Tour de table
Présentation des nouveaux directeurs, des futurs directeurs pressentis :
- IREM de Lorraine : Nicole Bardy-Panse est reconduite dans ses fonctions à l’unanimité,
- IREM de Paris 7 : Christophe Hache présente Fabrice Vandebrouck pour sa succession à partir de septembre 2011. Sa candidature est validée à l’unanimité.
Tour des directeurs d’IREM qui arrivent en fin de mandat :
- à Clermont-Ferrand : Thierry Lambre succèderait à Alex Esbelin,
- à Montpellier : pas de successeur déclaré à Nicolas Saby,
- à Limoges : plusieurs candidats possibles dont Pascale Sénéchaud qui représente Abdelkader Nécer à cette réunion de l’ADIREM,
- à Toulouse : la reconduction de Xavier Buff pour un deuxième mandat est pressentie,
- à Paris Nord : Frédéric Clerc arrive en fin de premier mandat,
- à Aix-Marseille : au mois de juin, Lionel Vaux se présentera comme
successeur de Christian Mauduit.
Compte rendu
L’approbation du compte rendu de l’assemblée précedente est reportée. En vue de sa publication, une réécriture en est demandée. Devant l’absence de volontaires pour faire ce travail, Nicole Bardy-Panse et Frédérique Plantevin acceptent de reprendre le texte.
Comité scientifique
Composition et mode de renouvellement du Comité Scientifique, désignation de son président : une modification des statuts est demandée.
Les mandats du président et des autres membres nommés par l’ADIREM seraient disjoints. Michèle Artigue est candidate à la présidence du Comité Scientifique ; elle est actuellement hors statut car elle a déjà rempli deux mandats consécutifs au Comité. Le texte proposé par Jean-Pierre Raoult est adopté à l’unanimité.
Budget
La CII Didactique a manqué la date de demande de subventions (Novembre 2010). Elle demande 1500€ (sur un budget de 5250€) pour le colloque organisé avec l’INRP et l’ARDM en mai 2011 (et qui coïncident avec les journées de l’INRP).
Les déplacements d’Olivier Roizès (1/2 ETP [1] - voir plus loin) ont été jusqu’ aujourd’hui financés par l’IREM de Montpellier, ce qui commence à gréver son budget. 1000€ sont demandés. Les 3000€ votés en novembre 2010 pour les déplacements de la présidence (réunions aux Ministères, réunions à la DGESCO) sont répartis en tenant compte de ce besoin. 1000€ pour Brest, 2000€ pour Montpellier (moitié pour N. Saby, moitié pour O. Roizès). Ce financement sera mis en oeuvre par le biais d’une convention signée entre Dijon et Montpellier d’une part, Dijon et Brest d’autre part.
Michèle Grillot présente une action de l’IRES d’Orléans pour laquelle elle envisage de demander une subvention de l’ADIREM l’année prochaine. La Journée académique des mathématiques, organisée habituellement par l’IREM d’Orléans, deviendrait en 2012 une manifestation de deux journées, de portée nationale, avec des universitaires, pour valoriser les initiatives de popularisation des mathématiques. Une des finalités serait de répertorier l’existant et de faire le point pour faire percoler (!) les bonnes pratiques. Animath est partie prenante, autant que les IREM. Stéphane Cordier, Directeur du Laboratoire, en a parlé à la SMAI, à la SMF, à la SFdS, au CNRS, à l’INRIA, à Orléans-Tours, à l’ADIREM, à la CFEM, au Ministère. Au conseil scientifique de cette manifestation : J.-C. Yoccoz, Étienne Ghys, Cédric Villani, Charles Torossian, Jean-Pierre Raoult (?) et Michèle Artigue (?).
La question de la subvention des actions locales de chaque IREM est récurrente. Il est rappelé que l’ADIREM n’est pas une agence de moyens. Son évident engagement dans chaque projet ne se mesure pas au budget qu’elle lui alloue. La question de ce qu’elle finance et à quelle hauteur n’est pas tranchée a priori et est étudiée au cas par cas, en fonction des capacités financières de l’IREM concerné. En ce qui concerne les journées d’Orléans en 2012, la discussion aura lieu en novembre 2011 en même temps que les demandes des CII.
N. Saby fait part à l’ADIREM de la question du financement de l’école d’été de didactique. La CII-Didactique et l’ARDM organisent le
séminaire national de didactique à Carcassone en août sous forme d’une
école d’été de didactique. Ce sont d’abord les IREM qui financent leurs animateurs pour participer à cette école d’été récurrente. Il serait bon d’inscrire cet événement dans les réunions de la CII de façon à pouvoir trouver des financements pour les déplacements des animateurs (et soulager ainsi les IREM). L’INRP/IFÉ, via le groupe (CD)Ampères, supporte la charge principale.
La proposition de budget est adoptée à l’unanimité.
