Lundi 26 mars 2018 - Sophie Germain 8029 - Paris Diderot |
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Mardi 27 mars 2018 - Sophie Germain 2017 - Paris Diderot |
Lundi 26 mars 2018 de 14h à 19h : réunion plénière de l’ADIREM |
Tour de table (dans le sens horaire) :
Stéphane Vinatier (Limoges),
François Recher (Lille),
Frédéric Métin (Dijon),
Dominique Tournès (la Réunion),
Michèle Gandit (Grenoble),
Olivier Guès (Marseille),
Magali Hersant (Nantes),
Christophe Cuny (Brest),
Malika More (Clermont-Ferrand),
Sylviane Schwer (Paris Nord),
André Sesboüé (Caen),
André Stef (Lorraine),
Christian Mercat (Lyon),
Patrick Frétigné (Rouen),
René Cori (Paris),
Edwige Godlewski (CFEM),
Christophe Hache (Paris),
Aviva Szpirglas (SMF),
Youssef Barkatou (Poitiers),
Chantal Menini (Bordeaux),
Élise Janvresse (Amiens),
Josiane Nervi (Strasbourg).
Anne Cortella (Montpellier),
Fabrice Vandebrouck (Paris),
Bernadette Denys (groupe GREMA).
Alban Da Silva (Nouvelle Calédonie),
Jean-Yves Brua (Rouen),
Edwige Godlewski (CFEM),
Julien Michel(Poitiers),
Gérard Coppin (APMEP),
Hussein Sabra (Reims),
Florent Malrieu (Orléans-Tours),
Christian Silvy (Antilles),
Excusés
Philippe Le Borgne (Besançon),
Lundi 26 mars 2018 de 14 h à 19 h : réunion plénière de l’ADIREM |
Accueil des nouveaux directeurs |
IREM de Poitiers : Youssef Barkatou - Travaille en analyse complexe - Apprécie l’ambiance de l’IREM - Contacts avec pas mal de collègues du secondaire - Responsable Master MEEF - Responsable Préparation Agrégation Interne - Julien Michel (directeur sortant) prend la direction du Département de Mathématiques - Problème de secrétariat - Une personne fait temporairement office de secrétaire - Optimiste sur la situation de l’IREM - Groupe collège + groupe lycée + groupe APMEP -
Vote à l’unanimité
IREM de Lorraine André Stef - Renouvellement pour 3 ans - Avec plus de premier degré - Site web -
Vote à l’unanimité
Mise à jour des représentants de l’ADIREM au bureau de la CFEM |
Remplacement de Fabrice Vandebrouck.
Prochaine réunion du bureau le 14 mai 2018 à 12h00 avant l’Assemblée Générale à 14h00
Actuellement, repésentent l’ADIREM : Stéphane Vinatier + Anne Cortella + Sylviane Schwer
Demander à la CFEM de faire son assemblée générale à une autre période (automne par exemple) ou en visio.
Objectif : venir porter la parole des IREMs, ouverture intéressante.
Candidatures de Chantal Menini en tant que représentante et de Sylviane Schwer en tant que membre du bureau
Christian Mercat se propose d’y participer en cas d’impossibilité d’autres membres
Vote à l’unanimité
Informations sur quelques situations locales |
IREM de Rennes : bonnes nouvelles. Anne Virion a trouvé un nouveau directeur par l’intermédiaire du directeur d’UFR : Julien Sebag (professeur) a été élu, sera confirmé par le conseil d’UFR et viendra à Blois.
IREM de Nice : le groupe primaire de Nice a repris ses réunions (objectif ??? cf mél envoyé à Stéphane) et viendra au séminaire à Grenoble au mois de juin. L’ADIREM prendra en charge les déplacements du groupe. La responsable a reçu toutes les heures de l’an passé : on peut remonter ce problème à la DGESCO. Pour l’an prochain, les heures seront gérées par le rectorat de Grenoble (pas de soucis pour payer des enseignants de Nice).
IREM de Nouméa : Alban Da Silva donne de bonnes nouvelles. Les activités sont en route avec un nouveau groupe « Python au lycée ». Il viendra à Blois.
Brésil : nouvel IREM avec des projets. À la recherche de statuts.
Bernadette Denys recherche une personne qui pourrait assurer des liens pour suivre la création de structure en amérique latine. Actuellement Paris a des liens avec le Cameroun et le Congo ; Caen a des relations mais au ralenti (retraités). Rouen a eu des relations avec le Pérou. Lyon a des relations avec la Colombie, le Brésil, le Mexique, la Bolivie. Limoges a des liens avec le Brésil. Marseille (Christian Mauduit) a des liens avec le Brésil. Grenoble a des liens avec le Mali.
La question est : pousse-t-on la création de groupes ?
Faire en marge de EMF : deux demi-journées pour étudier ces questions.
