vendredi 27 et samedi 28 mars 2015 |
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Vendredi de 9h30 à 10h30 : bureau de l’ADIREM (préparation de la réunion plénière) - Sophie Germain salle 2027 Vendredi de 10h30 à 19h : réunion plénière de l’ADIREM : Sophie Germain salle 2027 Samedi de 9h à 10h30 : session plénière de l’ADIREM et des CII : Halle Aux Farines amphi 1A Samedi de 10h45 à 12h00 : visite des CII : Halle Aux Farines - voir le planning des C2I dans la rubrique C2I puis bureau de conclusion. |
Ordre du jour et relevé de décisions
Plénière : vendredi - Sophie Germain Salle 2027, 10h30 |
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Nouvelles du réseau :
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Nouveaux directeurs :
- IREM de Lorraine : nouveau directeur pressenti André Stef : MC 25 en théorie analytique et probabiliste des nombres. Formateur pour la maison de la science, il intervient dans deux groupes IREM, dans Maths en Jeans, dans la licence pluridisciplinaire, la préparation au Capes,... Membre de l’APMEP. Candidature acceptée à l’unanimité.
- IREM de Dijon (l’après midi) : Camelia Goga est statisticienne, depuis 2005 à Dijon, spécialiste des sondages, et déjà impliquée dans les activités de l’IREM. Candidature acceptée à l’unanimité.
- IREM de Toulouse : Xavier Buff est remplacé par Xavier Bressaud, enseignant-chercheur à l’IMT en systèmes dynamiques, probas, stats ; impliqué dans Hippocampe, MathEnJean. Il sera directeur de l’IRES : l’IREM s’est transformé en IRES en juillet 2014 : un groupe sur la lumière (physiciens, chimistes), l’autre sur sciences et média (surtout SVT). Comment impliquer plus de monde des autres disciplines ? Le directeur de l’IRES pourrait à l’avenir ne plus être un matheux, il serait alors représenté à l’ADIREM par un directeur adjoint pour les maths.
Question F. V. : le problème des heures DGESCO ? Les heures académiques pourraient doubler pour l’IRES par rapport à ce qui était donné à l’IREM.
Question : articulation avec la maison pour la science ? Elle est très active sur la formation, contrairement à l’IREM qui sert de « prestataire » pour la MPS.
Question : tendance nationale IREM > IRES ? non, ça reste local (contre-exemple à Orléans)
Candidature acceptée à l’unanimité.
- IREM de Reims (l’après midi) : Cécile Ouvrier-Buffet est nouvellement recrutée en didactique des mathématiques, la procédure de nomination locale est encore en cours (avec des moyens pas encore définis) ; elle prendrait la direction avec un collègue Hussein Sabra (directeur adjoint ou co-directeur [Note : c’est finalement cette dernière possibilité qui aurait été retenue postérieurement à la réunion de l’ADIREM]). Elle vient de l’ESPE de Créteil, est intéressée par la création d’un groupe sur l’enseignement supérieur. Gilles Damamme tente de la recruter dans la CIIU ; elle se déclare intéressée sur le principe, sous réserve de trouver le temps ! Elle souhaite passer la main concernant son travail sur grand N pour en libérer (du temps), a trouvé des remplaçants. Pas encore d’heures pour les enseignants du supérieur à l’IREM mais espère en obtenir. Candidature acceptée à l’unanimité sous réserve que la procédure locale aboutisse favorablement.
Discussion sur la formation des enseignants : situation des formations et des bibliothèques, abonnements aux revues grand N, Repères IREM, petit x. |
Retour sur les heures DGESCO et rectorales : variable selon les académies ; vérifier que les heures académiques spécifiées dans la convention nationale ADIREM-DGESCO-DGESIP sont bien attribuées à l’IREM. Les nouvelles heures HSA qui remplacent les HSE seraient non fractionnables (à Strabourg) : 1 h/semaine à l’année = 36h à 40€, ce qui manquerait singulièrement de souplesse par rapport aux HSE.
Adoption du compte rendu de l’ADIREM de décembre 2014 adopté à l’unanimité |
GIS ADIREM
L’ADIREM s’est structuré en Groupement d’Intéret Scientifique : 5 universités en 2014, 6 de plus dans la boucle en 2015 (un avenant circule) ; dès qu’un nouveau « stock » d’IREM candidats se constitue (voir procédures locales dans un autre article), un nouvel avenant est envoyé... Une facture de 250€ sera envoyée aux universités signataires (pris sur le budget des IREM a priori).
