CR ADIREM 28 et 29 septembre 2015

vendredi 19 février 2016
par  Vinatier, Stéphane
popularité : 49%

Lundi 28 et mardi 29 septembre 2015
Lundi de 11h00 à 12h00 : bureau de l’ADIREM (préparation de la réunion plénière) - Paris Diderot, Bât. Sophie Germain, salle 2017

Lundi de 14h00 à 19h : réunion plénière de l’ADIREM - Paris Diderot, Bât. Sophie Germain, salle 2017

Mardi de 9h à 12h30 : session plénière de l’ADIREM - Paris Diderot, Bât. Sophie Germain, salle 2017

Ordre du jour et relevé de décisions


Présents/excusés

Présents

  • Comité Scientifique : Michèle Artigue, présidente sortante sous peu,
    Pierre Arnoux, son successeur (prise de fonctions le 1er octobre)

Excusés

  • SMF : Aviva Spirzglas
Plénière : lundi 14h00-19h00

Accueil des nouveaux membres : Pierre Arnoux pour le CS, Hussein Sabra pour l’IREM de Reims, Christian Silvy pour l’IREM de la Guadeloupe.

  • Reims : pas de directeur adjoint dans les statuts, proposition de co-direction (Hussein Sabra et Cécile Ouvrier Buffet). Toujours pas officiel : l’université à fait un appel à candidatures, clos le 26 septembre, pas encore de réponse (CV + lettre de motivation + projet scientifique).
  • Paris 13 : Sylviane Schwer toujours pas officialisée non plus.
  • Antilles : plus de secrétaire en poste, solution trouvée pour 6 mois ; plus de bibliothèque, locaux provisoires (locaux définitifs attendus bientôt).
    Scission de l’Université Antilles-Guyane en cours : Antilles et Guyane séparées de fait mais séparation pas encore actée (travail en cours). Impossible de dépenser le budget pendant la vacance du secrétariat, travail bénévole. Pas de diffusion des travaux (projet de site web). Pas d’heures second degré : elles disparaissent au rectorat, il faut prendre du temps pour discuter au rectorat... Période plus favorable que sous le mandat de Régis Blache où tout était bloqué. Tisser des liens entre les deux sections Martinique-Guadeloupe (170 km en mer).
    Nouveau directeur Christian Silvy. Parcours : professeur du secondaire, PRAG, Maître de conférence en didactique des maths, responsable du master PIDC (mention du master PIF). En place depuis longtemps, il espère que sa connaissance du milieu aidera à relancer l’IREM, qui a été très florissant dans le passé. Régis Blache sera directeur adjoint, avant d’en trouver un en Martinique. Bénéficie d’une décharge horaire (60h).
    Heures DGESCO : 360h (sur les 3000h de l’ADIREM) données sans retour à Antilles-Guyane ces trois dernières années, le rectorat n’a pas pris le relais. C’est une bonne chose que Christian Silvy, qui a l’air d’avoir de bonnes connexions, puisse contribuer à ce que ces heures soient effectivement distribuées. Peut-être devrons-nous commencer plus modestement ? Candidature acceptée à l’unanimité.
Rapport d’activité du réseau en cours ; les retardataires peuvent encore envoyer leur fichier.
GIS ADIREM : avenant n° 1 pas encore signé par tout le monde (aux dernières nouvelles, mais les services juridiques et financiers de Paris 7 ne répondent pas...). Rappel : 5 universités fondatrices (2014, pas de facturation) ; il semble compliqué de facturer 250€ à ces 5 cette année encore ; ce n’est pas trop grave dans la mesure où l’ADIREM a un budget propre. 6 universités dans l’avenant n° 1 (2015). Nouvelles adhésions parfois difficiles : à Rennes, l’université renvoie à l’UFR -> pas de signature (attendre les élections universitaires ?). L’avenant n° 2 attend la fin du retour de l’avenant n° 1 (avec la délégation de signature à Paris 7 pour accepter les nouveaux). Beaucoup d’énergie dépensée...
Fichier « Situation et moyens des IREM » à compléter... : voir fichier en bas de l’article

Comité scientifique, forum, production de ressources, portail des mathématiques : la parole à Michèle Artigue.

  • Voir Compte-rendu en pièce jointe -

Fonctions principales du CS : veille et incitation, accompagnement et suivi des actions des IREM ; 2 débats importants :

Brigitte Grugeon-Allys produit une synthèse sur l’évaluation.

JP Raoult fait une synthèse des travaux du CS des IREM. Sur certaines thématiques il y a eu plusieurs débats dont les évolutions sont intéressantes.
(ex : socle commun).

Commissions Inter IREM invitées : Proba-stat, pop’maths, repères IREM (le CS des IREM en est le CS éditorial). La qualité du travail des CII n’est généralement pas assez visible sur le site univ-irem.fr. Repères IREM est à prendre en exemple de ce point de vue.