Séminaire international à l’occasion d’EMF |
Les directeurs sont invités. Stéphane Vinatier est invité. Dates : 22 octobre 2018 matin, avant EMF à Gennevilliers, et 27 octobre 2018 (après le séminaire) à Paris. Quelques interventions et une table ronde le 22 octobre : une sur ’Évolution curiculaire et formation des enseignants’ l’autre sur des projets coopératifs entre différents pays. Certains participeront à EMF et pourraient être associés à ces deux demi-journées. Plus de relations à l’IREM de Montpellier avec l’IREMPT.
Faut-il continuer à soutenir ce réseau international ?
Le groupe GREMA est atypique, les deux tiers sont à l’étranger. La structure ressemble plutôt à une CII.
Il existe un onglet ’Réseau international’ sur le site de l’ADIREM.
Des actions ont été menées par le réseau : Production de Ressources Numériques pour l’enseignement des Mathématiques au secondaire en Afrique Centrale PReNum-AC.
Des formations doctorales existent maintenant sur place, il y a donc moins d’échanges et de visites.
Le GREMA publie une lettre.
Proposition : ajouter la liste ADIREM à la liste de diffusion des activités du GREMA.
Le fonctionnement en CII semble pertinent.
Christian a des soucis techniques pour le séminaire et aussi un problème de vivier pour ces réunions.
Cinquantenaire des IREMs en 2019 à Besançon |
Le cinquantenaire pour Lyon, Strasbourg et Paris se tiendra en 2018.
Philippe Le Borgne ne peut être présent (nous lui souhaitons bon rétablissement).
À Lyon, il y aura une célébration du cinquantenaire lors du colloque de la CII Collège « les mathématiques dans notre environnement ».
Comité Scientifique : Fabrice vandebrouck et René Cory. À élargir.
Idées : pas de nostalgie ; naissance des IREMs par Daniel Perrin ; table ronde des présidents d’ADIREM (5 minutes sur les faits marquants et perspectives) ; conférences sur des thèmes phares : acompagnement ou précédents des réformes ; stragétgie mathématiques + ressources DGESCO-IREM ; pluri disciplinarité ; CORFEM COPIRELEM ; table ronde des présidents du conseil scientifique (5 minutes...) ; témoignages CFEM sur les IREMs ; donner la parole aux personnels et appuis (secrétariats, bibliothèques, serveurs...) pour le réseau ou bien les interviewer en amont ; profiter pour esayer d’avoir des archives fiables : historique des groupes, des directeurs, des personnels... ; chronologie des séminaires ADIREM ; il y a eu des oppositions dans l’ADIREM, donner la parole à des collègues qui ont été dans l’opposition ; grandes lignes du programme du colloque du centenaire ; thématiques d’avenir.
Proposition : regard critique sur le rôle (reconnu) des IREMS dans l’évolution (critiquée) de l’enseignement des mathématiques ; question des rapports avec l’institution ; y associer la journée des CII pour augmenter le public et annoncer les thèmes du moment et les thèmes d’avenir ; associer les partenaires : CPU, CDUS, ESPE, DGESCO, MplS, CNRS, INRIA ; extensions vers les autres sciences en particulier l’informatique ; les ’IREMs’ de l’étranger. Publimath
Propositions de dates : 09-11 mai 2018 ou 13-17 mai 2019 ou 20-24 mai 2019 - 3 jours et 2 nuits : court
Choix : jeudi 09, vendredi 10, samedi 11 mai 2019 (pas trop tard le samedi)
Michel Henry : d’accord pour le comité scientifique.
Anne Cortella, Frédéric Métin et Stéphane Vinatier acceptent d’y participer.
Demander à Hombeline hombeline.languereau@univ-fcomte.fr d’y participer.
5 000 € (subvention) + 5 000 € de l’ADIREM + 2 000 € = 12 000 €
ADIREM le mercredi 08 mai 2019 après-midi (15h00-20h00)
Colloque DNL Clermont-Ferrand |
Ce colloque aurait pu accueillir le séminaire ADIREM mais puisqu’il y le colloque du cinquantenaire à Besançon, ce colloque pourrait se tenir en 2020 et accueillir le séminaire ADIREM.
Visite de 7 animateurs de Clermont pour le séminaire Maths-Monde : petits exposés sur un thème : contexte d’enseignement dans le pays et exposé ’à la manière de’. Double thème : ’enseignement de mathématiques en langues étrangères en France’ et ’quelles mathématiques sont enseignées à l’étranger et comment sont-elles enseignées ?’
La DNL sera-t-elle enseignée l’an prochain ?
Nous n’avons pas de données fiables pour la France. Yohann Yebbou soutient ce projet. Le thème de la semaine des mathématiques pourrait être : mathématiques et langues ???
Utiliser l’année 2018/2019 : exporter la journée Maths-Monde pour maintenir les contacts.