Démarches locales entamées en Lorraine, à Lille, Clermont-Fd,...
Budget ADIREM 40000€ accordés par la DGESIP fin 2014, dont 5000€ versés en 2014 (qui ont permis le remboursement de dépenses du réseau avancées par certains IREM), restait 1400 environ, reportés à 2015, soit 36400€ pour 2015. Principaux postes de dépenses :
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Calendrier ADIREM
- On devrait avancer la 3e réunion (avec les CII) pour pouvoir inscrire les colloques nationaux de l’année suivante dans les PAF : les 29-30 janvier 2016 ? Une CII a déjà prévu de se réunir à cette date là. Ou bien l’ADIREM les 11 et 12 décembre 2015 avec la journée des CII le 12 décembre. Les autres ADIREM : 28-29 septembre 2015 (octobre : Fête de la science du 7 au 11, colloque EMF du 10 au 14, Journées APMEP du 17 au 20 octobre) ; 7 et 8 mars 2016 (vacances d’hiver se terminent le 6 mars, semaine des maths après le 14) ; séminaire ADIREM en juin (date fixée plus tard) à Strasbourg : séminaire international des IREM, avec des délégations étrangères accueillies toute la semaine, le séminaire à la fin. Attention aux dates de session du parlement européen à Strasbourg.
- Est-il raisonnable de (tenter de) relancer le réseau international ? D’après Gilles Damamme, il y a une demande dans les pays d’Amérique Latine (pour une alternative au modèle anglo-saxon) et internet permet d’y répondre à moindre frais. Montpellier a eu des relations avec Dakar, Reims avec le Niger, Paris 7 avec le Congo et le Cameroun, Rennes avec le Costa Rica ; Grenoble a des contacts avec le Maroc (visite sur place en lien avec un projet de création d’IREM dans plusieurs villes) ; La Réunion a des liens avec Madagascar, où des enseignants souhaitent relancer l’IREM.
- Demain les CII Corfem et Copirelem devraient fixer les lieux et dates de leurs colloques 2016 (trop tard pour les PAF ?) ; peut-être un colloque maths-sciences (CII collège ?).
- Séminaire ADIREM en juin à Toulouse : samedi après midi (16h30 -> ... ) après le colloque et dimanche matin (8h30 -> 12h).
- En cas de parution des colloques des CII au PAF, les frais de déplacement ne sont pas toujours couverts mais les enseignants ont une autorisation d’absence, ce qui pemet d’élargir l’audience des colloques.
Comité scientifique (Michèle Artigue)
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Numérisation massive, ressources en ligne, Publimaths
- Ressources malette diffusées librement en ligne (ou par clef USB), après problèmes de droits d’édition avec CANOPE.
- 6 modules m@gistère en cours
- processus de numérisation
- Philippe Lombard (éditeur de Repères IREM) a écrit à Fabrice, en réponse à la lettre envoyée après l’ADIREM de décembre. Il continue à réduire ses coûts et n’envisage pas d’arrêter. Réflexion en cours sur la transmission de la revue : il souhaiterait transférer à l’ADIREM l’édition de la revue (les abonnements et le routage), en ne gardant que la fabrication (mise en page et imprimerie, au prix du marché). Cela semble aller dans le sens d’une transition harmonieuse.
- Publimath numérise beaucoup (36 brochures anciennes d’Aquitaine !), voir procédure sur le portail des IREM. Certaines publications des IREM sont stockées dans l’archive ouverte HAL : il suffit de pointer sur HAL. Les IREM numérisent aussi les publications éditées au titre d’une CII. Les revues Grand N et Petit X sont déjà numérisées et accessibles sur le site de l’IREM de Grenoble (site pérenne, il suffit de pointer vers les articles). À terme il serait intéressant d’avoir tous les articles sur un même serveur pour pouvoir faire des recherches par mot-clé en plein texte sur l’ensemble des articles.
