dreamaths.univ-lyon1.fr/
Grenoble : Les situations de recherche pour la classe, débat scientifique

Faire un mél pour les IREMs et les CIIs pour présenter le projet afin qu’ils puissent interroger les groupes et les animateurs.

Philippe Le Borgne suggère des articles de Repères-IREM.
ATTENTION : chaque IREM pense à deux ressources, mais elles ne sont pas publiées spécifiquement sous le nom de l’IREM d’origine.
Cela posera sans doute un problème d’organisation. Mais on comptera sur Publimath !
Autrement dit, il faut s’y mettre assez tôt...

Candidat.e.s pour rejoindre les organisateurs : Stéphane Vinatier, Magali Hersant (c’est Stéphane qui la dénonce, elle est absente), Philippe Le Borgne, en tant qu’adjoint d’Yves Ducel.
Discussion technique sur les moyens à mettre en œuvre : FRAMAPAD, site hébergeur, texte de présentation...

Il y aura beaucoup de travail, les responsables du projet demandent donc un texte de présentation et une préparation (ne pas balancer un article brut) avec au moins une image (extrait de l’article ou couverture de la brochure).

Colloque cinquantenaire à Besançon
Projet de faire une affiche qui puisse être prête pour les journées de l’APMEP. Il faudrait un titre. Philippe connaît quelqu’un qui peut penser à une affiche.
Le comité scientifique n’est pas très actif.

René Cori a fait 16 propositions.

Philippe Le Borgne propose d’associer l’IREM de Dijon, ce qui permettrait de demander des subventions à la COMUE (Université de Bourgogne Franche Comté).

Ce qui est déjà acquis :

• Daniel Perrin fera une conférence sur l’évolution d’une notion mathématique. -
• Cédric Villani a été invité.
• Tables rondes : présidents ADIREM, CS
• Conférence sur Publimath et les revues du réseau.

Stéphane Vinatier propose de mettre en avant certaines problématiques actuelles : extension vers les autres sciences, nouveaux modes de diffusion des ressources...
et de faire intervenir quelqu’un de la CPU (Stéphane Vinatier a apprécié l’intervention de Gilles Halboutau colloque de la CORFEM).

Faut-il changer le nom du réseau ?

• IREM&S
• IREMIS
• IREM&IS
• IREMS
• IREMéS

On décide de décider plutôt demain...

Présents
Stéphane Vinatier (Limoges),
Philippe Le Borgne (Besançon),
Sylviane Schwer (Paris Nord)
Dominique Tournès (la Réunion),
Elise Janvresse (Amiens)
Youssef Barkatou (Poitiers)
Patrick Frétigné (Rouen),
Jean-Yves Brua (Rouen),
Michèle Gandit (Grenoble),
Christian Mercat (Lyon),
Alban Da Silva (Nouvelle Calédonie),
Christian Silvy (Antilles),
André Stef (Lorraine),
André Sesboüé (Caen),
Malika More (Clermont-Ferrand),
Christophe Cuny (Brest),
Julien Sebag (Rennes),
Anne Virion (Rennes) ;
Chantal Menini (Bordeaux),
Anne Cortella (Montpellier),
François Recher (Lille),
Frédéric Métin (Dijon),

Retour sur la question non élucidée hier.
Stéphane Vinatier indique qu’il lui semble que l’assemblée ne souhaite pas se prononcer si tôt, donc reporte la discussion à plus tard.