DNL —> DiLE (Di scipline en Langue Etrangère)
Mathsenjeans pourrait être associé car dans un projet ERASMUS.
Adoption du compte rendu de l’ADIREM de décembre 2017 |
Vote à l’unanimité moins une abstention
Cinquantenaire des IREMs à l’image de « brèves » hebdomadaires |
Un thème par semaine et confronter une ressource du passé et une du présent avec un chapeau court rédigé pour l’occasion.
Commencer à constituer une liste de thèmes et de ressources. Mettre en place une équipe pour collecter tout cela.
Publimath doit être dans la boucle (20 ans !) : notamment les mots clés, les ressources vedettes du réseau des IREMs (fréquentation du site). Projets parallèles ?
Chaque IREM (30) pourrait réfléchir à un thème. Chaque CII (13) pourrait également participer. Il faudra organiser les thèmes, les centraliser, éventuellement arbitrer...
Constitution d’un petit comité : Magali Hersant, Stéphane Vinatier...
Il serait bien de commencer en septembre et donc de mettre en place la collecte dès maintenant.
Idée : continuité et rupture.
Lyon best seller : La pratique du problème ouvert, Michel Mante et Roland Charnay (et on peut faire des problèmes ouverts interactifs pendant cette semaine là par exemple)
Nouveautés :
- Fractions et décimaux, Bernard Anselmo et Hélène Zucchetta
- Le rallye mathématique dans la classe : un jeu très sérieux, Gilles Aldon
Actions de la CFEM |
Edwige : rapport Mathiot assez bien accueilli, forte modularisation. Projet BAC et lycée : réactions, projet figé : idée tronc commun et spécialités.
Actions :
- unique cours de 02h00 HSN —> enseignement scientifique et numérique (disparition de humanités), le CSP est investi du contenu des programmes (3 scientifiques au CSP ??? en lien avec les communautés (pas seulement les mathématiques)). Meilleure articulation dans les enseignements scientifiques.
- choix des 2 spécialités en terminale -> modification 3 disciplines. Demande d’ajout : enseignement facultatif en terminale dans une matière bien choisie. En première,
Les mathématiques (4h) sont elles partout les mêmes ou suivent-elles des choix d’enseignements. Enseignement facultatif de mathématiques pour la première.
Lettre ouverte par le groupe interdisciplinaire. Une lettre de la CFEM. Une lettre de Femmes & Mathématiques. D’autres actions en cours : pétition... Initiatives portées ensemble dans la même direction. Il y a plus dans le tronc commun que ce qu’il y avait avant.
Merci pour avoir réagi très vite.
Le groupe avait mené une réflexion depuis décembre 2016 et (sans avoir de programmes précis), les réflexions permettaient d’écrire rapidement un texte opposable sur les deux textes sortis en début d’année. Le groupe a été reçu en tant que groupe par la commission Mathiot.
Il n’y a pas de projet de programme.
Certaines structures ont été reçues par le cabinet du ministère.
Le ministère a vu une attitude corporatiste...
Le groupe a rédigé des recommandations de formation pour le non scientifique dont la partie mathématique a été rédigée avec la CII lycée. La première réunion du CSP pour réfléchir aux HSN comptait un scientifique. Il y a certainement un lobby pour les humanités numériques, mais, après consultation, beaucoup pensent que ce ne sont pas des sciences. Pour l’instant, on ne sait pas comment ni par qui. Le souhait, c’est que ce soit des sciences, de la démarche scientifique et que ce ne soit pas de la culture scientifique.
La question des ressources humaines n’a pas été évoquée. Pour l’instant, c’est le flou sur les contenus...
Voie littéraire : 10%, donc ce n’est pas grave. Mais la majorité des futurs PE vient de ces 10%. Le risque est que tout le monde choisisse les mathématiques : les mêmes mathématiques ? à couleur thématique ? à couleur locale ?
Il y aurait des sous-couples naturels partout. Il n’est pas concevable d’offrir tous les couplages. Il y aurait des grandes orientations (filières ?).
Si les mathématiques sont partagées par tous, les mathématiques sont au service des autres sciences comme outil. Il n’est pas prévu de mathématiques pour les mathématiques : une demande des mathématiques pour les littéraires (peut-être) et pour les mathématiques (sans doute pas).
La question des programmes est très importante suivant éventuellement les couplages choisis par les élèves.
Le couplage Physique-Chimie+Biologie est, a priori, pour les médecins (avec mathématiques option).
La demande d’une troisième option (facultative) en terminale est forte.
53% de sciences pour les scientifiques
80% de ’lettres’ pour les littéraires (cf source de Stéphane)
Actuellement les programmes de physique sont à revoir... on ne peut s’accrocher à ce qui existe. Il doit y avoir une évolution.