- l’APMEP souhaite réaliser une plateforme de vidéos courtes à disposition des enseignants pour qu’ils les utilisent en classe ou hors classe, avec une qualité vérifiée. Les IREM ont été sollicités pour créer une commission nationale commune (aussi avec ARDM) sur ce sujet, ce qui suppose que des groupes IREM se créent localement pour faire des vidéos... Des groupes créent déjà des vidéos, il faut les évaluer, les référencer, créer des parcours... Réunion nationale APMEP à la Halle aux Farines les 11 et 12 avril. Vidéos hébergées par CANOPE. Faut-il participer à ce mouvement ? Les enseignants consultés par l’IREM de Marseille étaient partagés à ce sujet, une bonne partie s’y opposait : créer des vidéos peut coûter cher en moyens et en temps. D’un autre coté, proposer une ressource de qualité dans ce domaine parait utile tant les productions visibles sur internet sont hétéroclites.
- Des classes de 5e sont équipées un peu partout de tablettes, avec l’idée de généraliser la mesure sous peu (2016 ?). Ce serait bien que des groupes IREM soient équipés pour produire des ressources qui les utilisent. Ce sont les collectivités locales qui équipent les établissements (pas de pilotage national), à voir dans chaque académie. Cela pourrait devenir une priorité du réseau ADIREM (avec des heures DGESCO à la rentrée 2015-16 et un colloque sur ce thème en 2017 ?). À La Réunion, Dominique Tournés contacte les enseignants de math déjà équipés pour leur proposer de créer un groupe IREM. La CII TICE pourrait s’intéresser aux tablettes.
Séminaire ADIREM à Toulouse Le colloque Pop’Maths a du succès : déjà plus de 120 inscrits (150 places maximum dans les salles). |
Relations IREM - ESPE
Il est souhaitable que la participation des personnels des ESPE aux groupes IREM puisse etre prise en compte dans leur service à l’ESPE. La convention ADIREM-DGESCO-DGESIP a diffusé dans les rectorats et fonctionne bien ; la plaquette d’information (verte) a circulé aussi dans les rectorats. Une plaquette (bleue) à destination des universités a été réalisée, il est plus difficile de la diffuser : la CPU ne semble pas intéressée, malgré le soutien du minsitère (Jolion notamment). Coté ESPE, la convention tri-partite a diffusé aussi en provenance du réseau des ESPE. Est-il souhaitable de faire des conventions locales ? Que mettre dedans ? Les groupes IREM alimentent la formation intiale et continue et pourraient etre reconnus en tant que « formation de formateurs » (plus ou moins réunions d’équipes pédagogiques dans les ESPE, sans enseignants « de terrain »). Ceci éviterait de donner des heures DGESCO aux formateurs 2e degré qui interviennent dans les groupes IREM.
- Dijon : rendez vous avec la présidence pour se rapprocher de l’ESPE ; l’IREM est actuellement dans l’UFR sciences et ne souhaiterait pas déménager ; le rapprochement avec l’ESPE pourrait aider à régler les problèmes d’heures (pas d’heures universitaires jusqu’ici). L’ESPE ne veut plus payer les missions aux CII d’un de ses membres. Une convention pourrait être signée, attention à préserver l’équilibre ESPE/IREM/UFR.
- Grenoble : situation cahotique à l’ESPE (pire qu’ailleurs !) et ça risque de durer... Très bonnes relations avec le rectorat, l’université. Deux PRAG de l’ESPE sont animateurs IREM, dont Michèle Gandit qui pourrait succéder à Christine Kanzanstev comme directrice de l’IREM (à condition qu’elle puisse avoir une décharge : 35h de cours hebdomadaires !). Christine souhaiterait que les heures IREM des deux animateurs soient prises en compte dans les services ESPE.
- Paris Nord : l’IREM de Paris a beaucoup de liens avec l’ESPE de Créteil, entrevue avec la directrice de l’ESPE, réunion prévue avec en plus l’IREM de Paris et le rectorat. Le Président de l’Université Paris Nord (et de la CPU) ne veut pas entendre parler de l’IREM. 96h pour l’IREM, pas de secrétaire.