Suivi des PAF [2]
Jean-Pierre Raoult s’excuse de ne pas être présent mais a préparé un document recensant l’évolution des offres du PAF. Dans de nombreuses académies ces offres ont subi de grandes réductions. Dans trois académies, Rennes, Bordeaux et Dijon, il n’y a eu aucun appel d’offre.
- Limoges : pour l’offre et le cadrage du budget, le rectorat s’annualise désormais par année civile. Ceci a écourté des stages - dans d’autres disciplines que les mathématiques. Les enseignants s’inscrivent maintenant en différé, ce qui ne simplifie pas les choses. Les concours internes sont une exception par rapport aux autres stages, lesquels sont pour la plupart proposés à partir du mois de décembre.
- Montpellier : une commission se réunit en janvier, identifie les besoins en formation (lesquels sont publiés fin février) et transmet aux Universités des appels sur tel ou tel sujet. L’IREM a proposé 10 stages en 2011-2012 (650 jours stagiaires), de nombreux réduits de 3 à 2 jours. On note des offres de formation collectives.
- Lorraine : un appel d’offre a lieu le 8 février mais il est possible de faire des propositions hors de ce cadre. On apprend après cette date que la formation continue a un budget en baisse de 45%. Un problème majeur est la mise en
place de la formation des stagiaires ; l’IREM a proposé une formation « continuée » disciplinaire pour ceux-ci. Les relations IUFM/Rectorat ne sont pas bonnes et les conventions bancales : l’agrégation interne, par exemple, n’est pas incluse dans le service statutaire mais en « déplacements ». Les agents comptables doivent trouver des arrangements. Plus généralement, tous les Rectorats attendent de savoir combien de stagiaires ils auront l’année prochaine. Les déplacements pour les CII ne sont plus pris en charge par le Rectorat.
- Besançon : huit stages qui sont des réunions avec les IPR, un stage qui fait doublon avec l’offre du Rectorat.
- Rouen : pas de problème pour l’instant. Mais l’Académie compte 6 animateurs CII (Lycée, Collège, Géométrie, Jeux) inscrits au PAF, ce qui représente 18 déplacements annuels : le rectorat devient tatillon (il demande un unique animateur par CII et des dates fixées à l’avance pour l’année qui suit !)
- Rennes : aucun appel d’offre ! Aucun stage proposé accepté. Les déplacements pour les CII, en revanche, sont bien pris en charge - deux pour la CII-Lycée. (C’est moins cher qu’un stage !)
- Bordeaux : d’habitude un appel d’offre en décembre ou en janvier. Cette année : toujours rien de demandé ni de déposé par le Rectorat et seulement 2 stages proposés par l’IREM.
- Dijon : pas d’ouverture d’appel d’offre. Seuls des stages en établissement sont proposés. Il n’y a pas de budget « déplacements », tout est pris pour la formation des stagiaires.
- Toulouse : pas d’ouverture de GAIA.
- Créteil Paris-Nord : GAIA ouvert, 3 stages de l’IREM ouverts.
- Grenoble : baisse du budget de 10%. Thèmes privilégiés : algorithmique, proba-stat, collège (sans doute pas), évaluation des compétences, tableaux numériques.
- Strasbourg : les IPR sont en amont des décisions. Statu quo pour l’instant mais l’avenir n’est pas rose.
Les Proviseurs/Principaux ont le droit de faire des ordres de mission « sans frais » (pas le Recteur) ; ils n’acceptent plus d’en faire « avec frais ». Les questions d’assurance sont épineuses : signer nous-mêmes des OM sans frais ne couvre rien du tout : l’IREM n’est pas employeur principal et ne peut pas missionner. La solution, évoquée par J. Bailet, de faire faire des OM sans frais par les chefs des établissement concernés est-elle plus fiable ? Il est problématique de cautionner des déplacements pour lesquels les enseignants ne seraient pas couverts. Thierry Raoux creuse la question.
Application PAF de Lille
Le bilan réalisé à partir de cette application sera mis en ligne dans la rubrique Formation continue. Cet article explique la marche à suivre pour remplir l’application.
Les stages inter-académiques posent problème : manque la possibilité de doubler les descriptifs.
L’enquête DGESCO comptabilise le nombre des stages. Il est noté que les IREM en proposent de nombreux. Il faut donc faire figurer la mention IREM des stages de manière à ce que notre implication soit visible. Nous risquons sinon une érosion de nos arguments dans les discussions avec la DGESCO.
Il serait intéressant par ailleurs de pouvoir spécifier l’ontologie du moteur de recherche pour le rendre plus performant. Cette expérience pourrait s’étendre à d’autres disciplines.
Présidence du Comité Scientifique
Jean-Pierre Raoult, après 7 ans de présidence du Comité Scientifique, propose Michèle Artigue à sa succession.