Candidature médaille Castelnuovo : nous n’avons pas eu la médaille mais le travail de préparation était intéressant. Les deux médaillés les méritent et sont dans les mêmes lignes que le travail des IREM. Il s’agit de Hugh Burkhardt et Malcolm Swan.

Suivi de la stratégie mathématique, partenariat sur les ressources vivantes avec la DGESCO. Le thème « travail personnel des élèves » devrait être repensé et renommé, pour ne pas exclure le travail en groupes hors de la classe.
Vendredi 25 septembre à l’IFÉ, journée de suivi du forum des mathématiques vivantes à Lyon, contribution de Sylviane Schwer, Annie Broglio, Christian Mercat.

Nouveaux programmes : le CS s’est investi dès l’arrivée des premiers jets lors de la réunion d’avril, notamment au niveau du cycle 4. Interactions avec les auteurs du projet de programme, dont Xavier Buff (CSP). Les choses ont bougé substantiellement, notamment en ce qui concerne l’enseignement de la géométrie, en particulier au cycle 4. Daniel Perrin par exemple s’en trouve content.

Xavier Sorbe se soucie de contacter les gens qui ont conçu les programmes afin de rédiger les documents d’accompagnement des programmes. À suivre. Laurent Chéno était un peu seul sur la rédaction précédente.

Travail en amont sur les programmes math-phys du lycée à prévoir ? Quelques groupes travaillent là-dessus.

Renouvellement des membres du CS : fin de mandat pour Laurent Boudin (SMAI), Bernard Egger (APMEP), Philippe Dutarte qui souhaitent tous les trois faire un second mandat et participent activement aux réunions ; Maryline Coquidé (IFÉ biologie peu présente aux réunions) : Robin Bosdeveix (LDAR Paris 7 didactique de la biologie) est pressenti pour la remplacer. Isabelle Moutoussamy qui représente l’IG a de nouvelles responsabilités et a souhaité être remplacée, elle a proposé Johan Yebbou, IGEN. Candidatures acceptées à l’unanimité.
Brigitte Grugeon Allys devrait aussi être remplacée prochainement, par quelqu’un coté informatique pour tenir compte de l’évolution de l’enseignement de cette discipline (prochaine ADIREM).
La mixité du CS n’est pas menacée pour autant. (Faut-il une présidente pour l’ADIREM ? En tout cas, fin de mandat de Fabrice en décembre 2016, élection de son ou sa replaçant(e) en septembre 2016).

Pierre Arnoux : Les IREM peuvent avoir un rôle important dans la production des ressources accompagnant les nouveaux programmes, il y a une place pour eux (mais avec quels moyens ?). Identifier et faire remonter ce qui existe plutôt que de réinventer la roue.
Fabrice Vandebrouck : en fonction de la place qu’on nous laisse occuper : présents pour production de ressources / portail mathématiques institutionnel : fermé pour nos ressources ?
Yves Matheron, Michèle Bechler : intégration des ressources des partenaires IREM-IFÉ, en fait des tas de verrous.
Michèle : dans les autres disciplines pas d’analogue des IREM ou de la CFEM, mais en math il faut vraiment que le portail soit pensé différemment, pas seulement pourvoyeurs de biens et non pas à la périphérie de l’organisation. Robert Cabane admet que le retour d’expérience circonstanciée doit être pris en compte sur le portail des maths.

La disparition des formations du PAF au profit des 5 jours (peut-être pendant les temps de vacances) de formation aux nouveaux programmes (2j généraux, 2j disciplinaires, 1j EPI : enseignement pratique interdisciplinaire). Il faut réussir à placer nos formations comme pertinentes dans ce cadre.

Tour de table sur la question de l’état de la formation continue et des formateurs académiques.

Formateurs académiques (pour formation initiale et/ou continue ?). Selon le plan Stratégie Mathématique, « les formateurs vont bénéficier de la recherche française et internationale ». Cependant le décret paru au journal officiel concernant le certificat d’aptitude des formateurs académiques (sur 2 ans, concours, oral) ne semble pas aller dans ce sens : admissibilité, entretien avec le jury, rapports d’évaluation administratif et pédagogique. Ingénierie de formation mention master MEEF ESPÉ formation de formateur. Le jury est composé d’inspecteurs du 2nd degré, de formateurs académiques... et d’un enseignant de l’ESPÉ (sur 6 jurés). Les lauréats seront inscrits sur une liste d’aptitude et pourront avoir une décharge s’ils sont recrutés. PIF Pratiques et Ingénierie de Formation. Espé très peu représentée, formation pas forcément disciplinaire. L’ESPE « acteur principal » de la formation continue devrait avoir les rênes, mais un seul représentant dans les jurys de certification des PFA (professeurs formateurs académiques).