- Strasbourg : l’IREM est une composante de l’UFR Maths-infos avec laquelle tout se passe (sauf rallye et actions de popularisation directement avec la présidence, suite à la Stratégie mathématique où Strasbourg était citée). Le GIS a rendu l’IREM plus visible au niveau de la présidence de l’université. Subvention sur une ligne du budget de l’UFR, heures universitaires pour les enseignants-chercheurs (l’ESPE prend-elle en charge les heures faites à l’IREM par ses personnels ? À clarifier). L’ESPE courtise l’IREM (et certains départements, dont les sciences de l’éducation) dans le but de mettre en place un GIS ESPE (local, une sorte d’ESPE élargie).
- Lille : l’IREM et l’ESPE n’ont pas d’acteurs communs. L’IREM communique ses propositions au PAF à l’ESPE (sans passer par les inspecteurs), qui les rentre dans le logiciel Gaia. Le rectorat a donné un nombre fixe de journées stagiaires à l’IREM, qui représente une baisse de 30% par rapport à l’an dernier. Pas de lien avec les formateurs en maths de l’ESPE, pas de volonté sensible de rapprochement de la part de la direction de l’ESPE.
- Poitiers : le GIS est dans les tuyaux, soutien moral (non chiffré), suppression du secrétariat de l’IREM dans l’air. Bons rapports avec le directeur de l’ESPE, notamment pour les publications : soutien budgété si des formateurs ESPE intégrent les groupes IREM (convention en préparation, prévoyant le respect des spécificités mutuelles). L’IREM souhaite rester dans l’UFR.
- Lyon : de moins en moins de place, beaucoup de formateurs de l’ESPE dans les groupes IREM, difficulté pour les rétribuer (avec seulement 96h provenant de l’UFR), heures supplémentaires payées grâce aux projets européens.
- Lorraine : l’IREM est intégré à l’ESPE et apparaît au même niveau que la Maison pour la science dans l’organigramme (pas avec les mêmes moyens). Situé à la Fac de sciences. L’ESPE accorde des moyens en heures pour les personnels de l’université animateurs à l’IREM. Les groupes IREM sont déclarés dans Gaia, avec l’accord des inspecteurs, et reçoivent des heures académiques pour les enseignants du 2e degré. GIS ADIREM : procédure en cours.
- Reims : les animateurs IREM présentent de façon autonome des contributions au PAF, en mentionnant leur appartenance à l’IREM. GIS : attendre un peu
- La Réunion : bonne situation (1 seule université, 1 seul rectorat, tout le monde se connaît). Nouveaux statuts pour l’IREM, rattaché au laboratoire de maths et d’infos. GIS en cours. Mêmes personnes à l’IREM, à l’ESPE et au laboratoire de maths. Un laboratoire a été crée à l’ESPE avec les chercheurs en Sciences de l’éduc et didactique, sauf mathématiques ; compréhension de la spécificité de l’histoire des IREM.
- Marseille : groupes IREM dans Gaia (5 réunions annuelles dont deux avec frais remboursés, heures DGESCO globalisées), animateurs IREM dans le master MEEF, pas de formateurs ESPE dans le groupes. Heures pour les universitaires.
- Rouen : IREM au sein de l’UFR Sciences et techniques, très bons rapports. La présidence de l’université voit moins bien à quoi sert l’IREM, considère son offre au PAF redondante avec celle de l’ESPE. Les animateurs IREM à l’ESPE l’ont quitté il y a peu (mauvaise ambiance) mais la direction de l’ESPE a changé, ça va mieux. IREM invité à une commission de préparation du PAF (harmonisation de l’offre) au rectorat, cité en exemple pour son offre et ses relations avec les IPR, ce qui a apporté une certaine reconnaissance au niveau de la présidence de l’université.
- Rennes : intégré dans l’UFR de maths, le directeur change tous les deux ans : le dernier était anti-IREM, reste environ 1 service d’enseignement pour l’IREM ; nouveau directeur plus bienveillant. L’ESPE dépend de l’UBO, de moins en moins de relations (sinon bénévoles, ou formateurs payés avec heures DGESCO). Rien côté PAF, sinon une journée d’étude et la présentation des travaux des groupes en fin d’année. Stages estampillés ESPE animés par des animateurs IREM.
- Brest : ESPE rattaché à UBO, IREM sous la présidence, physiquement à l’UFR Sciences et Techniques, un service plein d’enseignant-chercheur. Quelques formateurs ESPE dans les groupes IREM qui ne sont pas au PAF, seulement un colloque annuel : étudiants M1 et M2 de l’espe libérés pour le colloque par convention, sauf cette année où le directeur local a décidé que non. Rendez vous pris pour actualiser la convention.