Michèle Artigue se présente à l’ADIREM et explique pourquoi elle accepte de répondre favorablement à la sollicitation de Jean-Pierre Raoult. « Je crois aux IREM. C’est une institution créée dans les remous et enthousiasmes de 68. Elle a su évoluer tout en restant fidèle aux valeurs de ses débuts. Un Comité Scientifique est nécessaire : il joue un rôle interne comme soutien et accompagnement de la vie du réseau, il permet une analyse réflexive sur le travail des IREM tout en étant solidaire, et tient un rôle d’interface avec le monde extérieur. Les IREM sont cités par le Ministre comme structure sur laquelle s’appuyer dans le Plan sciences.
Je dois personnellement beaucoup aux IREM, je suis rentrée dans ce chaudron (magique !) au cours des années 70 et j’y ai baigné toute ma carrière. J’y ai connu de belles expériences heureuses et réussies comme avec André Revuz, l’école expérimentale de Melun dans l’équipe de François Colmez et Jacqueline Robinet, ou, avec les physiciens, la mise en place des
sections expérimentales math/physique. J’ai passé aussi quelques belles
années dans l’IREM de Reims.
Je place ma candidature dans une grande continuité avec la présidence de Jean-Pierre Raoult même si je n’égalerai pas l’énergie qu’il y a déployée. C’est un défi impressionnant. Je suis sur la même longueur d’onde que lui concernant les modes de fonctionnement et de relations avec les IREM ainsi que pour la position réflexive et le rôle d’aiguillon du Comité Scientifique, sans être dans le jugement.
Jean-Pierre continuera à collaborer pendant encore un certain temps, ce qui m’a rassurée. De ce fait, succéder à Jean-Pierre devrait être facile, en fonction des souhaits de l’ADIREM et des IREM, dans le contexte qui est le nôtre et en saisissant les opportunités qui s’offrent à nous. Notons que Jean-Pierre Kahane avait impulsé une dimension politique au Comité Scientifique qui est maintenant une vitrine des IREM et un interlocuteur incontournable dans le paysage des mathématiques françaises. Mais la responsabilité politique relève de la présidence. »
Jean-Pierre Raoult assure Michèle Artigue qu’il continuera à lui prêter main forte si elle le juge nécessaire et à travailler pour le réseau des IREM. Ceci devrait permettre une transition sans heurt.
Vote à l’unanimité : Michèle Artigue est élue présidente du CS à compter du 1er octobre 2011.
L’assemblée remercie Michèle Artigue d’accepter cette mission et se félicite d’avoir une scientifique de sa qualité pour présider le conseil. Nous remercions Jean-Pierre Raoult de tous ses efforts au service du Comité Scientifique et du réseau des IREM.
Nouvelles du CS
Réunion de décembre :
- La CII-Lycée Technologique a été par le passé étroitement associée à l’élaboration des programmes ; elle ne l’est plus. Il serait bon que le réseau opère un réinvestissement à son sujet - par exemple par un rapprochement avec la CII Lycée Professionnel, laquelle a retrouvé une pleine activité en quelques années, même si les enseignants sont différents.
- La CII-Rallye est emblématique des mathématiques « périscolaires », c’est-à-dire hors des programmes stricto sensu. Le site du comité scientifique de Math en Jeans a été présenté par J.P. Grihon. La nébuleuse des organismes Animath (Martin Andler) est caractérisée par sa bonne insertion dans les Universités et dans les Etablissements. Une perspective possible de développement serait de favoriser les actions dans les Etablissements.
- À propos de la formation continue des enseignants : l’avis formulé par le CS est à diffuser. La situation est scandaleuse et notre mission est de rendre public son caractère inadmissible.
- PISA : un débat très intéressant a eu lieu. Franck Salle a présenté « L’école capitaliste » et « Le niveau monte » de Christian Beaudelot. Caroline Bardini, auparavant MCF à Montpellier, maintenant à l’université de Melbourne, représentante française au sein du Consortium, nous a tenu au courant de PISA 2012 à dominante mathématique : maîtrise de la langue, culture scientifique et culture mathématique (mauvaise traduction de mathematical literacy). À venir, le 2 avril à Marseille : l’Ecole de la deuxième chance, 360 chemin de la Madrague Ville, place des Abattoirs, 13344 Marseille cedex 15.
- Socle commun : la CII collège. Il faut séparer l’évaluation du socle et le système des petites croix dans un cahier, avec effets pervers : on constate une distorsion en fin de 3ème entre le brevet national et la validation du socle des compétences, lesquels semblent en contradiction. Un vœu des collègues : des travaux dans les IREM pour montrer l’intérêt du socle et ne pas pervertir cette idée théoriquement intéressante. La question principale est l’évaluation automatique : il semble qu’en pratique les collègues ne soient pas capables de faire correctement cette évaluation. Quelles remédiations proposer pour les élèves qui échouent à ces évaluations ?
La COPIRELEM est à réactiver sur la question, elle doit avoir des choses à dire sur le socle commun.
- ISN [3] en Terminale S : Denis Pinsart et Robert Cabanes ont explicitement engagé les IREM à faire des offres de formation dans cette direction, même si mathématique et informatique sont bien distinctes. Cette spécialité va-t-elle empiéter sur la spécialité math ? En 2012 environ 1/4 des Lycées ouvriront vraisemblablement une telle spécialité.