L’IREM pourra-t-il continuer ses actions de formation continue quand les viviers de PFA seront constitués ? A priori les PFA seront recruté pour la formation initiale uniquement. Qui choisira les PFA effectifs au sein du vivier de certifiés ? La décharge des PFA sera plus attractive que la rétribution des animateurs IREM. Mais les PFA ne seront-ils pas payés en HS plutôt qu’en décharge ? Pas très normal que l’employeur paye en HS...

À Montpellier, c’est le secrétaire général du rectorat qui veut tout décider.
Inquiétude : que la formation soit assurée par ces PFA risque de fragiliser l’IREM ?
REP++ : décharge pour formation continue obligatoire et concertation peut contribuer à l’activité primaire. À négocier. Ne pas faire payer la formation, c’est assez attractif (Sylviane Schwer).
Tradition de formation collective par frayage à l’IREM, on n’apporte pas une preuve indubitable de formation individuelle. Relations de pouvoirs en jeu avec les inspecteurs risque de créer des tensions au sein des IREM, et entre les IREM, l’ESPÉ, le rectorat... De plus, « irrigué par la recherche » n’est pas du tout assuré étant donné la composition du jury. Nous devrions nous en émouvoir... Quelles garanties, à la fois dans la formation et dans la certification.
Soulever le fait de ne pas tuer la ressource en particulier la réactivité des jeunes qui ont des compétences à mettre en œuvre rapidement. Il faut pouvoir continuer à faire des formations par des formateurs non certifiés.
Problème pour un vivier de jeunes qui viennent à la formation par les IREM.

Article 1 : Le certificat est exigé des candidats aux formations comportant des activités d’animation, de recherche et de formation dans le cadre de la formation initiale et continue des personnels enseignants et de personnels d’éducation de l’enseignement du second degré.

Incitons-nous nos animateurs à passer cette certification ? Quelles obligations, comment être défrayé ? Pas forcément recrutés... 75h de formation par an à assurer si recrutés...

Les masters PIF (pratique et ingéniérie de la formation) sont a-disciplinaires plutôt que pluri-disciplinaires. Il est probable qu’ils soient confisqués par les sciences de l’éduc.

La Copirelem n’en sait pas plus que nous sur ce point.

Conventions ESPÉ-IREM :

  • Bordeaux (Univ. Bordeaux 1 intégrée à Univ. de Bordeaux) a essayé, mais pas possible de faire des conventions entre des composantes de la même université (même cas pour la plupart des IREM). Plutôt un « accord-cadre » qui garantit que des formateurs ESPÉ puissent avoir des heures sur leur référentiel horaire pour les responsables de groupes.
  • Lyon : pas encore de convention. Univ. = 10k€ + 192HTD. Travail des formateurs ESPÉ payé par l’IREM (1 plein temps au total), compté sur leur service, mais pas financé par l’ESPÉ.
  • Grenoble : directrice ESPÉ PRAG font rentrer leur service à l’IREM à hauteur des 10% hors composante (si somme des services <48h)
  • Strasbourg : GIS ESPÉ superposé à GIS ADIREM. Convention cadre cotisation ESPÉ convention avec laboratoires pour "faire de la recherche", l’IREM rentre dans cette liste de laboratoire (10k€ en tout). Réponse de l’ESPÉ concernant la participation au financement du colloque international de Strasbourg où interviendront des formateurs ESPÉ (comme Richard Cabassut), les 500€ demandés ont été refusés (dépôt de dossier impliquant que l’ESPÉ soit seul porteur du colloque).
  • Montpellier : ESPÉ sans personnel car faculté d’éducation, qui accepte qu’une partie du service soit fait à l’IREM (pour la directrice), mais ce n’est pas le cas pour Aurélie Chesnais qui est sur un autre site (service en heures sup, mais limite dépassée).
  • Rennes : la question ne s’est pas posée, les enseignants second degré de l’espe sont payés par des heures DGESCO, il semble difficile de faire autrement mais Fabrice estime que c’est "du gaspillage".
  • Lorraine : l’IREM est dans l’ESPÉ (pas service commun). C’est l’inverse, les formateurs université math pas ESPÉ. Le budget de l’IREM vient de l’ESPÉ, heures comprises, 13k€, 90HTD pour 5 groupes. Plus d’universitaires que de groupes ("saupoudrage" des heures car 18h etd au total par groupe), en particulier des chercheurs INRIA et MCF en informatique LORIA (labo info université)
  • Antilles : pas grand chose de fait. L’IREM est à l’UFR. En Martinique, les locaux seront dans ceux de l’ESPÉ.
  • Reims : pas d’heures universitaires
  • Besançon : les PRAG et MdC ESPE peuvent faire rentrer les heures IREM dans leur service
  • Paris Nord : statuts égarés puis retrouvés, budget venant de l’université,
    Institut Galilée 10k€, université récupère les ventes sur les brochures (±150*10€) ; 64HTD de décharge et secrétariat en danger ; animateurs pas d’heures
  • Marseille : services universitaires, notamment pour animer des formations à l’ESPE ; pas de personnel ESPE qui interviennent à l’IREM ;
    étudiants master MEEF tuteurs pour stages hippocampe ; pas de formalisation.
  • Lille : rien de formalisé, pas d’intervenant ESPE à l’IREM (Artois), des liens se tissent néanmoins doucement ; il a été proposé à l’IREM de se charger de la formation (12h) pour des étudiants en master MEEF ; rapprochement avec département de maths
  • Poitiers : projet de convention, sur le bureau du directeur ESPE depuis avril, basé sur la convention nationale ; 1 formateur ESPE à l’IREM actuellement
  • Brest : échange d’heures, les animateurs de l’ESPE reçoivent des heures du département de maths de l’UFR
  • La Réunion : IREM rattaché au laboratoire de maths et info ; relations fluides, mais pas de moyens donnés par l’ESPE
  • Caen : 2 animateurs IREM ex-PRAG à l’ESPE sont partis à la retraite ; il n’est pas exclu que l’IREM fasse un jour partie de l’ESPE. Il y a eu une convention IREM-IUFM. Recherche remplaçant pour la direction de l’IREM, ce pourrait etre un enseignant de l’ESPE. Liens avec les matheux de l’ESPE et les didacticiens.
  • Rouen : aucune intersection entre formateurs ESPE et animateurs IREM, seulement concertation pour le PAF ; aucune heure universitaire (UFR science), budget 12500€
  • Nantes : budget 4k€, pas de décharge (Jean Marc Patin pour des raisons personnelles en a une) mais heures référentiel (36h l’an dernier, 50h l’année d’avant) ; une formatrice ESPE veut monter une action de recherche avec l’IREM (projet ANR). Idée de fractionner les responsabilités parmi des collègues mais abandonnée.
  • Limoges : bons rapports non formalisés. Aucune heure ne provient de l’ESPÉ. Marc Moyon directeur adjoint de l’IREM et en poste à l’ESPE reçoit des heures du département de math de l’UFR, ce qui fait parfois grincer quelques dents.
  • Paris : ESPE dans une autre université, un groupe IREM est reconnu comme "groupe ESPE" : le co-responsable est membre de l’ESPE, groupe pluri-disciplinaire (maths-français), si bien que les personnels ESPE ont des heures de service ESPE pour leur participation au groupe (une vingtaine d’heures au total). L’ESPE de Paris a des heures "formation de formateurs" (hors maquette : pourraient disparaître).