La CFEM regroupe plusieurs sociétés savantes et autres qui s’intéressent à l’enseignement des mathématiques.
L’ADIREM a plusieurs représentants : Chantal Menini, Anne Cortella, Sylviane Schwer et Stéphane Vinatier
Au bureau : Sylviane schwer et Stéphane Vinatier.
Le 14 mai 2018 s’est tenue l’assemblée général. C’était un jour de grève, Stéphane Vinatier n’a pas pu s’y rendre. Compte rendu par Chantal et Sylviane qui étaient présentes :
— Nouveaux programmes.
— Cotisation 100 -> 120€
— Demande d’alimenter la lettre de la CFEM (2 fois par an).
— Présentation de la C3I. S’il se passe des choses en CII, prévenir Edwige Godlewski. Pour la CORFEM, quelqu’un va le faire. Aider à la diffusion de ce qui se fait dans le réseau.
— La journée sur la transition a été appréciée mais pas beaucoup de monde.
— La CFEM est en pointe dans les discussions sur la réforme du lycée, notamment sur les 2 heures HSN. L’action concertée a permis de changer l’intitulé : Enseignement Scientifique et Numérique et devrait être assuré par des scientifiques. Sciences pour tous les bacheliers.
Par contre, initialement non invité le 12 juin par le groupe d’experts pour les 2 heures de tronc commun et les mathématiques (1ère et Term). Finalement plusieurs personnes ont été envoyées : 1 pour la CFEM et 1 pour l’ADIREM tous les deux de Paris-Nord et pour la voie générale Denis Gardes qui fait partie de la CII lycée et du groupe de réflexion sur les sciences.
— Nouveau rendez-vous prévu en septembre pour la voie technologique.
— C’est Johan Yebbou (IG Math, pres. UPS) qui suit la réforme du lycée et Anne Burban pour l’enseignement technologique.

Les journées nationales des Maisons pour la Science ont eu lieu en avril à Sèvres.
Il y a eu un CR de Stéphane Vinatier qui était invité à une demi-journée consacrée aux mathématiques.
Mettre en place une collaboration plus étroite. Les IREMs produisent et les MplSs diffusent, il pourrait y avoir synergie.
Il faut donc proposer des ressources. Les brèves du cinquantenaire pourraient aller dans ce sens.
Utiliser la maison nationale et Aurélien Alvarez comme relais. Les maisons pourraient s’approprier les ressources proposées.
Faire attention à être cité.
François Recher signale que les MplSs ont un nouveau rapport aux mathématiques. Les mathématiques ne sont plus mises de côté. André Stef évoque la MpS de Lorraine.
A Rennes, la MplS a du mal à fournir des formations en mathématiques, alors que dans les autres disciplines il y a une expertise ancienne.
A Poitiers, pas de MplS, mais le centre Mendès-France a une action de formation (marginale).

Stéphane Vinatier : nous nous retrouvons à avoir de plus en plus de points communs avec eux, même si nous n’avons pas du tout les mêmes pratiques. Notre spécificité est une forme de recherche des groupes, préalable aux formations, tandis que dans les MplS, on fait appel aux universitaires, c’est beaucoup plus vertical. Les formateurs IREM interviennent en tant qu’experts de la médiation vers la réalité de la classe. La question se pose de la diffusion des sources et du soutien des IREMs. Devrions-nous contractualiser les choses ? Le futur des MplS n’est pas assuré (financements).

Plusieurs IREMs ont une Maison pour la Science proche : Clermont, Grenoble, Bordeaux, Lille, Paris-Nord, Strasbourg, Toulouse, Lorraine.

C’est aussi un moyen de faire passer des stages au PAF. Depuis peu, ils peuvent proposer des stages pour le lycée.

Christian attire notre attention sur la paupérisation de la formation engendrée par sa prise en main par les MplS.

L’ADIREM avait candidaté en 2015 avec un gros travail de Jean-Pierre Raoult pour monter un dossier. Le réseau n’a pas remporté le prix.
La cadidature a été très appréciée. Le prix est de nouveau proposé cette année. Michèle Artigue pense que ce serait bon de candidater. Il faudrait mettre en avant l’ouverture à l’international. L’actualisation du dossier ne devrait pas être trop lourd. Printemps 2019 : 31 mars.
Il y a une copie du dossier sur le site des IREMs.
Simon Modeste pense savoir comment améliorer le dossier.

