Cet article reproduit un message de Jérôme Barberon
(Bibliothèque IREM Paris 7)
J’ai commencé à déblayer parmi nos publications, celles qui correspondent a la thématique 2013.
Vous trouverez donc dans la liste des liens
2 publications du Groupe M.A.T.H. :
un lien direct vers les travaux de Modélisation du master de Paris 7 également sur notre site : (12 articles sur la page )
Enfin vous trouverez également des vidéos du Maths-Club qui sont concernées par cette thématique , disponible en DVD à la bibliothèque de l’IREM et en Streaming sur notre Site :
- Prospective à brève échéance : Jean Louis Dodeman, du groupe MAG (Math Art Géographie) de l’Irem de Paris confirme qu’il produira une ressource sur le thème MPT d’ici à la mi novembre :
La « ressource » est quasiment terminée. Le travail s’appuie sur la contribution apportée par la Géographie à la recherche interdisciplinaire du groupe MAG, sur la « représentation de l’espace ». Je propose une petite histoire de la collaboration de la Géo et des Mathématiques dans l’exercice classique de la représentation de l’espace terrestre par la* cartographie*.
L’angle d’attaque est « historique », voire épistémologique, et j’évoque
essentiellement le problème des projections cartographiques, de la perspective, et de diverses écoles de maths au cours de l’histoire. Mais il m’est impossible d’entrer dans les démonstrations mathématiques, j’en suis incapable. D’ailleurs à ce sujet il serait intéressant de prévoir des « encarts » pour préciser ces aspects, du point de vue des maths, pour tel ou tel aspect de l’avancée des travaux géographiques. Une écriture à plusieurs mains, pourquoi pas ?
L’article fait 17 pages en format normal (A4), y compris les illustrations.
Il me manque une conclusion sur les techniques numériques modernes
auxquelles recourt aujourd’hui la Géographie, avec une disparition actuelle
de la collaboration Géo/Maths. Du moins ces dernières (les maths) sont
certainement présentes dans les restitutions 3D ou l’imagerie satellitaire
mais la Géographie d’aujourd’hui, à ce niveau, consomme les informations
construites ailleurs et n’est pas dans un processus d’élaboration
interdisciplinaire de nouveaux rapports à l’espace.
Jérôme Barberon
Bibliothèque IREM Paris 7
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