Les heures sont parfois payées sous forme d’Indemnités pour Missions Particulières 0,25 ; 0,5 ; 1 ; 2 ; 3 IMP 1/4=9HS indépendant des status, grades etc...

Heures globalisées : DGESCO nationales, DGESCO académiques (par exemple Rallye)
Heures déglobalisées : tous vos animateurs ont-ils été payés ?

CDUS (conférence des directeurs des UFR scientifiques) : Fabrice Vandebrouck les a rencontrés et a transmis la « plaquette bleue » présentant les IREM aux universités, pour les sensibiliser à nos actions et garder (ou augmenter) nos heures universitaires, en arguant de la nécessité d’arriver à un certain équilibre vis-à-vis des heures rectorales. Faut-il aller vers des IRES ? À Marseille les informaticiens sont statutairement inclus dans l’IREM, peu présents en pratique (3 services math, 1 service info). L’extension aux autres sciences serait conditionnée au fait que les universités augmentent les heures universitaires pour les IREM(ou S). Autre levier pour augmenter ces heures et/ou faire venir des universitaires dans les IREM : la production de ressources pour la transition lycée-université (pour Unisciel) au niveau « L0 » (ce que les arrivants à l’université devraient connaître...). Une convention cadre pourrait inciter un groupe de Strasbourg à créer des ressources pour Unisciel.
La demande reste assez vague, la CII université pourrait s’en emparer pour préciser les possibilités du réseau.
Unisciel fait payer les universités qui utilisent ses ressources (test de positionnement ?, Paris 7,...) ; et paye les organismes qui lui fournissent des ressources (IREM de Montpellier,...).

Projet de plateforme pédagogique de l’APMEP au niveau L0/L1 : Pierre Arnoux crée des vidéos de 10 mn pour les étudiants L1/L2 à Marseille, il rencontre des problèmes techniques... Il serait bien de répertorier ce genre de ressources (quand elles seront finalisées).

Montpellier : cartes mentales à la liaison car trop de ressources à gérer.
Gilles Damame : Le B-A-BA des maths fascicule de remédiation.

Tri et structure des ressources : par modules thématiques disciplinaires indexés par un moteur de recherche. Difficile de s’y retrouver...