Il y a des critères sur le site de l’ICMI.
A possible list of criteria for selecting among candidates includes :
— their educational rationale
— the problems addressed
— the conditions under which the work is taking place (cultural/political context, infrastructure, funding, people involved)
— the originality/creativity involved to address problems and bypass obstacles
— the extent of the influence of the work the quantitative and/or qualitative evidence of its influence the potential to serve as a role model (either for inspiring others addressing similar problems or because of having an approach which can be applied elsewhere with appropriate modifications)

Depuis il y a eu Strasbourg, le GREMA.
Accord pour se lancer dans ce montage de dossier.
Il faut associer le CS. Anne Cortella et Stéphane Vinatier pourraient être les liens au nom de l’ADIREM. Il faudrait trouver un lien pour le CS. Proposer à Fabrice Vandebrouck (CS et international).

— Point du budget concernant les frais d’insciption : la participation de ces 4 personnes donnent de la visibilité au réseau et est cohérent avec la réflexion sur la création d’une C2i internationale.
Vote d’une subvention de 620€

— Création d’une C2i internationale
Lien entre le réseau et l’international. C’est plus qu’un groupe de l’IREM de Paris. Pusieurs directeurs sont sur la liste mais n’y travaillent pas forcément.

Quel serait l’intérêt de passer de ce groupe à une CII ?
Donner une visibilité au sein du réseau et à l’intérieur même.
Plusieurs visibilités : interne et externe.
Le réseau devra s’impliquer dans le fonctionnement : heures, moyens, informations.
Il faudrait demander des responsables.

Vote à l’unanimité pour la création d’une CII internationale

La mise en place (responsable, objectifs, fonctionnement) pourrait avoir lieu le 27 octobre 2018.

Invitation à la finale nationale « Mon mémoire meef en 180 secondes » le 28 juin 2018 à Marseille. C’est Olivier Guès qui représentera le réseau.

— Renouvellement des membres, l’ADIREM doit valider les propositions suivantes :

• prolongement de François Moussavou : il est actif à l’APMEP, responsable de la CII lycée professionnel. La demande est soutenue par Pierre Arnoux.
  Vote à l’unanimité
• nomination d’Yves Ducel en remplacement de Marc Moyon. Maître de conférences à Besançon, rédacteur en chef de Repères-IREM, ancien directeur de l’IREM de Besançon. Il a l’appui du comité Repères-IREM et de Publimath.
  Vote à l’unanimité
• nomination de Sophie Roubin pour l’APMEP en remplacement d’Éric Barbazo. Pilier de groupe collège de Lyon, mi-temps à l’IFÉ et mi-temps en collège.
  Vote à l’unanimité

• il y a un poste vacant et il serait bon de trouver un représentant du primaire et/ou proposer directement quelqu’un. Un PE ou plutôt un CPC.
  Publier un profil et informer le réseau pour susciter des candidatures. On serait dans les temps pour valider une candidature fin septembre 2018.
  « Bonne connaissance de l’enseignement des mathématiques dans le premier degré. »

— Débat sur la réforme du lycée et du bac
Matin : Audition de la CII lycée. Groupe interdisciplinaire Sciences.
Après-midi : programmes, groupes d’experts -> travail cet été pour une proposition début septembre (en place rentrée 2019 : nde - 1ère)
Fabrice Vandebrouck a proposé au CSP de venir à la prochaine réunion du CS (éventuellement reporté de septembre à fin octobre ou novembre pour des raisons de calendrier).
Le CS serait aux premières loges de la consultation.
Le travail sur les programmes se fait en cénacle fermé cet été, nous pourrons nous y intéresser finalement dans le cadre de la consultation...