L’inspection Générale a passé une convention avec Limoges pour une « e-formation » en direction des professeurs de ladite spécialité.
- Un vote électronique a eu lieu entre l’ADIREM de novembre 2010 et celle-ci concernant la nouvelle composition du CS. Deux nouveaux membres, proposés respectivement par la SMF et par la CII-Collège ont été élus. Il s’agit de Yann Lefeuvre et Dominique Poiret-Loilier.
Actualités du réseau
La convention avec la DGESCO. Le MESR au travers de la DGESIP a eu communication de la convention bipartite que la DGESCO devrait signer avec l’ADIREM. Auparavant (la dernière remonte à 2006), cette convention était tripartite.
Une convention devrait s’établir pour 4 ans, négociée tous les deux ans. Les bilans et rapports d’activité devront être fournis à la DGESCO au 1er octobre de chaque année ainsi que la répartition des heures DGESCO déglobalisées.
Les moyens seront discutés chaque année après une réunion début juillet entre les représentants de l’ADIREM. Il faut un état des lieux des prévisions de rapports d’activité, au niveau de l’ADIREM et des CII.
Déglobalisation des moyens. La globalisation des budgets académiques, qui ne sont plus fléchés mais globaux, font que les moyens disponibles dans les Académies sont au bon vouloir de ces Académies ; cela nuit aux activités comme celles des IREM et de l’ADIREM, car une politique nationale est impossible. Le Ministère cherche à revenir en arrière de la LOLF sur ce point. Les moyens pourtant n’ont pas été augmentés lors du passage à la LOLF. Les Recteurs verraient une ponction de leurs moyens d’un très mauvais œil. Nous serons vraisemblablement un poisson pilote pour d’autres conventions telles que l’ex-INRP qui n’a plus la main sur les moyens qui lui étaient alloués (environ 100 fois ceux de l’ADIREM), lesquels sont mis à la disposition des Recteurs.
Les budgets des Ministères sont définis tous les ans. Ni l’ADIREM ni la DGESCO ne peuvent s’engager sur des moyens, même sur des « priorités nationales ». On peut cependant se mettre d’accord entre nous sur ce qui est choisi comme priorité. Cette règle de priorité pourrait par exemple s’appliquer pour pouvoir faire vivre deux années successives un groupe qui se monte dans un IREM en réponse à un appel national de l’ADIREM (comme cela a été le cas pour l’épreuve pratique au baccalauréat, pour l’algorithmique et la logique). De même, la DGESCO ne peut pas s’engager sur une prolongation du 1/2 ETP qu’elle a octroyé même si, par ailleurs, nos interlocuteurs comprennent la nécessité d’une pérennisation de ces moyens.
La DGESCO demande de faire remonter une liste de « correspondants académiques » qui serviraient de relais informels entre l’IREM et la DGESCO. Ce correspondant pourra être membre du Rectorat, membre du Conseil d’Administration de l’IREM, par exemple un IPR avec qui les rapports sont particulièrement étroits (plutôt qu’un responsable de la formation). Quels pourraient être exactement ses prérogatives et comment le désignerions nous ? Il est positif que la DGESCO nous le demande, d’une manière souple. Ils auraient pu le faire en passant par les Recteurs, sans nous demander notre avis. Il faut bien sûr repasser par l’ADIREM une fois que la liste est établie.
Définition et rôle :
- Connaître la liste de tous les formateurs de l’IREM. Il connaît les interlocuteurs au Rectorat mieux que nous. Il inspecte aussi nos formateurs.
- Connaître les moyens attribués à l’IREM (aussi bien les moyens globalisés que non globalisés, ainsi que les moyens en ETP).
- Aider à l’organisation des nominations sur les postes mis à disposition de l’IREM.
Ce correspondant sera un relais fort jusqu’au plus haut niveau du Rectorat pour faire fonctionner des dispositifs spécifiques et des montages spéciaux.
Il doit être un coordonateur et un relais, sans être un pilote. (Il ne faut pas donner le bâton pour se faire battre.) Il doit aider et faciliter les relations entre l’IREM, le Rectorat et la DGESCO. Tout rôle normatif serait inacceptable.
À la demande de la DGESCO, chaque IREM communique à l’ADIREM, qui le transmettra à la DGESCO, le nom d’un Inspecteur Pédagogique Régional, de préférence membre de son Conseil, qui a pour rôle de favoriser les relations entre l’IREM et les instances académiques ; ce « correspondant académique de l’IREM » a pour mission d’aider aux relations entre l’échelon national et l’échelon académique concernant les intérêts de l’IREM ; le directeur de l’IREM et son correspondant échangeront les informations nécessaires au bon accomplissement de cette mission.
Chaque IREM sollicite l’IPR de son choix, lui demande s’il accepte cette mission ; à réception de son accord, il transmet son nom à l’ADIREM qui en collecte la liste et la transmet à la DGESCO. Cette liste sera régulièrement revue.