Braise a l’air d’être techniquement possible de publier les exercices sur la plateforme unisciel, ce qui donne de la visibilité à ce travail.

IRES—>IREM ?
Dérive possible par rapport à d’autres services, de se faire rattacher à d’autre structures. Danger de se faire phagocyter comme l’IRES d’Orléans. Les rectorats ne vont pas multiplier les dotations d’heures, le respect et l’entente entre inspecteurs de math et les IREM sont spécifiques aux maths...
Essai à Nantes s’est heurté à une certaine hostilité des collègues physiciens, qui ont leurs propres actions de diffusion et de liaison.
Difficulté pour mettre en place des groupes interdisciplinaires, à la maison des sciences à Nancy : peu de thèmes pour la pluridisciplinarité maths-physique au collège.

Colloque 19-21 mai 2016 à Rouen : « maths et autres : continuité et innovation inter et pluridisciplinarité au collège et lycée professionnel » coorganisé par l’IREM de Rouen et les CII collège et lycée pro (au PNF). Quatre conférences prévues dont Anne Boyé (aspects historiques), Richard Cabassut (modélisation),... 150 places. Inscription bientôt (Vincent Paillet s’occupe du site web).

ICME 13 : après midi thématique sur quatre traditions didactiques (dont française), recherche d’images pour illustrer l’historique préparé par Dominique Tournès.

L’ADIREM de mars 2016 est avancé d’une semaine : 29 février et 1er mars (pendant les vacances scolaires de Paris, Montpellier et Toulouse !).

Journées nationales de l’APMEP à Laon du 17 au 20 octobre 2015 : l’IREM de Lyon y sera, Lille, Poitiers, Reims aussi, pas Grenoble ; nécessaire de faire imprimer 700 exemplaires de la « plaquette verte » ? Repères IREM demande un soutien à l’ADIREM pour envoyer des numéros par la poste aux participants ? Seront emmenés en voiture.

Plénière : mardi 9h00-12h30

Approbation du courrier rédigé par Christian Mercat pour la CFEM concernant le décret de nomination des Formateurs académiques (voir ci-dessus).

Approbation du compte rendu de l’ADIREM de juin 2015 : approuvé à l’unanimité.

Examen du budget
La somme allouée pour 2015 est à peu près dépensée, le budget est bien équilibré ; difficulté administrative pour faire facturer les 250 € des IREM adhérents au GIS.

  • Colloque de Guéret : l’IREM de Paris Nord se substitue à l’ADIREM pour la subvention au colloque (facture cantine), une trentaine d’inscrits. Le premier jour du colloque était inscrit au PAF, la formation a été annulée du fait du manque de candidats.
  • Sylviane Schwer souhaite donner une suite au colloque en travaillant sur l’utilisation en classe des contenus du colloque, l’ADIREM pourrait aider à financer les déplacements des personnes impliquées dans ce projet (en 2016).
  • La CII Épistémologie et histoire des mathématiques a publié deux livres ces dernières années, représentant le meilleur de ses travaux. Elle projette de les traduire en anglais pour donner une visibilité internationale à ses travaux. Cette traduction (14 chapitres ont été sélectionnés) sera présentée à ICME13 à Hambourg. 16k€ pour la traduction professionnelle mais faite par des collègues anglais ayant déjà collaboré aux travaux de la CII (du caillou à la puce) pour 4960€. Besoin de ce financement.
    Expérience d’enseignement en classes de collège et lycée reproduisant une expérience historique.
    Les mathématiques éclairées par l’histoire, Histoires d’algorithme, du caillou à la puce, De grands défis mathématiques d’Euclide à Condorcet. Projet chez Springer qui ne verse pas de droits d’auteurs ; voir chez de Boeck ? L’ADERHEM (association pour le développement des études et des recherches en histoire et épistémologie des mathématiques) participera au financement. Sous réserve d’un budget ADIREM analogue à celui de cette année, l’ADIREM participera au financement de la traduction à hauteur de 1500€.
  • Colloque HPM (congrès satellite de ICME) organisé par l’IREM de Montpellier, subvention de 1500€ (sous la meme réserve).
    À confirmer à l’ADIREM de décembre une fois le budget 2016 mieux défini.
Heures DGESCO
On devrait avoir le meme nombre que l’année passée : 3000h. Pas d’etp pour la CII TICE (magistère,...).
Thèmes prioritaires du réseau :

  • maths interdisciplinarité
  • maths - info - algo au collège
  • liaison primaire - collège
  • transition lycée - université
    Il faut envoyer les groupes (avec noms des personnes et établissements) le plus tot possible à Christine Kazantsev (décision en décembre).
    Fichiers de répartition des heures des années précédentes sur le coin des directeurs
    À prévoir : 60h pour un groupe à Orléans (Vincent Beck) en maths - info - algo