Pour HSM, ont été proposé : ??? tous des collègues raisonnables. On risque de nous demander des noms pour les mathématiques. On nous le demande, c’est déjà mieux que par le passé.
Il y a eu depuis l’été un grand nombre de consultations, les choses semblent avancer.
Dans l’affichage, il y a une volonté d’entendre les mathématiques.
On peut maintenant agir, par l’intermédiaire des groupes d’expert, au niveau des programmes.
Les mathématiques ont servi de sélection et il manque de professeurs. C’est un peu notre faute.
Les mathématiques sont-elles un outil de sélection ? et les langues ?
Déconnexion entre le lycée et l’université. Les lycéens ne savent rien et sont nuls et les enseignants enseignent comme s’ils ne savaient rien. On peut déplacer le problème entre le collège et le lycée. Exemple à Paris 7 : pas de proba et stats en L1 alors qu’il y en a depuis plusieurs années au lycée.
Chacun peut agir à sa façon et prendre sa part de la responsabilité collective. Notamment de la transition lycée-université.
En licence de maths, que est le dernier livre que vous avez lu ? Ah ! Pas de souvenir ou bien en première pour le BAC de français. Les littéraires dégoutent-ils les élèves ?
Table ronde à Lille, SMF en juin.
Prise de position de l’ADIREM ? Est-ce la peine ? Utile ? Tout en ayant un action en concertation avec d’autres.
On a déjà fait des motions mais cela est resté sur nos sites. Comment toucher le grand public ? Attention à ne pas multiplier le bruit.
Dans la lettre : 3 points :
Non scientifique minimal
Option maths pour les maths
Options en terminale (pour avoir trois matières scientifiques)
Ne pas être dans la confrontation. Besoin de soutien à ceux qui sont actuellement engagés pour négocier. Qu’avons-nous fait de la lettre ouverte ? Chaque IREM pourrait la communiquer aux animateurs car nous sommes un réseau d’institutions.
On pourrait extraire un point et appuyer. On pourrait communiquer des choses différentes des média ou revenir vers les media avec quelques éléments forts et précis. Il faut sans doute attendre que des précisions soient apportées pour ne pas parler dans le vide sur des rumeurs et des hypothèses qui risquent de s’avérer à côté de la plaque...
Mise en place du rapport de la mission Torossian-Villani |
Voir l’intervention de Charles Torossian dans la vidéo de l’ouverture des Journées académiques de Lille en hommage à Rudolf Bkouche (29e min.) : vidéo.
Formation initiale des PE.
Maquettes à modifier à l’université.
Place importante des IREM.
Laboratoires de mathématiques dans des lycées volontaires (y compris à l’étranger).
Formation horizontale (lesson studies) ESPE+IREM bilatéral universitaire/terrain
triptyque manipulation verbalisation conceptualisation (issu de Singapour)
À Caen, demande le 19 mars pour les laboratoires de mathématiques au lycée. doyen des IPR demande la création d’un laboratoire.
À Lyon, la rectrice demande des expérimentations, de laboratoires de math dans les lycées, sur les REP+ en collège, sur la formation contine des PE. Premières dates de rencontre prises pour réfléchir à des méthodes et actions : par exemple lessons studies sur fractions et décimaux. Il faut se préparer à répondre à des demandes.
Attention aux initiatives ou aux demandes locales qui risquent de créer des différences dans les académies. Il faut une organisation à une échelle nationale.
La question des moyens se pose. Il faut arrêter de faire des choses en heures supplémentaires. Dans le primaire, il y a des CPC mais peu sont mathématiciens. Il faudrait pouvoir former un grand nombre de CPC (faire la différence entre mission maths et matheux).
400 heures de formation initiale en mathématiques pour les PEs. Quand ? Il souhaite en mettre en licence, mais alors est-ce exigible pour entre en master ? au concours ? Il faudra convaincre les présidents d’université d’intégrer des mathématiques dans les licences.
Les licences pluridisciplinaires étaient ’interdites’. Peut-être que sera permis d’introduire des unités de mathématiques par exemple ?
Il y aura peut-être des modulations possibles.
À Poitiers, des UE de pré-professionnalisation en L2.
Les IREMs, formation de formateurs dans les circonscriptions ; tutoriels en ligne d’utilisation d’objets de manipulation ;
Le fait d’insister sur la méthode de Singapour nie les pratiques existantes.
Il y a des personnes qui, bien que non matheuses, ont les moyens de s’approprier les outils mathématiques.
Il faut faire attention dans : « manipuler, verbaliser, abstraire », beaucoup s’arrêtent après manipuler.
Interrogation de la mobilisation des IREMs sur le premier degré. Les acteurs sont sans doute plus à l’ESPE qu’à l’IREM. Il est très difficile de les remplacer dans leur classe pour qu’ils puissent venir à l’IREM.