Réunion DGESIP
La réunion s’est faite avec Alain Coulon, du service de la Stratégie de l’Enseignement Supérieur et de l’Insertion Professionnelle.
Cette reprise de contact avec le MESR avait pour but d’éclairer certains problèmes, notamment budgétaires. Les moyens attribués par le MESR ne sont plus fléchés mais globalisés dans les contrats quadriennaux et reversés aux IREM après votes aux CA des universités. Les crédits du réseau des IREM sont gérés par l’IREM de Dijon. L’Université de Bourgogne n’a pas une vision claire de cette question, spécialement dans le contexte de la LRU et des compétences élargies.
La DGESIP ne voit pas d’objection à nous aider (nos budgets sont complètement
ridicules pour elle) mais cherche un cadre juridique :
- flécher un budget pour l’université de Bourgogne (il faudrait vérifier que ça existe « en base » (?)) ;
- déterminer un statut pour l’ADIREM : une convention avec une assemblée n’est pas possible ; la DGESCO a fait un précédent, mais cela n’arrange rien en fait.
Des propositions (après insistance) :
- une conférence comme la CPU,
- une association loi 1901.
Pourquoi ne pas nous constituer en association ? Parce que nous sommes une émanation de l’Institution et non une association d’individus privés. Les structures institutionnelles au sein du Ministère sont malheureusement mis en coupe : la CPU, par exemple, n’a pas de statut à l’intérieur de l’Institution. En quoi ce qui serait décidé dans l’association pourrait-il s’imposer aux IREM non membres de l’association ?
Aux débuts des années 70, il y avait une coordination forte des IREM au travers d’un pilotage institutionnel, avec publication au bulletin officiel. Les dernières réformes LOLF, LRU et compétences élargies ont rendu caduc ce tableau.
Questions :
- Une conférence doit-elle être formellement une association loi 1901 ?
- Possibilité d’un Groupement d’Intérêt Scientifique (GIS) ?
Notre contact CPU/ADIREM se nomme Daniel Filatre.
Dans le contexte de l’allocation des moyens des Universités, il serait utile de proposer des indicateurs : nombre de jours stagiaires, nombre de stages, nombre de formateurs, nombre d’heures de formation, nombre de publications. Remarquons qu’une heure de formation continue IREM coûte 40 euros, qu’une heure de formation privée coûte 2000 euros.
Le Ministère est sans-doute preneur d’indicateurs.
Allocation des moyens par le modèle sympa
Autres aspects pouvant peser dans des négociations avec les Présidents d’Université : la possibilité pour des stages du PAF de valider des éléments de master pour les formateurs. La possibilité de mettre les IREM dans les maquettes de master. Les labos de recherche sont ceux sur lesquels s’appuient les masters : la possibilité de proposer les IREM comme laboratoire d’accueil.
Christophe Hache nous fait part du Master enseignants qui permet à Paris Diderot de valider des UE de masters par la participation à l’IREM.
Journée CII
9:00-13:00 tournée des CII :
L’ADIREM visite les CII pour faire le point sur leur travail.
Souvenons-nous de l’époque glorieuse où les responsables CII participaient à l’ADIREM, ce qui permettait de se tenir au courant mutuellement.
Le fonctionnement suivant est proposé : les directeurs se répartissent les CII en fonction des affinités.
- CII-Collège (en commun avec CII Lycée jusqu’à 10h30),
- CII-Lycée Technique (prévu les 19 et 20 mai),
- CII-Lycée Professionnel (prévu les 27 et 28 mai),
- CII-Université,
- CII-Didactique (prévu le 1er avril),
- CII-Épistémologie (a eu lieu du 18 au 20 mars),
- CII-Stats-Proba (à 14H),
- CII-Géométrie (a eu lieu du 18 au 20 mars),
- CII-Maths-info CI3M,
- CII-Publimath,
- CII-Lycée,
- Repères IREM (a eu lieu la semaine dernière),
- COPIRELEM,
- CORFEM,
- CII-Rallyes et Jeux Mathématiques,
- CII-International.
1/2 ETP DGESCO
Monsieur le Recteur de l’académie de Nantes ne nous a pas permis de recruter Guillaume Caunand.
Il a fallu solliciter d’abord les IPR, puis les Secrétaires Généraux, puis les Chefs d’Etablissement, puis les responsables des Ressources Humaines, afin d’être sûr qu’un recrutement est possible : c’était très lourd.
Les excellents rapports avec les IPR et le secrétariat général de l’Académie de Montpellier, ainsi que les budget et moyens de la DGESCO, ont permis de recruter Olivier Roizès sur un 1/2 ETP annualisé (temps plein déchargé sur le second semestre) malgré un gros défaut d’enseignants sur l’Académie.
Aucune projection sur l’avenir n’est possible (malgré des promesses si le budget le permet).