Repères IREM
Les éditeurs actuels envisagent de se décharger aussi de la mise en page, or Grenoble n’a pas les moyens nécessaires pour cela (OK pour impression et diffusion) ; nécessité d’heures DGESCO (comme pour petit x et Grand N) : prévoir 45h en plus ? 45h sont déjà allouées au comité de rédaction de la revue ; Yves Ducel ne prend pas les 36h de responsabilité de la CII. Grenoble n’a encore rien reçu de la part des éditions Topiques (liste d’abonnés,...) alors que le numéro de janvier devrait être géré par Grenoble !
Marges faibles sur ces revues ; tous les ESPE ne sont pas abonnés à Grand N. Denise Grenier reçoit des heures etd universitaires de l’IREM de Grenoble pour l’édition de petit x, aidée par Hervé Barbe (reçoit une partie des 45h) ; part bientot à la retraite, remplacée par une personne de Pau, Valentina Celi ?

Environ 1000h DGESCO pour les CII (+ une partie importante du budget de l’ADIREM), est-ce trop ? Une grande partie du travail se fait dans les IREM ; 8000h sont réparties entre les académies (inégalement : à la Réunion pas d’heures globalisées, à Rennes 228h (ainsi qu’à Brest), à Montpellier 454h, à Lille plus de 500h : rééquilibrer avec les heures déglobalisées ?). Gilles Dammame reçoit des heures « du privé ». Michèle Bechler (responsable CII Publimaths : 36h + une partie des heures de la CII : 36h) est partie à la retraite. L’ADIREM ne paye pas les retraités habituellement (pour assurer le renouvellement !) ; le rectorat paye des vacations aux retraités. Baisser graduellement le nombre d’heures qu’on lui paye : 36h cette année.
Comment remercier l’investissement des animateurs retraités : donner des heures, rembourser les frais de déplacement aux CII ? Difficile à justifier auprès de l’université pour Christine Kazantsev ; à l’inverse c’est courant à Marseille où le fonctionnement de l’IREM repose en partie sur les retraités. Risque de sclérose des groupes ou CII qui fonctionnent avec une part importante de retraités.

Revues locales : 12h chacune (Miroir des maths, Feuille de vigne : oui ; Clairon : non).

Enveloppe supplémentaire pour Antilles et Guyane ? L’université de Guyane est en cours de création, c’est long et compliqué... à voir avec Dalila. En Guadeloupe, il faut voir si les heures peuvent passer le barrage rectoral... Il y a du monde qui travaille sans être payé depuis quelques années (trois années d’arriérés) : 120h par an à récupérer ? À Paris Nord, il a été possible de récupérer des heures non payées.

Heures pour les thèmes « ressources communes DGESCO - ADIREM » ? Trop de thèmes...
Heures pour les groupes « primaire » (qui ne font pas de liaison avec le collège) ? En fonction du quota (500h sur les 3000h).
Heures pour les conseillers pédagogiques ? Ils ont déjà une décharge...

Courrier de Martine Brilleaud (Tangente, ex-enseignante à Grenoble en disponibilité, en thèse sur la popularisation des maths, très active dans ce domaine) : le club Tangente veut produire une liste d’ouvrages en lien avec les mathématiques et propose que le réseau participe à l’élaboration de cette liste. La CII Pop’maths prépare une liste similaire : conférenciers (voir aussi Promenades mathématiques), vidéos, livres,... Fabrice Vandebrouck invitera Martine Brilleaud à (re)venir à la CII. Tenue à jour d’une « Mathématèque » de vidéos exploitables dans la classe.

Cap’Maths

  • 2011-12 : seul l’IREM de Toulouse avait participé pour son Rallye (il vient d’etre remboursé)
  • 2012-13 : 7 IREM ont rejoint le train en marche, chacun a fait remonter ses états de cout, certains ont été remboursés, d’autres non (les 3000€ pour la Réunion lui sont promis pour bientôt...)
  • 2013-14 : en plus : rallyes CIJM, APMEP (Sarthe et Nouvelle Calédonie) ; en moins : la Réunion a laissé tomber. Les états de cout sont remontés en une fois (gros travail au secrétariat de Paris 7). Répartition de la somme entre les rallyes, avec un peu d’argent de coté pour Panoramaths 6. Résultat : l’ANRU a demandé des comptes, ... complications ... retards ... : rien n’a encore été payé.
  • 2014-15 : on voulait faire comme l’année précédente, avec en plus des mini conventions locales. L’ANRU a décidé que toutes les dépenses antérieures à juin 2015 ne sont pas éligibles (problème pour le rallye de Toulouse)
  • 2015-16 : que fait-on ? Fabrice en a un peu assez ; c’est bientot la fin de Cap’Maths... (un appel à projet a été lancé pour 2016 : date limite le 13 octobre). La complexité des exigences de l’ANRU incite à laisser tomber.
    Jean Marc Patin est volontaire pour rédiger le brouillon d’un courrier au secrétaire du Permier Ministre, dont dépend l’ANRU (à voir avec Martin Andler, président de Cap’Maths ?).