Les moyens concernent la mise à disposition des collègues (décharges), un investissement des universités et que, pour le premier degré, les IENs soient d’accord pour partager leur mission.
« Expériences à Montrouge »
Comment former les formateurs CPC, PEMF, PFA ? Actuellement, ce qui est demandé pour les PFA pose question. Faire attention à ne pas faire que de la pédagogie générale sans faire de mathématiques.
Certaines académies sentent la nécessité d’avoir des CPC mathématiques dans chaque circonscription, ce qui est demandé aux IREMs, c’est de produire des ressources pour ces personnes.
Les laboratoires. Expérimenter : centre observé avec du matériel pour un bassin.
Lessons studies : des élèves avec un professeur et un amphi qui y assiste.
Comment pouvons-nous nous positionner par rapport aux appels d’offre ?
Certains inspecteurs ne souhaitent pas perdre leurs prérogatives.
Question de la méthodologie. Cadrage national pour limiter les investissements de chacun.
Il faut avoir l’appui de l’ESPE (notamment pour les moyens) pour pouvoir se lancer dans de tels projets. Il ne faut pas faire croire qu’on est capable de tout faire. Mais attention, les ESPEs n’ont pas d’heures pour cela. Le volume global en dehors des maquettes est contraint.
Laboratoires pour fabriquer des objets dans les fablabs pour faire des mathématiques.
Les rectorats devront mettre des moyens.
L’ADIREM peut se positionner. Mais pour l’instant, il n’y a pas de demande officielle.
Nous serons attentifs aux demandes et nous nous associerons aux démarches. Mais aurons-nous les moyens de travailler ?
Réflexion collective pour avancer sur le dossier. Réflexion sur les moyens et/ou l’organisation.
Il y a pas mal de choses intéressantes dans le rapport. Il pourrait y avoir un laboratoire de mathématiques dans les ESPE. Tous pourraient en profiter, même pendant une heure par semaine. Des après-midi activités mathématiques, des jeux de toute sorte avec des raisonnements, des mathématiques. Pour tenter de dépasser.
Il est nécessaire de rentrer dans la discipline, faire des maths et pas juste de la pédagogie
Diagramme de l’UDPPC -> le besoin en sciences doit se traduire dans
Si l’ADIREM se positionne, cela risque d’être vu comme un corporatisme.
Mathématiques et autres sciences : le côté interdisciplinaire a permis d’être écouté. Le choix d’une troisième option est très important, à condition de ne pas diviser ce qui est pour l’instant acté.
Interpeller Charles sur le sujet et tenter de le rencontrer pour réfléchir en amont suite à la discussion de l’ADIREM et peut-être le faire avant que le ministère officialise les choses.
Signature de la pétition (cf mél de Stéphane) qui reprend un éditorial de l’UDPPC.
Convention tripartite DGESCO - DGESIP - ADIREM et annexes |
Encore à l’état d’étude.
Le document a été relu par beaucoup de monde à la DGESCO. Stéphane a répondu il y a un mois mais pas de retours. Aucun retour de la DGESIP, notamment pas de notification budgétaire. Ce n’est pas très inquiétant, nous sommes encore dans les temps par rapport aux années précédentes.
Certains rectorats demandent chaque année la nouvelle convention.
- heures DGESCO
3 000 : 500 pour les PE : déséquilibre
1 550 : 1 495 secondaire : déséquilibre - budget DGESIP 2018 (nouveau fonctionnement avec secrétariat à Lille)
- Évaluation des actions de formation initiale (DGESIP) et continue (DGESCO)
Surtout la DGESCO : impact de l’action des IREMs sur les élèves
La MplS a investi 500 000€ pour évaluer leurs actions. On pourrait demander de l’argent ou des moyens à la DEP. Suivi sur le long terme, ce serait intéressant, mais c’est autre chose. Si on s’organise, cela peut peut-être se faire. Il faut faire un travail sérieux avec des moyens ou rien car cela aura des conotations locales.
Que peut-on proposer à la DGESCO ?
Michèle Artigue pose aussi ces questions. Quelque chose qui se diffuse plus par les pairs (au niveau des formateurs). Nous, on diffuse en direct. Les formations ne sont pas issues d’un groupe de la maison mais d’une réflexion nationale.
La DEPP ne se sent pas assez sollicitée. On pourrait faire appel et discuter avec eux.
Ce serait plus pertinent de recontacter les enseignants croisés en formation et leur demander si leur pratique a changé des choses, si ils ont observé des changements sur leurs élèves.
Évaluation aussi sur les animateurs IREM qui appartiennent à un groupe.
Reproche que les IREMs ne diffusent pas assez, mais jusqu’à quel point ?
GIS |
Cinq réponses (mél et papier). Faire une relance pour que chacun vérifie que les deux documents ont été signés et envoyés.