Travail de la veille...
Structure du colloque à finaliser pour début septembre

• dimension commémorative mais pas l’essentiel du colloque
• « Chercher, Former et Diffuser » ou « Chercher, Former, Diffuser »
• Trois axes, trois jours
• Diffuser : conférence de Michèle Artigue sur les difficultés de diffusion des ressources et des ingénieries de diffusion et perspectives d’avenir. Diffusion vers les autres sciences. IREM-DGESCO. CII CORFEM COPIRELEM. 
• Former : conférence de Cédric Villani et Pascal Halbout autour des perspectives nouvelles. Appel IREMs et CII pour des ateliers.
• Chercher : investi par les IREMs. Dimension collaborative. Expérience des LÉAs (lieux d’éducation associés) des IFÉs (instituts français de l’éducation). Il y a des groupes IREMs qui participent à des LÉAs.
• Conférence de Daniel Perrin.

Lien entre recherche-action et recherche fondamentale ? Ateliers ?

Donner la parole à des acteurs en activité.

Donner la parole à des chercheurs en mathématiques qui nourissent leur recherche en côtoyant les IREMs.

— Entrevue avec Charles Torossian : les 3 axes d’intervention possibles pour les IREM
CR par Stéphane suite à la rencontre
Depuis le 4 juin, il est chargé de mission extraordinaire pour la mise en place.

• Laboratoires de mathématiques dans les lycées
  Cinq lycées par académie : 1/2 heure dans l’emploi du temps pour les enseignants pour réfléchir ensemble à leur enseignement, aux mathématiques... Ces groupes horizontaux seront en lien avec un universitaire et pourraient faire intervenir des personnes extérieures.
  Chaque projet est à l’initiative de l’établissement et de son chef.

— Entrevue avec Emmanuel Royer (directeur adjoint de l’INSMI - CNRS) : soutien aux laboratoires de mathématiques
Dans la conversation est évoquée la possibilité de délégations CNRS de 6 mois avec un dossier recherche à côté à valider.
Thierry Lambre : dans un dossier de demande de délégation, c’est plus que « pas un mauvais point ».

— Échos :
Limoges projet de 3 laboratoires mais sans en informer l’IREM
Dijon : pas de contact
Lille : François Recher a participé à Valenciennes à une réunion dans un très gros lycée, en présence de Charles Torossian. Il a également vent d’une démarche équivalente sur la Côte et à Lens. Charles Torossian a évoqué dans cette réunion la charge de travail (les heures supplémentaires) des membres du laboratoire de mathématiques. Deux lycées professionnels sont également sur les rangs
Montpellier : Anne Cortella a proposé au PAF une action dans le sens de la création de labos de maths. Avec le groupe liaison lycée-université, ils ont « choisi » des établissements candidats.
Bordeaux : pas de nouvelles
Rennes : aucune nouvelle
Brest : rien
Clermont : rien
Caen : rien
Lorraine : pas d’information formelle
Poitiers : rien
Nouméa : rien
Antilles : rien
Lyon : Christian va se rendre à Bogotá et Dublin pour participer à la création d’un laboratoire international. Sinon à Lyon : pas complétement finalisé. En cours pour le primaire, projet inter-établissements.
Grenoble : rien
Rouen : rien
Amiens : rien
Réunion : les IA-IPR ont dit qu’ils souhaitaient mettre en œuvre les laboratoires de mathématique, lors de la dernière réunion du conseil scientifique de l’IREM. Il y a au moins un lycée candidat. Mais Dominique Tournès n’a pas de moyens pour cela.
Paris Nord : rien
Paris : rien
Besançon : rien

Quels bras du côté universitaire ?

Méthodes de travail : à partir d’articles d’ImagedesMaths ou de Culture Maths par exemple pour une utilisation dans l’enseignement. Ne pas trop imposer les sujets et modes de fonctionnement. On peut arriver avec des propositions.
Idée : avoir des groupes leaders dans l’académie qui puissent être pilotes d’autres groupes dans d’autres établissements.