Dans le cahier des charges d’Olivier, trois axes de travail pour cette année :
- explorer les Plans Académiques de Formation (tâche initiée par Patrick, Saïd et Abdelkader), faire évoluer l’application de recensement (avec pour contacts Jocelyne Bayard et Mme Gohin par René Cori), situer le travail des IREM par rapport aux autres disciplines, proposer une brochure de présentation accessible, ainsi qu’un document d’analyse de l’offre ; aspects plus qualitatifs : caractériser des activités exemplaires, discuter avec les formateurs de ces stages ;
- soutien aux CII ;
- soutien à Publimath.
Option de Terminale ISN
Le prototype de cette réforme s’appelait « Informatique et Société Numérique ». De « société » on est passé à « sciences ». Cela modifie le vivier des enseignants.
Notre contact au Ministère est Robert Cabanes (cf le paragraphe « Nouvelles du CS »).
Jean-Pierre Raoult a permis qu’une représentation de l’ADIREM (composée d’Alex Esbelin, Denis Pinsart et Michel Mirat) soit reçue par le groupe d’experts.
Ambiance de franche suspicion initiale jusqu’à un franc enthousiasme.
Cette entrevue a cependant peu fait évoluer les opinions des experts à cause du cadre rigide du projet de programme.
Ce programme est prévisible dans ses contenus. Il présente le même défaut de « saupoudrage et visite touristique » que le programme de mathématiques, et ce malgré les mises en garde concernant la nécessité d’aborder franchement certains concepts.
Un document de propositions a été rédigé et est disponible dans le « Coin des directeurs ». Les projets sont disponibles depuis sur internet. La CII-Lycée a proposé de fonder un groupe spécifiquement dédié à la spécialité ISN. Deux axes de travail : commentaires du programme comme a été commenté le programme de Seconde ; d’autres commentaires plus généraux pour susciter la discussion au sein des IREM.
D’autres avis ont été sollicités comme ceux de la CI3M Math-Info. Il semble que son champ d’investigation ne recouvre pas cette question. Alex Esbelin suggère que la CII-Lycée se charge du dossier ; il suggère aussi que, pour aplanir les difficultés de juridiction, la CII-Math-Info soit renommée CII-TICE.
La question se pose ici de l’antagonisme possible entre les points de vue des différentes CII. Ces contradictions sont le reflet de la richesse des débats. L’ADIREM peut ou non trancher entre ces différents avis.
Au CA de la SMF, il y a eu des critiques de ce programme pour son contenu trop technique ; il n’y a pas eu en revanche de critique virulente de la manière dont il a été élaboré. Brigitte Vallée trouve le programme ISN intéressant mais trop fourni.
L’APMEP et la SPECIF vont rencontrer le Ministère.
Qui va l’enseigner ? Ce qui est prévu à moyen terme par le ministère est :
- 1/3 d’enseignants de Mathématiques,
- 1/3 d’enseignants de Physique-Chimie,
- 1/3 d’enseignants de Sciences de l’Ingénieur-Technologie.
La réalité est que ce sont ces deux dernières catégories d’enseignants qui ont le plus de marge de manoeuvre. Ce n’est pas un problème pour les Proviseurs mais plutôt pour l’Inspection Générale.
Aucune discipline n’est bien préparée ; il y a deux aspects disciplinaires opposés :
- reprise de l’algorithmique (les physiciens ne semblent pas préparés),
- aspects technologique et juridiques (les mathématiciens ne sont pas préparés).
L’Inspection Générale est consciente qu’il faut former entre 1000 et 2000 professeurs par le biais de formations locales. Ils n’ont pas d’autre choix que de commencer sur une petite échelle. Ils vont tout d’abord repérer les enseignants capables de commencer dès l’année prochaine (un petit vivier possédant un cursus spécifique), puis se fera une élaboration progressive des formations à une échelle plus importante. Tout cela dépend très fortement des Académies, des enseignants, et du type de formation (formation lourde ou non). Les IREM ne peuvent pas prendre en charge ces formations dans leur ensemble, mais ce serait une erreur de les déléguer entièrement aux Départements d’Informatique ou aux Ecoles d’Ingénieurs, lesquels ne savent pas ce que sont les lycées. Nous pouvons, par nos moyens limités, proposer des actions de recherche et/ou de formation, proposer des stages certifiants pilotés par des groupes IREM. Pour les IREM n’en ayant pas les capacités, c’est un argument pour demander des moyens supplémentaires. On peut s’appuyer sur les exemples de Clermont-Ferrand et de Grenoble. À Orléans, l’option ISN permet de structurer un pôle math-info dans l’IRES et a permis d’obtenir une subvention de 400HTD de l’Université pour former 30 professeurs de mathématiques.
Gardons l’échelle à l’esprit : ce ne sont que 2h par semaine pour une option en classe de terminale ; ce sont des volumes restreints, mais qui seront amenés à augmenter.
L’évaluation de cette spécialité est assez différente des autres : elle sera principalement axée sur des projets élaborés entre les périodes de vacances.