IREM en difficulté

  • Orléans : nouveau directeur potentiel Vincent Beck, se demande si les instances de son université ont vraiment envie de recréer l’IREM, s’active tout de meme
  • Nice : contacts avec Serge Quilio (ESPE) qui a l’espoir que les choses s’arrangent doucement.
Séminaire international
Un document de présentation a circulé lors de l’ADIREM d’hier, faut-il y apporter des corrections ?
Plein de crédits obtenus localement par Josiane Nervi (divers instituts, dont la Maison pour la science, le projet MCSquared, mais pas l’ESPE qui voulait s’accaparer le colloque en étant le porteur de projet, en échange de 500€ sur un budget de 16000€ !!). Il faudrait que le comité scientifique du colloque précise le programme prévisionnel, pour rendre plus solides les demandes de subventions. Prévoir un site pour les pré-inscriptions, de façon à avoir une idée du nombre de participants. Christian Mercat peut aider à produire le formulaire web nécessaire. On n’a pas encore la réponse de l’AUF national (ce qui n’empeche pas de demander aux agences locales) : la demande sera faite en novembre, elle semble etre « dans les clous » de l’AUF. Les directeurs d’IREM seront appelés à transmettre les appels à participation à leurs contacts internationaux. Le colloque EMF peut etre l’occasion de recruter des participants étrangers. Il est souhaitable que le programme scientifique fasse apparaitre les noms des intervenants pour qu’il leur soit plus facile d’obtenir des financements. Comment installer des coopérations internationales dans la durée, demande Gilles Dammame. Ce point sera discuté lors de l’EMF. En Algérie, une association organise des actions autour des jeux mathématiques ; ne semble pas etre en contact avec les universitaires qui organisent EMF (hum, je sais que Rachid Bebbouchi et Samia Mehaddene se connaissent et ne s’aiment pas).

Tour de table « formation continue »

  • Lille : rien n’ouvrira au PAF (reservé aux profs de lycée, soit environ 15% du public enseignant de maths) ; tous les acteurs de la formation (ESPE, IPR,...) se disent impactés par la mise en place de la formation des enseignants de collège à l’occasion de la réforme ; espoir que les journées académiques échappent à la règle...
  • La Réunion : le PAF 2015-2016 = n-1, pas de nouvelles de la manière dont les journées de formation collège seront effectuées.
  • Lyon : Le DAFOP dit qu’il met le paquet pour maintenir ouvert le PAF, même les stages collège, en particulier école-collège et m@gistère, malgré les 5j de formation collège + 3 j numérique, en particulier grace à l’effort fourni par l’IREM pour concevoir des magistères
  • Lorraine l’IREM ne proposait pas au collège mais travaille sous le pilotage de la maison pour la science (ESPÉ Formation Continue au même niveau que l’IREM). Ces stages sont maintenus mais destinés maintenant aux lycées !!
  • Strasbourg : Marc Wambst MCF mi-temps sur la maison pour la science, rectorat met aussi des enseignants du secondaire. Les profs de collège partant en formation 1 semaine, ces formations sont déclarées caduques par la DAFOP. L’IREM « n’a rien à proposer » suivant la DAFOP mais ses formateurs sont mis à contribution pour assurer les stages proposés et répertoriés dans le rapport d’activités. Fabrice estime que l’essentiel de l’activité des IREM est la formation de formateurs, il ne faut donc pas se focaliser sur la formation elle même.
  • Marseille : Lionel Vaux avait programmé une formation ISN qui fonctionnait très bien les 2 dernières années, 2 fois 10j (sur deux ans : 10 jours par an) et le rectorat a picoré 2j, demandé un CV et une lettre de motivation à Lionel Vaux pour être formateur au PAF... Comme à Strasbourg, le rectorat contacte directement les animateurs pour concevoir ses formations.
  • Antilles : comme à la Réunion, pas d’infos particulières en provenance du PAF, des stages IREM sont prévus
  • Montpellier : 15 stages inscrits au PAF + formations « bassin », pas spécifiquement lycée ou collège (sauf liaison lycée - université qui est une priorité académique). L’IREM est invité à participer à l’élaboration du cahier des charges de la formation (puis répond à l’appel d’offres).
  • Caen (comme Lyon) : des priorités académiques sont définies, puis ça ouvre ou pas... Cette année pas vraiment de retour, rien n’ouvrira ?
  • Limoges : retardé. 1j de formation = 1 vœu accepté par enseignant donc sûrement peu de stages ouvriront. Avoir l’accord du chef d’établissement, malgré des OM au PAF ou au PNF, parfois non défrayés, n’est pas acquis et provoque en plus des auto-censures.
  • Nantes : stage Math.en.Jeans
  • Grenoble : stages faits 3 fois (pour 2 départements à chaque fois). En mars budget réduit de 30%, les stages deviennent départementaux, centrés sur collège, pluridisciplinarité. Finalement tous les stages collège sont supprimés, hors maison pour la science (elle donne 1000€ au rectorat). La formation « réforme du collège » pourrait avoir lieu pendant les vacances (??)
  • Bordeaux : L’IREM ne propose pas mais on lui demande ceci ou celà. Journées IREM au PAF. Animateurs IREM individuellement font des animations : travail par problèmes, liaison lycée-université à l’initiative des IPR. Stages à publics désignés majoritaires. Algo et info au collège priorités.
  • Rennes : maison pour la science (Marie-Pierre Lebaud) diffuse les stages IREM toutes disciplines scientifiques, seuls les stages de math sont bien ficelés donc pris et co-animés.|