— Modules optionnels dans les licences non scientifiques dans l’idée d’un concours PE en L3.
La COPIRELEM a été contactée très rapidement. Leur réponse ne va pas dans le sens qui était envisagé par Charles Torossian. Ce dernier parlait des mathématiques et la COPIRELEM envisageait mathématiques et didactique de front.
Rennes : pluri disciplinaire en lience de lettres pour les futurs PE. Cours de notions mathématiques à des étudiants de L3 de Rennes 2 (non scientifiques). Ils ont compris des mathématiques. Il est indispensable de revoir les notions. Succès de ces options. Ces apports ont été très bien reçus.
Dijon : redécouvrir les mathématiques à travers les textes anciens. Le public plus adulte est plus réceptif. Mais depuis 2 ans : public moins réceptifs.

Préconisation de la commission : introduire des notions mais pas de façon frontale, des modules de « réconciliation » avec les maths (ou de « (re)découverte »), par l’Histoire, le jeu, la manipulation, l’économie...
Avant d’aborder la didactique, il faudrait peut-être avoir un recul sur les fondamentaux.
La COPIRELEM
Ne pas confier ces enseignements à de « simples » professeurs de collèges par exemple. DIscussion avec des membres de la COPIRELEM. Sous estimation sur le public visé : peu de personnes sont absolument certaines de devenir PE, il faut donc faire attention au côté didactique.
Limoges : visite de Dominique Tournès aux PE1 de Limoges sur les abaques. Remédiation pour des élèves ayant du mal avec l’adition. Certains étudiants ont découvert une notion à travers un dispositif didactique.
Grenoble : on peut raccrocher des gens non matheux par une approche enseignement. Même des notions simples que l’on considère comme acquies.
Lyon Pascaline à la MMI. La construction permet d’aller plus à fond dans une notion.

Il y aura besoin de beaucoup de personnes pour assurer ces formations.
PL On fait pas mal de choses pas très bien pour les candidats PE. Avec les jeunes (pojet initial), il y a une amertume sur le contenu de leur formation.
On souhaite installer une culture mathématique.

— Un conseiller pédagogique uniquement pour les mathématiques dans chaque circonscription : mettre en place des formations à grande échelle (1/3 des circonscriptions dans un premier temps). Reste à trouver des intervenants pour les formations. Mobiliser la COPIRELEM ?
Tous les PE sont censés êtres experts en maths et en français donc actuellement pas de référent mathématique.
Il s’agit de véritablement former ces gens là. Il faudrait recruter de nouveaux CPC scientifiques pour aider ce projet.
Mettre dans nos priorités nationales (pas nécessairement car cela rentrerait dans leur mission) : formation des CPCs. Créer des groupes qui réfléchissent à ces formations.
Il y aura un travail sur les mathématiques mais dans une optique d’enseignement.
Faire aussi suivant les besoins locaux.
Caen : groupe IREM « Manipulation » avec un pilotage par les IPRs.
La forme groupe IREM semble bonne mais qu’en pense l’institution.
Qelle forme et quels intervenants ?
Dans l’Hérault il y a déjà un référent mathématique dans chaque circonscription. Il manque des conférences spécialisées en didactique.
Certaines réunions sont pilotées par des éditeurs qui ’assurent’ ce genre de formation et proposent des choses clé en main.
Nous mettons beaucoup de choses à disposition, mais cela ne suffit sans doute pas pour que cela atteigne les personnes.
Faire réfléchir à partir des productions des IREMs.
On peut dire qu’on est capable d’assurer les formations dans les académies. Attention à ne pas être débordé.
Mutualisation des moyens des IREMs proches ?
La COPIRELEM est sans doute en train d’en discuter de leur côté.

Le slogan du jour : « Maîtriser les potentiels sémiotiques des artefacts... »

Mathrice est un groupement de services du CNRS. Laurent Azema a été contacté. Tout le monde voit cela d’un bon œil, il ne reste plus qu’à signer la convention. La mise à disposition de moyens humains pour les mises à jour logicielles devra être envisagée.

Rien de stable. On en reparle en septembre.

Envoyer les demandes de modifications à François Recher : francois.recher@univ-lille.fr avant le ...