Programme du Lycée
Dans la CII-Stat-Proba, il a été plaidé pour un commentaire axé sur le contenu de la proposition de programme dans sa cohérence propre, et non pour une prise de position sur son ampleur, laquelle est laissée à la décision politique des experts. Le test d’adéquation à une loi équirépartie, par exemple, aurait été souhaitable, mais ce n’est pas le rôle de la CII d’en discuter.
Les CII élaborent des réflexions et des documents qui aident à travailler sur les programmes, plutôt que des doctrines concernant les programmes. Le temps imparti pour enseigner les programmes est limité. Il y a donc forcément des parties du programme qui disparaissent, au profit d’autres.
Il conviendrait peut-être que les avis des CII soient filtrés par l’ADIREM ; il peut s’avérer dommageable que des avis contradictoires, riches en interne, soient publiés vers l’extérieur. Le Ministère ou le public pourraient ne pas comprendre des avis divergents venant de notre part. André Antibi exhorte l’ADIREM à ne pas être du côté des « décideurs » qui imposent les changements et secouent les enseignants. Il plaide pour que le réseau utilise ses contacts avec les enseignants pour faire remonter d’une manière sérieuse l’avis de la base. Cela aurait une grande force et rendrait acceptables les avis divergents.
Deux niveaux de réponses :
- Une réponse disciplinaire et technique : la CII-Géométrie et la CII-Proba-Stat peuvent commenter la cohérence interne du programme (et non son équilibre global).
- Une synthèse globale : rédigée par la CII Lycée et soutenue par l’ADIREM.
Les questions qui sortent du champ strictement disciplinaire seront rapportées des CII spécialisées vers la CII Lycée. Celle-ci est chargée d’élaborer une réflexion globale sur les programmes concernés. L’ADIREM discute et valide ces propositions, puis apporte sa caution.
Grand emprunt
« Égalité des chances » : projets dotés de 500 M€ dont 350 M€ pour les internats d’excellence. 50M€ pour des appels pouvant concerner les IREM.
« Maisons des sciences » : projet porté par l’Académie des Sciences, dans une certaine opacité due peut-être à l’urgence et/ou aux sommes extrêmement importantes en jeu. Il est probable que l’ANRU n’ait pas le temps de juger scientifiquement le dossier. Six universités participent :
- Strasbourg,
- Nancy,
- Nantes,
- Toulouse,
- Clermont-Ferrand,
- Aix-Marseille.
Strasbourg a reçu un courriel d’Étienne Ghys : les responsables du dossier sont un IPR de Sciences Physique et un Chargé de politique muséale de l’Université de Strasbourg. L’IRMA, l’UFR et l’IREM rencontrent ces responsables et leur fournissent des idées et un texte.
Toulouse III est porteuse d’Instituts qui fonctionnent de façon exemplaire. L’IREM couvre largement les missions demandées par cet appel. Il s’agit d’étendre les activités aux Sciences Expérimentales. Le Rallye Mathématique devient un Rallye Physique, touche l’ensemble Midi-Pyrénées, et inclut la formation de formateurs.
Il est important de ne pas passer à côté, malgré son aspect néfaste, de cette « mode » qui veut que nos moyens globaux ordinaires diminuent mais que des moyens extraordinaires augmentent. C’est également l’occasion pour les Institutions de prendre conscience de la place des Mathématiques dans la Culture Scientifique et Technique et de la place des IREM en particulier. La conjoncture semble dans l’ensemble positive sur la question ; l’ADIREM, à une échelle nationale, peut prétendre être un interlocuteur.
La maison « Main à la pâte » de Nancy, pilotée par l’IUFM, a été sollicitée ; les mathématiques, en particulier au travers de l’IREM, ont été accueillies.
A Clermont-Ferrand : contribution similaire pour « Les Mercredis de la Science » .
Il a fallu faire un lobbying actif pour que les mathématiques ne soient pas laissées de côté. Étienne Ghys, au sein de l’Académie des Sciences, n’était pas initialement dans le Comité ; une fois entré dans le Comité, un peu mis sur la touche.
Un dossier a été transmis le 28 février (version papier aperçue).
Animath
- Rallyes mathématiques,
- Hipoccampe,
- Fête de la science, Chercheur dans la classe, MathC2+.
Les collectivités territoriales réduisent leurs budgets et délèguent par le biais des CCSTI.
Le recours aux CCSTI ne donne pas grand chose d’intéressant, outre des dossiers longs, aléatoires et difficiles à monter.
Au moment où les Rallyes sont visibles nationalement, il faudrait se fondre dans le cadre rigide d’un Grand Emprunt (ou autre) : on nous enlève de l’argent et on nous donne des consignes qui changent profondément les règles du jeu.