Mardi 27 mars 2018 de 9 h à 12 h 30 : réunion plénière de l’ADIREM |
Stéphane Vinatier, Anne Cortella, Chantal Ménini, André Sesbouë, Hussein Sabra, Christophe Hache, Jean-Yves Bruha, Michèle Gandit, Olivier Guès, Christophe Cuny, Magali Hersant, Christian Mercat, Josiane Nervi, André Stef, Malika More, Dominique Torunès, Sylviane Schwer, Frédéric Métin, François Recher
Pétition de l’UDPPC |
L’ADIREM s’associe à cette pétition.
Communiqué de presse du 14 février 2018
Présentation du réseau des IREMs sur Eduscol |
Souhait d’une vidéo d’expérimentation en classe à proposer. Il faudrait des arguments (voix off). Contacter Besançon.
PNF 2018-19 |
Pas d’appel à proposition. Contact sans réponse.
La CORFEM est d’accord pour continuer.
La COPIRELEM a le projet de faire son colloque à Lausanne, cela risque de poser quelques problèmes. Difficultés rencontrées.
L’an prochain, la CORFEM sera à Strasbourg. Seule la logistique serait à Strasbourg. Mais il faut pour cela des renseignements en avant pour initialiser le dossier. Les demandes de subvention doivent être faites avant septembre. Le colloque de cette année apportera des éléments chiffrés popur les prévisions. Les frais de mission des conférenciers peuvent être pris en charge par la DGESCO. Pas de frais d’inscription pour les stagiaires PNF. Attention à l’engorgement de colloques à Strasbourg, choisir les dates assez vite. Il faut dès maintenant commencer à monter le dossier. L’an dernier à cette époque le dossier était déjà avancé (cf PNF). Demande de financement à l’ESPE, crainte car plusieurs projets en cours. Le dernier budget était de 9 000€. À Montpellier, le budget était très large. Mais maintenant moins de frais d’inscription. Il faut trouver de l’ordre de 2 000€ (ou plus ?). Chantal fera l’intermédiaire pour obtenir le dossier de l’édition précédente.
Y a-t-il d’autres colloques du réseau que l’on souhaite proposer au PNF ?
CII Épistémologie et Histoire : sur l’avenir à l’ESEN à Poitiers.
Les CIIs organisent régulièrement des colloques. Le premier au PNF : Rouen il y a deux ans.
La CII lycée doit travailler à quelque chose en lien avec la réforme.
Option pour 2021 : que le séminaire ADIREM soit organisé par la C3I.
En 2022, si ICM est à Paris les IREMs seront associés. ICME est énorme aussi, Lyon avait été contacté.
Il y a aussi CERME.
Compte rendu du comité scientifique |
- Séance du 01 juin 2018 : programmes du lycée et BAC avec plusieurs invités.
- Séance du 28 septembre 2018 : Formation continue des enseignants du seconde degré
Puis.. CII Èpistémologie et Histoire, CORFEM et CII Didactique - Renouvellement des membres (mandat de 4 ans) - 3 réunions le vendredi dans l’année
— Dominique Poirier (enseignant en collège) remplacement à l’automne
— Marc Moyon (Repères IREM) renouvelable : Yves Ducel est d’accord pour le remplacer mais il faut contacter Publimath
— Cécile OuvrierBuffet (SMF) renouvelable :
— Robin Bosdeveix vient d’être nommé IG démission
Publication des postes vacants avant soumission à l’ADIREM.
Il n’y a personne pour le premier degré. Créer un poste supplémentaire, ce serait un affichage intéressant. Est-ce à l’ADIREM de demander cela ? Difficulté d’envoyer quelqu’un car il faudra le remplacer. Ou alors un PEMF. Ou bien encore un IEN (il y a déjà un IPR et un IG) éventuellement missioné mathématiques. Il faudra en parler au CS. Christian connait quelqu’un à Lyon.
Pierre Arnoux enverra l’appel à candidature.
Extension vers IRES ? Changement de nom du réseau ? |
Présentation de l’IRES de Toulouse. Expérience très positive. Pas de directeur en exercice. Xavie Buff en intérim. Panorama détaillé. Essentiel des groupes : mathématiques, Informatique, Sciences de la Vie, pluridisciplinaire. Pas de groupes sciences sans matheux. Il reste quelques groupes maths mais qui tournent difficilement. Très bonnes relations avec le Rectorat et l’Inspection, c’est sans doute grâce à ses fonctions nationales (CSP, CNU).
À Paris, groupes sans matheux.
Changement de nom : présenter un stage IREM en chimie ??
Attention : possibilité de désengagement des mathématiciens et des structures de mathématiques si changement de nom en IRES ou IRED.
Pas de consensus sur le sujet.
IREMPT pourrait être envisagé mais il faudrait ensuite ajouter d’autres lettres : PC...