L’IREM de Montpellier est un Léa.

Position des IREM concernant les Formateurs académiques

Le plan de stratégie mathématique décrit un nouveau cadre de formation des formateurs académiques. L’assemblée des directeurs d’IREM voit dans cette formation des opportunités de valoriser son travail et sa méthodologie mais aussi des risques de se voir marginalisée.

La méthodologie de culture d’un vivier de formateurs IREM s’appuie sur la recherche action et la formation collective par frayage, avec des collègues de différents métiers, du primaire à l’université ou des corps d’inspection, apportant chacun leurs compétences complémentaires, universitaires ou de terrain. La co-construction de ressources et leur validation par expérimentation croisée peut mener à la rédaction de ressources pédagogiques, à l’encadrement de formations, à la publication dans les revues du réseau ou à la participation à des colloques internationaux dans une graduation d’implication. Cette graduation dans la formation peut être un exemple à suivre pour la certification des formateurs académiques.

Certains formateurs IREM ne sont motivés que par le désir de réfléchir à travailler autrement, par la bouffée d’air que leur procure la prise de recul par rapport au quotidien de la classe. Mais d’autres collègues peuvent légitimement inscrire ce travail dans un plan de développement professionnel tout au long de la vie et une carrière à construire. La participation assidue et active à un groupe IREM peut être notée par les inspecteurs pédagogiques régionaux, mais elle reste informelle, et disparait au hasard d’une mutation d’académie. Aussi l’ADIREM voit dans cette certification une opportunité de reconnaitre le travail accumulé dans un IREM d’une manière objective et officielle.

L’appui sur la recherche française et internationale est un point intéressant auquel les IREM sont attachés. Cependant dans le journal officiel, la composition du jury laisse peu de place à une représentation du monde de la recherche au profit de l’évaluation pédagogique et administrative, peu disciplinaire. La formation elle-même laissera-t-elle la place à la recherche disciplinaire ? S’appuiera-t-elle sur les ESPÉ (« acteurs principaux de la formation continue »), en particulier les masters de Pratiques et Ingénierie de Formation (PIF) dont les formats sont très différents d’une ESPÉ à l’autre, et faisant la part belle à la psychologie et la pédagogie généraliste plutôt qu’aux spécificités disciplinaires. Quelles garanties, aurons nous de cette place de la recherche, à la fois dans la formation et dans la certification ?

Les lauréats seront inscrits sur une liste d’aptitude et des questions se posent concernant la manière dont ils seront traités. Seront-ils déchargés d’une manière annualisée, avec un quota d’heures de formation à assurer, au débotté sur un sujet quelconque, ou bien au cas par cas selon leur expertise fine ? Ces formateurs académiques ne risquent-ils pas de devenir les opérateurs individuels de la formation, au détriment du modèle de formations collectives défendu par les IREM ? Il est en effet indiqué dans le Journal Officiel
Article 1 : Le certificat est exigé des candidats aux formations comportant des activités d’animation, de recherche et de formation dans le cadre de la formation initiale et continue des personnels enseignants et de personnels d’éducation de l’enseignement du second degré. Sera-t-il toujours possible à des non certifiés d’assurer des formations continues ? C’est une question en particulier concernant les formations spécifiques s’appuyant sur la réactivité des jeunes qui ont des compétences émergentes à mettre en œuvre rapidement et viennent à la formation par leur implication dans un IREM.

À moyen terme, les IREM pourront-t-ils continuer leurs actions de formation continue quand les viviers de PFA seront constitués ? Les PFA seront-ils recrutés principalement ou uniquement pour la formation initiale ?

Cette fragilisation peut aussi s’étendre à la position aujourd’hui assez neutre et équilibrée des IREM, au risque de créer des tensions dans les relations de pouvoirs avec les inspecteurs, l’ESPÉ et le rectorat…

La question finalement n’est pas tranchée d’inciter ou non nos animateurs à passer cette certification tant que les obligations, les types de défraiements et de recrutement ne sont pas clairs.


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