- Bordeaux : IREM centre de ressources pour l’UFR de Maths. GIS ok. Peu d’heures universitaires : 10h par responsable de groupe et pour la directrice (référentiel), secrétaire à 20%. Pas d’enseignant-chercheur de l’ESPE dans les groupes IREM, un animateur IREM PFA, les PRAG de l’ESPE qui viennent à l’IREM reçoivent pour l’instant des heures DGESCO. Pas encore de contact avec le directeur de l’ESPE.
- Besançon : IREM rattaché à l’UFR Sciences, bonnes relations avec le rectorat, PAF harmonisé avec IPR, tous les groupes IREM et séminaires au PAF (sans frais de déplacement). Cinq personnes de l’ESPE (sur 7 en maths) participent aux groupes IREM, rétribués par l’ESPE (enseignants souvent en sous-service). Fédération de recherche très large, comprenant des personnes qui travaillent sur les questions d’éducation (dont quelques animateurs IREM).
- Montpellier : IREM dans l’UFR Sciences à l’abri de l’OPA (hostile) de l’ESPE. 2,5 services universitaires à disposition (en heures sup pour les gens de l’ESPE), heures HSE, contrat Unisciel, peut-etre IFé, heures de direction (référentiel) partagées avec le directeur du département (?) Nicolas Saby. Fusion de deux universités sur trois, IREM inconnu de la direction, ESPE dans la COMUE, « Faculté d’éducation » (UFR), situation complexe mais bons rapports humains. L’inspectrice responsable des relations avec l’IREM ne répond pas aux mails. 10 stages au PAF, groupe 1er degré (enseignants pas payés mais remplacés dans les classes). Heures des animateurs venant de la faculté d’éducation ne peuvent pas être prises en charge par elle (l’IREM n’a qu’à la rejoindre).
- Toulouse : la transformation IREM > IRES a été très bien vue par l’université ; heures universitaires, notamment pour les actions de popularisation, heures de décharge pour la direction, doublement des heures affectées avec le passage à l’IRES. Le rectorat a un pool de formateurs hors IREM, en concurrence avec les animateurs IREM qui ne sont pas bien vus des inspecteurs (reliquat de brouilles anciennes). Formateurs ESPE dans les groupes IREM payés sur les heures universitaires. ESPE dans une autre université, convention. PRAG au département de maths en service partagé avec un lycée.
- Caen : formation continue chapeautée par le rectorat, l’IREM intervient comme d’autres formateurs, certains animateurs mieux vus que d’autres. Convention IUFM-IREM-rectorat, devenue rectorat-université, nécessite de rendre des comptes (rapport, projet d’activités). Liens avec des formateurs ESPE mais pas dans les groupes IREM. IREM service commun poussé à intégrer l’ESPE, ce qui pourrait aider à mettre en place des actions de terrain. Difficulté à trouver un successeur pour la direction de l’IREM, peut-etre à l’ESPE.
- Paris : plus d’une centaine d’animateurs, dont une douzaine de formateurs à l’ESPE (presque tous), pour lesquels il serait bien que l’ESPE prenne en charge les heures ; l’ESPE bénéficie de leur travail à l’IREM (exemple : stage « problèmes ouverts » à l’ESPE pour le primaire). Harmonisation de l’offre de formation continue (IREM pour le 2e degré).
À Nice, l’IREM devrait renaitre au sein de l’ESPE (en Lorraine, l’IREM est déjà au sein de l’ESPE).
À Orléans, problème avec la vice-présidente « formation » de l’Université d’Orléans, qui ne veut pas nommer Philippe Grillot à la direction de l’IREM, bien qu’il soit volontaire. Une possibilité serait de voir si on peut monter un IREM à Tours.
À Amiens, où il n’y a plus d’IREM, un groupe pourrait se monter autour de la popularisation des maths. Fabrice les a invité à se rapprocher de la CII Pop’Maths, voire à participer au colloque de Toulouse.
Plénière : samedi : ATTENTION Halle Aux Farines, 9h |
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Présentation des CII - amphi 1A |
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