Les animateurs matheux sont attachés au M.
Liens aves les Maisons pour la Science ? Cohabitation, efficacité.
À Grenoble, la recherche se fait à l’IREM et l’organisation des stages se fait à la MplS.
Les IREMs peuvent changer de noms s’ils le veulent mais il y a la question du réseau.
Attention à un alignement des UFRs (pertes en maths) à une comparaison avec les MplS.
Les IREMs sont sous les projecteurs, ce n’est peut-être pas le moment de changer de nom.
L’informatique est une nouvelle discipline qui entre dans les programmes.
Pour continuer à être IREM, il faudrait garder un lien avec les mathématiques.
À Marseille, volonté de monter le projet (1 service en physique et 1 service en informatique) les difficultés sont venues du rectorat. Ouvrir vers les autres sciences est une bonne idée, mais il faut garder les modalités de fonctionnement. Il faut gagner la confiance des IPR des autres disciplines.
Il faut peut-être changer les organisations internes avant de changer le nom plutôt que l’inverse.
Passer du département de mathématiques à la faculté des sciences, attention à la perte de moyens.
Ouverture aux autres sciences poussées par les MplS.
S’il n’y a que des mathématiques, l’identification est simple. Avec un élargissement, on devient plus flou dans l’institution. D’autres structures peuvent ressembler aux IREMs. Quelle est l’identité propre des IREMs ? Besoin d’affirmation. Par exemple, souci de soutenir des groupes sans perspectives de production préalables. Rendre visible le cahier des charges des IREMs.
Quel rattachement des IREMs localement ?
Strasbourg : 2 services -> 120 heures. Grand pôle avec le GIS ESPE, l’IREM était pressenti pour intéger le GIS. Les spécificités de l’IREM ont permis de différencier les missions non prises en charge par l’ESPE et la MplS. Garder la manière de fonctionner. Carte de visite et de qualité. L’ouverture est possible, notamment avec l’informatique (IREMI). Les moyens se font pour l’instant à l’intérieur de l’UFR Maths-Info. Poser des lignes claires pour la négociation. Résister à l’absorption. Le coeur doit perduer.
À Toulouse, IRES en même temps que la ’fusion’ des UFRs.
En Lorraine, composante de l’ESPE où il y a aussi la MplS. Même niveau même si moyens différents. Créer des choses, aide de l’IREM par expérience. Pas de problème d’identification par rapport à la Mpls ou l’ESPE. Le passage à l’ESPE a permis de conserver la strucure IREM.
L’angle de vue du CS est plus scientifique que celui des directeurs. Quelle est notre efficacité par rapport aux MplS, à l’IRES de Toulouse pour lire les effets sur le terrain ? On a du mal à savoir. Qu’est ce qu’on a à gagner dans une ouverture aux autres sciences ? On a l’impression qu’il y a une certaine efficacité.
Aider à produire des ressources en interaction avec les autres sciences.
Naïveté que l’on peut séparer l’idéal et les moyens. Comment allons-nous gérer les conflits de pouvoir et de moyens ?
Nous avons des modes de fonctionnement différents. Il serait intéressant d’avoir des présentations d’IREMs pour aider les uns et les autres à envisager d’autres modèles. On échange souvent sur des points particuliers, mais pas de vision globale.
Trouver le bon modèle ?
Chaque IREM fait ses choix. Pour le réseau, utilisant le cinquantenaire, on pourrait s’ouvrir. On en rediscute en juin.
Que demande-t-on à l’IRES de Toulouse : nous envoyer quelqu’un de Maths-Info ou le directeur ? On le laisse libre.
Maisons pour la science |
Expérience d’évaluation déjà évoquée hier.
Services centraux : plusieurs millions d’euro.
Mais le temps est compter. Les maisons cherchent d’autres mode de financement.
Bonne entente entre les MplS et les IREMs. Les MplS se tournent vers les IREMs.
Stéphane et Michèle sont invités à la prochaine rencontre le 06 avril 2018.
Groupes IREMs pour le primaire : presque partout.