Organisation
Ferons-nous trois ou quatre ADIREM l’année prochaine ? La première ADIREM devrait être tôt dans l’année. Les frais de déplacement sont un problème. Le nombre de quatre ADIREM est retenu et les frais de déplacement de la Trésorière seront partiellement pris en charge :
- les lundi et mardi 26-27 septembre,
- les 12 et 13 décembre ou 16 et 17 janvier,
- journée des CII les vendredi et samedi 30-31 mars,
- Séminaire pendant l’ADIREM de juin.
Entrée au bureau de Christian Mercat en charge des relations avec les CII.
Séminaire de Reims
« La voie professionnelle de l’enseignement secondaire à l’enseignement supérieur »
Dates : 18-20 juin 2011.
L’ organisation scientifique se fait par demi-journées, découpées en autant de sessions sur un thème spécifique :
- Les Lycées Professionnels,
- Les Sections de Techniciens Supérieurs, formation initiale et continue des enseignants,
- Les Ecoles d’Architecture,
- Les Ecoles d’Ingénieurs.
Constitution de la table ronde institutionnelle STS : Xavier Sorbe, inspecteur général, confirme sa présence. Il serait bien que Brigitte Bajou, doyenne de l’Inspection Générale, soit présente pour le Lycée Professionnel.
Dans les Ecoles d’Architecture, les mathématiques sont intégrées dans un enseignement par projets. Les intervenants enseignent les mathématiques dont ils ont besoin au moment où ils en ont besoin dans le projet. Il y a un aspect politique intéressant relativement à la place des mathématiques dans ces enseignements.
Laurent Carraro directeur de l’Ecole Télécom St-Étienne sera présent. Il serait bon d’avoir un représentant de la SMAI, par exemple Edwige Goledvski.
L’hébergement (au CROUS) est payé pour les directeurs d’IREM, les responsables de CII et les intervenants. Budget : 6700€ de l’ADIREM + 500€ de l’Université Champagne-Ardennes + 200€ x 4 des Conseils Généraux + 500€ du Conseil Régional + 150€ de la Ville de Reims. Les déplacements des directeurs restent à la charge de leurs IREM respectifs.
Il faut ménager une place chaque après-midi aux CII impliquées pour participer sous forme d’ateliers.
Les informations pratiques seront rassemblées sur le site de l’ADIREM.
Entrevue avec Olivier Roizès
Résumé du débat : axes de travail et façon de le mener.
Le travail d’Olivier Roizès est à court terme. Le pilotage de ce travail est donc concentré sur la présidence de l’ADIREM.
- Etude du Plan Académique de Formation.
Il serait profitable d’avoir une copie de la base de données et du code car le temps est trop court pour la voie naturelle (spécifier un cahier des charges, attendre l’implémentation et analyser les résultats) : l’ADIREM ne doit pas développer un outil professionnel exploitant GAIA mais simplement développer un prototype, à charge au Ministère de se saisir du développement ou pas. L’ADIREM aura besoin plus tard de fonctionnalités similaires (a priori à l’IREM de Lille). Nous allons présenter l’application à la DGESCO de manière à les convaincre de nous ouvrir les bonnes portes ou de nous fournir les bonnes données, de manière à automatiser le processus de renseignement. Il est assez clair que nous n’aurons pas les pleins droits de lecture sur GAIA, mais pourquoi pas, de manière automatisée, un état des lieux de GAIA sur certains items.
- Aide à Publimath.
En collaboration avec Jean-Louis Maltret, en lien avec l’APMEP et l’ARDM dont l’éditeur La Pensée Sauvage risque d’être bouleversé à l’avenir. Jean-Pierre Kahane avait impulsé l’effort de répertorier tous azimuts les éléments utiles pédagogiquement.
Un recentrage se fait sur le fond documentaire papier des IREM. La mise à disposition des ressources numériques est nécessaire pour que les enseignants trouvent un intérêt à utiliser Publimath plutôt que tout autre moteur de recherche (y compris Google livres). On évoque la mise au point d’un protocole pour tous les IREM et la centralisation des ressources sur un serveur commun. Des solutions techniques et peu coûteuses de numérisation sont à l’étude. Par exemple la reconnaissance des caractères de manière quasi-industrielle serait confiée à un IREM. D’autres documents à numériser comme les livres qu’on ne peut pas débrocher ou massicoter pourraient l’être grâce à des scanners à angle vif.
Il n’y a pas de lien entre les fiches Publimath, les fiches N@vIREM (référencement automatique sans ISBN a priori) et les ressources numériques elles-mêmes.
Les documents numériques non papiers comme les vidéos de séminaires sont également intéressants, et devraient être répertoriés et centralisés. Des applications SpeechToText comme Voxalead permet de faire des recherches sur les mots prononcés. Vidéos de l’IREM de Paris 7
La piste d’un rapprochement avec le serveur d’archives HAL est peut-être intéressante à creuser.
- Aide aux CII.
Par exemple : recherche sur l’articulation Algorithmique et Géométrie avec C.a.R.Métal développé par Éric Hakenholz. Réflechir en amont sur les fonctionnalités pédagogiques du logiciel et institutionnaliser la boucle de rétroaction des utilisateurs.
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