Lyon : pas mal d’algorithmique, reproduction de figures
Lorraine : entrée dans les problèmes par l’image
Nantes : fractions
Grenoble : informatique débranchée, numération cycle 2, grange des maths : malette pour le primaire, levée de plan (géométrie pratique avec des instruments anciens),
Clermont : groupe commun IREM/MPSA a produit une brochure ’les nombres et le calcul avec la pascaline aux cyles 2 et 3’, trois goupes IREM cycle 3 avec des PE et Conseillers Pédagogiques : travail coopératif, géométrie et parcours d’évaluation
Dijon : utilisation de la pascaline, groupe cycle 3/4, robotique, traces écrites
Production de la CII Épistémologie et Histoire : Passerelles, histoire des mathématiques pour le cycle 3 (9 groupes dans 9 IREMs)
Bordeaux : géométrie cycle 3
Paris Nord : 1 groupe, liaison école-collège
Montpellier : nombre et calcul cycle 2 et 3 (sans action), cycle 3 sur les calculatrices (IFÉ) avec proposition d’actions au PAF
Lille : deux groupes (un de CPC et un de PE) dont un avec action ; thèmes : fractions, décimaux et géométrie et regard
Calendrier 2018/2019 |
- 24 et 25 septembre 2018
- 07 et 08 décembre 2018 avec journée des CIIs le 08 décembre 2018
- 18 et 19 mars 2019
- Séminaire ADIREM : 08 mai 2019 avant le colloque du cinquantenaire
Hébergement à Blois pour les directeurs d’IREM : renvoyer le fichier à Vincent
Inscription au colloque, contacter Vincent
- Le mandat de Stéphane Vinatier arrive à sa fin à la fin de l’année et Stéphane ne souhaite pas se représenter.
Serveurs du réseau |
Deux solutions : Lille / Mathrice
L’ADIREM est-il propriétaire du nom du site ? Pas en tant que structure juridique, c’est peut-être Marseille (qui paie tous les ans).
Les intervenants sur les machines : Lionel, Jérôme et Christian, tâches lourdes > constitution d’une équipe. L’OS serait géré par la strucutre d’accueil mais pas les applications.
Peut-on demander au CNRS une aide pour la gestion des sites ?
Soutien du CNRS aux IREMs ? Faire une demande auprès du GdS ? Pour l’hébergement, cela semble envisageable mais pour des tâches de maintenance cela paraît plus compliqué.
Difficultés (gros travail) pour le transfert. Demander à Lionel d’assurer le transfert.
André accepte de participer à ce travail. François en plus.
Refonte du site. Déjà discutée la dernière fois. La question pourra être rediscutée après attribution du budget.
Repères IREM |
La transition Topiques > IREM de Grenoble
Transition effective.
Le numéro de janvier : fabrication par Topiques. Grenoble a fait l’envoi (à 5€ le numéro).
350 abonnés à mettre à jour (fichier à nettoyer)
Bilan
À partir d’avril : fabrication complète.
Pas de contrat.
Dépenses : 1 200€ par numéro pour la mise en page (4 800€/an) + 6 000€ d’impression + 1 100€ d’affranchissement + 880€ de routage (mise sous pli + adresse)
Recettes : 4 800€ (pour 2018) (350x45€ en 2019)
Déficit : 7 980€
alors qu’au départ cela devait être équilibré.
L’imprimeur a été gardé pour l’instant. Un étude est en cours.
Comment expliquer ce déficit ?
Réflexion sur la diffusion électronique. Comment faire pour mettre à disposition en ligne, rendez-vous la semaine prochaine. Attachement à la version papier.
Le fait de faire un marché pour les trois revues va sans doute permettre des économies.
Il faut clarifier la situation 2018 et prévoir le budget 2019.
Les frais de mise en page sont-ils trop importants ? Peut-on faire moins cher ?
Il y a sans doute un temps de transmission, de transition car la propriété de Repères est à Topiques.
Il y aura, même avec un préformatage par les auteurs, un travail de mise en page.
Le GIS pourrait devenir propriétaire de la revue. Quelles relations ensuite avec Philippe Lombard ?
Étude avec openédition.
L’ARDM peut soutenir Petitx et Grandn.
Mise à jour des coordonnées des IREM |
Voir adresses des IREM sur le site du réseau.
François se propose de récolter les informations avant les envoyer à Jérôme.
Vidéos |
- vidéothèque du site pas à jour...
Rubrique Actualités/Manifestation
Dernier lien : CORFEM 2017
Alimenter cette page.
Sur site de Paris, plein de vidéos mais pas de base de données > étude d’avoir accès aux vidéos comme des livres et aussi sur HAL (pour bénéficier du référencement). Mais attention, HAL est pour la recherche.
Réflexion avec publimath au sujet des vidéos. - site de vidéos du GdS Audimathsde l’INSMI
Demande de diffusion et demande de ressources qui pourraient être taguées IREM. - outil de sous-titrage (proposé par Olivier Roizès) : Spexian
Financement des colloques du réseau 2018 |
- IREM de Lille pour les Journées Académiques en l’honneur de Rudolf Bkouche : 1 500€
- Université d’été européenne en Histoire des mathématiques à Oslo : 12 groupes IREM envoient des personnes pour y intervenir : prise en charge de 3 personnes de Nantes les autres ayant trouver d’autres financements : 1 500€
- CII Collège
- C3I : mise en place d’un DIU pour les enseignants prenant en charge le nouvel enseignement d’informatique
Formation nationale en distanciel + présentiel dans les universités
Avec ou sans temps pour les enseignants ? Mais diplomant.
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